UA-69286360-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/03/2010

Le pin "parasol" de la gare d'Auray ! Encombrant ?

Selon Ouest France du 10 mars 2010 le maire d'Auray, Michel Le Scouarnec, aurait déclaré : " Il faut savoir que le pin parasol, certes majestueux, est un arbre méditerranéen qui peut atteindre 25 à 30 mètres de haut et vivre jusqu'à 200 ans. En conséquence il doit être placé dans un espace suffisamment grand pour rendre tout son effet dans le temps, ce qui était loin d'être le cas dans le rond-point de la gare... Il y va de la responsabilité du maire d'assurer la sécurité des populations...

Lire la suite

Communauté ? Attention aux petites !!!

Intercommunalités. La carte bretonne redessinéeOuest France du 11 mars 2010
La réforme des collectivités territoriales s'apprête à redessiner les contours de la carte des intercommunalités. Objectif: engraisser les grosses et supprimer les petites.


Ce n'est pas dans la lettre du projet de loi mais c'est clair dans l'esprit du législateur: il faut en finir avec les mini-communautés de communes et avec la multiplicité des structures de coopération. La réforme devra se traduire par des regroupements territoriaux et la disparition des syndicats intercommunaux à vocation unique ou multiple. Elle va aussi permettre la création de «métropoles», une notion nouvelle sur le plan des institutions, et un statut que seule l'agglomération rennaise peut espérer briguer en Bretagne.

120 ans de construction

En matière de coopérations intercommunales, les Bretons ont joué les précurseurs en inventant le concept dès 1890. Depuis, ils ont toujours gardé une longueur d'avance: quelles que soient les lois d'aménageurs de territoires, ils ont à chaque fois été les premiers à les appliquer. On l'a vu avec le maillage des communautés, la mise en oeuvre de la taxe professionnelle unique et l'organisation des pays. Avec la disparition des pays, la suppression de la taxe professionnelle et le détricotage programmé du maillage intercommunal, tout ce bel édifice va s'effondrer. Il va falloir en rebâtir un autre. Et vite, puisque tout doit être prêt en 2013, avant l'année d'élections municipales et pour la première fois communautaires (avec fléchage des candidats qui siégeront à l'intercommunalité).

Le pouvoir des commissions

Le préfet de région a déjà commencé à pousser les feux. «Les schémas départementaux de coopération intercommunale devront être établis avant fin 2011», annonçait-il (avant d'entrer en période de réserve préélectorale). Ces schémas seront réalisés par les CDCI (commissions départementales de coopération intercommunale), composées principalement d'élus (communes, intercommunalités, conseil général, conseil régional) mais aussi de représentants de l'État. Et leur pouvoir sera total, pour peu qu'elles dégagent une majorité des deux tiers: leurs décisions s'imposeront à tous, au préfet comme aux élus concernés.

Mariages forcés

On peut s'attendre à ce que soient ainsi célébrés quelques mariages forcés. Dans les petites communautés de communes, il y aura certainement des résistances: si elles ont choisi de ne pas travailler ensemble jusqu'alors, c'est qu'il y avait bien des raisons. Des raisons fiscales, d'abord. «Beaucoup de petites intercommunalités se sont constituées autour d'une zone d'activités, pour s'en partager la taxe professionnelle», remarque Jean-LouisRobert, trésorier-payeur de région. La TP disparaissant, on imagine que le lien communautaire en fera autant. Mais il peut aussi y avoir des raisons liées à des bisbilles personnelles, voire politiques. Et au goût du pouvoir: un élu local peut, comme César, préférer être le premier dans son village plutôt que le deuxième à Rome.

Alain Le Bloas

Lire la suite

Mouillage au Petit Rohu, vers l'interdiction ?

Mer. Les zones de mouillages référencées
Le Télégramme de Brest du 11 mars 2010

Actuellement, la municipalité travaille avec les responsables de l'équipement maritime sur les zones de mouillages sauvages. Cette cartographie devrait permettre à la Direction départementale des territoires et de la mer d'accorder de nouveaux droits pour installer des mouillages en rade, mais uniquement dans ces zones. François Dubois, premier adjoint, responsable des ports, et les membres de la commission portuaire ont été invités par la DDTM (Direction départementale des territoires et de la mer) à recenser les zones de mouillages hors des ports. «Depuis déjà longtemps, explique l'élu, l'équipement maritime ne donnait plus d'autorisation de mettre un corps-mort en rade. Normalement, avec la mise en place de zone spécifique, de nouvelles autorisations devraient être accordées. Aucun mouillage ne sera admis en dehors de ces zones».

Se mettre en conformité

Les propriétaires actuellement en dehors des périmètres seront contraints de se mettre en conformité. L'anse de Kerbourgnec et la plage du Rohu ont été écartées des zones de mouillages, car elles sont situées sur un gisement ostréicole naturel. La municipalité a également demandé une autorisation d'occupation du domaine public pour augmenter sa zone portuaire aménagée à Port-d'Orange. «Comme dans le reste du port, ajoute François Dubois, nous allons équiper cette nouvelle partie avec des chaînes mères et filles et des bouées. Cette disposition permettra aux bateaux de rester en eau tout le temps. Actuellement, la plupart des emplacements sont hors d'eau à chaque marée».

Lire la suite