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10/02/2017

Saint Pierre Quiberon, Quiberon, le "grand amour" ?

Le "tennis" sur la presqu'île, un sport au service du rapprochement des deux communes !

Jean-Pierre Le Duvéhat, lotissement de Kergroix.jpg

Quand on connaît Nicolas Leblais, on devine, que son talent fera du bien aux jeunes sportifs de la presqu'île...

A Quiberon, les explications de l'adjoint aux sports sont loin d'être convaincantes sur le paiement par la Commune de plus de 200 000 euros pour mettre fin à un bail emphytéotique du gestionnaire des tennis du Bois d'amour. Surtout quand on met dans le paquet "cadeau" une licence 4 d'exploitant de boisson !

La situation du tennis à Quiberon est désespérante : le tennis des Dunes à refaire (400 000 euros ?), le tennis de Saint Clément, abandonné par son association et le tennis du Bois d'amour en mauvaise passe, avec une partie déjà mangée par de la promotion immobilière... 

En bref, dans le naufrage sportif, un animateur de valeur, ayant fait ses preuves à Saint Pierre ne peut se contenter pour relancer le tennis à Quiberon des cours de Saint Clément...

Autre nouvelle d'avenir : Bernard Hilliet a de "grandes ambitions" pour la liaison Auray-Quiberon, depuis le projet mirobolant de la plateforme "multi-modale de Brech, avec le développement de la voiture "autonome" vers les années 2021-2024 (il faut "confirmer" en 2020 !) !

Dans le délire communicant la "news" de Saint Pierre Quiberon (Ah ! le français a mal au ventre !) de février 2017 révèle des travaux, notamment dans les camps de camping (la douche des campeurs est coûteuse !), dans l'aire de camping-car, qui est passée de Kerhostin à Kergroix, dans la rue Marthe Delpirou, qui collectionne désormais le record de trous, dans le démarrage des "Tamaris" abandonné par Lamotte et repris par Prestige et Patrimoine (affaire à suivre), dans "l'ingénierie" de 50 nouveaux logements sociaux (Celtic or not Celtic ?)...

Au fond, le sport est fédérateur ! les élus ont du mal à s'entendre...


Le Maire de Saint Pierre Quiberon présente ses vœux à la population

Laurence le Duvéhat, le Sous-Préfet de Lorient, le Préfet du Morbihan.jpg 

La "News" N°4 février 2017

En présence de Monsieur Le Préfet et de Monsieur Le Sous-Préfet (photo)

L'occasion de revenir sur les projets en cours et à venir comme :

  • L'itinéraire cyclable au niveau de l'isthme :

reprise du dossier ouvert en 2008, lors d’une rencontre du 25 01 2017

  • Le passage piéton de l'isthme : préparation de dossier après rencontre auprès des agents départementaux sur site en 2016 puis au département en janvier 2017
  • La voirie rue de la baie, sentier de la baie,
  • Les travaux sur les réseaux d’enfouissement en attente des subventions de l’agence de l’eau, au niveau de la rue Marthe Delpirou et espoir de pouvoir débuter enfin des travaux de voirie par tronçons.
  • Le fleurissement pour marquer les différentes entrées de villages...
  • Le mur au dessus de la plage de Kerhostin (2 ème endroit)
  • Les travaux du parking sur la plage du Rohu
  • L'amélioration des conditions d'accueil des camping caristes devant la salle omnisports
  • L'ingénierie en cours pour création de 50 logements sociaux prévus d’ici 2020
  • Le début du lotissement des Tamaris, rue des Tamaris avec pose de la première pierre estimée en février 2017
  • La poursuite du travail sur les économies d’eau, débuté par l’installation, en 2016, de réducteurs de débit sur robinetterie des campings.
  • L'amélioration du bureau d'accueil du camping de Penthièvre.
  • Et d’autres si le budget confirme la possibilité financière de leurs réalisations.

Le ras-le-bol des conseillers municipaux

Ouest France du 10 février 2017 

Ils s’étaient lancés dans l’aventure politique pour être au service de leurs concitoyens. Mais après plusieurs mois, les élus locaux sont de plus en plus nombreux à jeter l’éponge.

Au conseil municipal de Dinard (Illeet-Vilaine), les sièges se vident depuis plusieurs mois. Au cours de l’année dernière, six élus de la majorité ont claqué la porte, suivis par sept conseillers d’opposition qui ont démissionné en bloc en novembre. Situation délicate pour la maire, Martine Craveia-Schütz, mais le conseil municipal pouvait toujours fonctionner. Jusqu’au 25 janvier, où deux adjoints et une conseillère ont quitté eux aussi le navire. Des élections anticipées auront lieu en mars. Les démissionnaires évoquent leur désillusion. « Je n’ai jamais eu véritablement les moyens d’exercer ma mission » , regrette Annick Ollivrin, ex-adjointe à Dinard. Même constat à Granville, dans la Manche, où quatorze conseillers municipaux ont déposé leur lettre de démission sur le bureau du maire, Dominique Baudry, début janvier. De nouvelles élections pourraient avoir lieu d’ici à trois mois. Ces deux villes sont loin d’être des exceptions. Partout, des petites communes aux grandes villes, des élus jettent l’éponge. Beaucoup regrettent le manque d’esprit d’équipe et des maires parfois trop autoritaires.

