09/07/2010
Deux plages à Saint Pierre ?
Sécurité à Saint Pierre, les saisonniers veillent sur la population
Télégramme de Brest du 9 juillet 2010
Sur les plages avec les maîtres-nageurs sauveteurs, sur la route avec la gendarmerie, les pompiers, la police municipale ou sur la mer, avec la SNSM, les saisonniers veillent durant tout l'été. Pour leur souhaiter à tous la bienvenue, la municipalité les avait conviés à un pot d'accueil lundi matin. Le poste de gendarmerie a rouvert rue Curie pour la saison. Sous la direction du gendarme Tellier, il y a deux réservistes, le sous-lieutenant Chauvin et le brigadier-chef Marziou. Un élève gendarme va compléter le groupe qui assurera des patrouilles régulières dans toute la commune et dans les campings. Comme l'an passé, il n'y aura pas de permanence. Tous les dépôts de plaintes doivent se faire à Quiberon. Du côté de la police municipale, au côté de Laurent Guennec, Ludovic Tarrie reste pour deux mois.
Huit pompiers en renfort
Sur les plages, les maîtres-nageurs sauveteurs veillent à Keraude et Penthièvre avec notamment Thibault Meillon, Nicolas Le Bras, Aurélien Seignet, Marion Duteau et Cédric Chevallier. La flamme verte est le signe de leur vigilance. À Keraude, un fauteuil spécifique pour permettre l'accès à la plage et la baignade aux personnes handicapées est à disposition gratuitement. Il suffit de leur demander. Les pompiers étaient également présents. Durant la saison, huit pompiers volontaires viennent en renfort au centre de Quiberon. Si la SNSM n'a pas de renfort pendant cette période, c'est aussi un moment particulièrement fort de leur activité. Le maire tenait donc à leur présence
Kéraude, Penthièvre, coup de poker ?
Etonnant ce ne pas connaître les plages du Petit Rohu, de Kermahé, de Kerhostin, sans parler de celles de la côte sauvage, Port Bara, Port Blanc, Portivy... Depuis la "fâcherie" avec Quiberon, les sauveteurs de Saint Julien ne viendront plus ! Le cabanon est en cours de démolition, laissant seulement une borne d'appel (où est-elle d'ailleurs ?).
Faut-il attendre la noyade d'un campeur du camping du Petit Rohu ? Est-ce indiqué dans la documentation 4 couleurs de ce camp de camping, édité par la Mairie aux frais du contribuable ?
Plutôt que de traiter "sur panneau" la circulation des chevaux, ne peut-on avoir un peu d'égard pour les vacanciers, qui prennent des bains ici sans surveillance ?
La vie de nos concitoyens est "fondamentale" ! Doit-on jouer au "poker" dans une Mairie "responsable" ?
Les commentaires sont fermés.