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29/08/2016

Urbanisme à Vannes ?

On garde les vieux immeubles des années 60, on refile à Paris les "bulbes" de Multiplast !

Paris, bulbes de Multiplast.jpg

Plutôt que de réduire les "monstres départementaux" de la CPAM, on profite du "potentiel" de profit de l'immobilier, pour "expulser" les salariés du Centre de Vannes...

Avec l'Hôtel départemental des impôts, on atteint les sommets de l'horreur architecturale, aggravée par le côté "bon marché" de la construction !

Le "beau" de Multiplast file à Paris !


Le siège de la CPAM de Vannes intéresse les promoteurs

Ouest France du 29 août 2016

 CPAM, Immeuble boulevard de la Paix à Vannes.jpg

A Vannes, le siège de la CPAM, boulevard de la Paix, et ses onze étages (ce qui en fait l’immeuble le plus haut de la ville) est à vendre et sera disponible en 2018. Le temps que soient construits, au nord de la ville, dans le parc d’activités de Laroiseau, les nouveaux locaux de l’Assurance maladie. Trois promoteurs sont pour l’instant intéressés par ce bâtiment de 1972. La CPAM indique qu’au-delà du prix, elle attachera tout autant d’importance à la destination future du bâtiment, à sa restauration… Le nouveau siège de la CPAM reviendra à 25 millions d’euros. A rapprocher des 20 millions qu’aurait coûté une rénovation. Une différence de 5 millions qui devrait être amortie par la diminution de moitié de la facture maintenance et gardiennage des actuels bâtiments (1,5 million par an).

 

À Paris, trônent les bulbes de Multiplast

Ouest France du 25 août 2016

 Paris, bulbes de Multiplast.jpg

Les quatre bulbes fabriqués par la société vannetaise ont été installés sur l’église orthodoxe russe. À deux pas de la Tour Eiffel.

L’histoire

« C’est une grande fierté et cela va faire des petits… » disait hier Yann Penfornis, directeur de Multiplast. C’est une étonnante vitrine de son savoir-faire que l’entreprise vannetaise, spécialisée dans les matériaux composites et carbones, s’est offerte à Paris, à deux pas de la Tour Eiffel… Après la pose d’un premier bulbe de 12 m de haut et pesant 9 tonnes en mars, cette fois ce sont les quatre derniers bulbes de l’église orthodoxe russe Sainte-Trinité qui ont été posés, mercredi, à 37 m au-dessus du sol. De couleur or, les bulbes de 6 m de haut, pesant 2,2 tonnes chacun, sont surmontés d’une croix de 2 m. L’ensemble des cinq dômes de l’église - comme le veut la tradition orthodoxe russe - tutoient désormais le ciel de Paris. Jean-Michel Wilmotte, l’architecte, en parle comme d’ « un phare urbain dans le paysage parisien » .En fait, sur ce terrain de 4 240 m², propriété du Kremlin, est construit un centre spirituel et culturel orthodoxe voulu par Vladimir Poutine. Il comprend un centre paroissial (avec bureaux et appartements meublés), une école primaire franco-russe, un centre culturel comprenant une librairie, des salles d’exposition et un café. L’église est l’élément central de ce programme immobilier d’un montant total de 170 millions d’euros. Pour Multiplast, ce travail en soustraitance de Bouygues Construction qui réalise l’ensemble immobilier, tout comme la collaboration avec le cabinet d architectes Wilmotte & Associés, « est un super-beau projet. Et nous avons d’ailleurs des discussions d’ouvertes avec Bouygues pour des éléments composites de façades », indique Yann Penfornis, sans en dire plus. « Et nous avons aussi des contacts avec d’autres architectes. »

Patrick CROGUENNEC.

 

 

 

 

 

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