Des communes au ralenti

En février, Philippe Robin a quitté le conseil municipal d’Indre (Loire-Atlantique) après que le maire, Serge David, a mis fin à ses fonctions de premier adjoint. « L’idée que je me faisais de la vie municipale est bien loin de la réalité. » Il évoque « l’improvisation » ou encore « les vieilles histoires entre les familles et les règlements de comptes. » Des raisons multiples pour expliquer un phénomène difficile à quantifier : seules les démissions des maires et des adjoints sont recensées par les préfectures, pas celles des autres conseillers municipaux. Conséquence de ces renoncements en série : des chantiers qui s’éternisent, comme à Loudéac, dans les Côtes-d’Armor, marquée par un imbroglio politique l’année dernière. Un nouveau conseil municipal a été choisi, conformément au Code électoral qui prévoit l’organisation d’élections partielles dans un délai de trois mois lorsqu’un tiers des sièges est vacant. Mais bien d’autres communes, enlisées dans des crises politiques, fonctionnent au ralenti, faute d’avoir atteint ce seuil.

Emeline FERRY.

Conseil de Quiberon du 8 février 2017

Tennis et "liaison Auray-Quiberon"

Commentaires

En parlant de tennis, nous avons appris que ceux en terre battue des "Dunes" n'étaient plus à l'ordre du jour: eux qui devaient élever la station climatique de Quiberon. Plus de paddle, plus de tennis mais un terrain de 2.000 m2 voué à toute autre chose!

Puisque l'on parle de terrain il faut revenir sur l'acquisition d'un terrain cadastré BE n° 438 - Rue du Levant.
Le pensum fut lu par la conseillère d'opposition comme chaque fois que l'on parle d'Urbanisme.

Elle eut raison de souligner le faible prix d'acquisition (78,46€/m2) de ce terrain constructible de 2.549 m2 devant constitué une réserve foncière pour la Commune. Sans doute pas trop longue puisqu'il est prévu la réalisation d'au moins 9 logements dont seulement 20% en logement locatif social et 10% en accession à la propriété.
Ce n'est donc plus du tout du locatif social à 100% et il y aura donc au moins 6 logements en vente à des privés.

Nous avons appris que la propriétaire du terrain avait fixé elle-même le prix. Les notaires au moment d'un compromis de vente ne doivent-ils pas jouer le rôle de conseil auprès de leur client?

La conseillère avait raison de s'inquiéter de ce faible prix. Elle devait se souvenir que lors du conseil municipal- dont elle faisait partie- du 11-12-2012 n° 106/2012, vu l'avis de France Domaine il avait été question de vendre 43 m2 à 280€/m2 à des propriétaires riverains et mitoyens du fameux terrain!

Là ne s'arrête pas les exemples dans le coin. C'est ainsi qu'en mars 2009 lors du conseil municipal 30/2009 le maire reçu l'autorisation de vendre un délaissé de voirie de 158 m2 à également 280€/m2 rue du Lano!

Dans les 2 cas, nous étions à la 3ème mandature de monsieur Belz (2008-2014) et notre maire actuel faisait partie de cette équipe. Y-aurait-il perte de mémoire?

Pendant ces années les terrains non viabilisés appartenant à des privés étaient vendus aux alentours de 400€/m2 dans la même rue du Levant et dans la rue du Point du Jour!

Les propriétés sont-elles dévaluées de ce fait?

Les propriétaires de terrains dans la rue du Lano et dans celle du Point du Jour, approchés par une banque nouvelle sur la presqu'île, vont-ils être les dindons de la farce puisqu'ils ne peuvent pas disposer librement de leurs terrains en vertu du nouveau PLU qui prévoit l'addition de plusieurs parcelles appartenant à plusieurs propriétaires: addition fatidique lorsqu'elle dépasse 2.000 m2?

La mairie fait-elle le jeu des banques et promoteurs?

Concernant la perte de mémoire, nous avons dans les questions diverses eu un autre exemple lorsqu'un conseiller d'opposition s'étonnait que pour une demande de subventions pour les cars scolaires les services de la mairie ne citaient que le collège public oubliant de mentionner le collège privé sous contrat et donc ayant pratiquement les mêmes droits.Estimant qu'à 2 on est plus forts pour obtenir ce que l'on désire.
C'est quand même bizarre quand on sait que monsieur le maire a été longtemps président de l'OGEC. Président très actif puisque dans ces années il y eu la fusion des écoles Sainte Anne et Saint Clément. Cette dernière, rue Victor Golvan a depuis longtemps disparu remplacé par un immeuble.

Écrit par : jclg | 12/02/2017

Les communes ne devraient pas avoir la possibilité de constituer des réserves foncières pour faire de la "promotion". Leur intérêt à agir, selon le sens régalien, est éventuellement d'améliorer les routes et voieries, mais certainement pas de construire ! La loi SRU, par ses obligations, a transformé le rôle des Maires, qui maintenant font de la promotion "sociale", qui n'est bien sûr pas rentable ! perturbant ainsi le marché de l'immobilier classique et surtout modifiant considérablement le charme d'une station balnéaire ! (rue de Kermorvan, par exemple)

Écrit par : jeanbart | 12/02/2017

Soyons clair!!!
Les Quiberonnais se font encore voler 202 000 euros puisque après enquête plusieurs choses apparaissent :
 Le bail emphytéotique n'existe plus, c'est bien un simple bail commercial que la Mairie a avec l'exploitant actuel, le terrain et tout ce qui est dessus appartient bien à la Ville.
 Donc au final que rachète la Ville :
-un simple fonds de commerce qui en plus est bien racheté 3 fois plus cher que l'existant car les derniers chiffres d'affaires connus avoisinaient les 60 000 euros, rappelons que cette société a d'autres terrains de tennis dans une autre ville et que rien ne nous prouve que le chiffre d'affaires ne vient pas en partie de ses autres terrains de tennis puisque aucun expert comptable n'a été nommé pour enquêter sur les comptes et chacun a pu constater  que l’établissement était fermé la plupart du temps.
Qu’est ce qui est acheté  concrètement ?
-une licence de débit de boisson.
-du matériel et sur ce dernier il y a un problème car une partie appartient à une association « Obélix ». Or la valeur de ce bien n’a pas été  évalué par la mairie et les factures d’achat du matériel pouvant justifier le prix d’achat n’ont pas été présentées au conseil municipal. N’ Est-ce pas une manière de récompenser indûment le président de cette association qui est un soutien politique du maire ?
Tout ceci pour se demander si l'argent des Quiberonnais doit servir à ce genre d’opération ?
L’avenir c’est de fournir une information honnête (consultation d’un expert comptable pour l’achat d’un bail commercial c’est la moindre des choses!) permettant aux élus de faire un choix  éclairé au lieu de voter à l'aveugle confiance en les paroles trompeuses de Monsieur le maire et en espérant que personne ni verra rien.  
L'avenir c'est que les citoyens soient consultés et votent par internet pour tout ce qui concerne la vie de leur commune et de leur communauté de communes !!
 
Puisque rien n'est jamais clair avec Mr le Maire par rapport au cinéma par exemple qui paye la venue de toutes ces personnalités ? Réalisateurs, acteurs etc... Au cinéma « Le Paradis », leurs déplacements, leurs repas, leurs hôtels et j'en passe, cela mériterait juste qu'on nous le dise ne croyez-vous pas ?
 
Défendre le bien commun et les citoyennes et citoyens n'équivaut pas à faire polémique ou être un oiseau de mauvaise augure, c'est juste rendre compte aux personnes, leur dire à quoi sert leur argent et que l'on ne peut pas jouer avec !!!
 Encore une fois seul Patrick LE ROUX dans l'opposition a voté contre ce projet, je le félicite et il a tout mon soutien !!!  #NLEVEIL2017

Écrit par : NL | 13/02/2017

Vu ces commentaires il est évident qu'il règne un drôle de climat depuis plusieurs années à Quiberon.
l'amour prétendu de la cité et de ses habitants lors de la dernière campagne électorale cachait en définitive une future mise à sac des biens et propriétés dans le style rue du Levant au profit des banques, promoteurs et EADM. Quand on a auparavant bien vendu ses propres avoirs on s'attaque à ceux des autres sans vergogne.
NLEVEIL 2017 vous repasserez. Avez-vous déjà oublié l'histoire du mobil-home de l'ancien maire aujourd'hui couverte par Hilliet on se demande pourquoi.
Quiberon est le reflet de ce qui se passe actuellement au niveau départemental et national. La révolution n'est plus très loin.

Écrit par : justice | 13/02/2017

En réponse à votre commentaire "justice" , je n'oublie absolument rien, je dénonce clairement tous les abus! C'est pourquoi je fais des propositions qui vont totalement dans ce sens !!! Je serai ravi de vous rencontrer pour en discuter devant un café et je suis assez d'accord avec ce que vous dites. À très bientôt NL

Écrit par : Lecomte | 20/02/2017

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