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18/08/2015

Qu'est-ce qu'elle a, ma gueule ?

 

L'informatique d'aujourd'hui cherche "à vous arnaquer"...

Appel automatique Ecall en cas d'accident.jpg

E-call, ou l'appel automatique des secours, en cas d'accident grave, risque d'inonder les services publics, en cas de "faux positifs" !

Dropbox, qui offre des services de stockage à distance, cherche à sécuriser les rapports électroniques avec ses clients (vieux procédé, piratable facilement !).

AD Blocker, devient une arme contre la multiplication et l'intrusivité des publicités insupportables. La "muraille" contre les "canons"...

Sunroof de Google, vous sauve face aux requins des toits solaires, qui encombrent votre ligne téléphonique à midi !

Armez vous dès aujourd'hui contre les détrousseurs du Net !

 


 

Automobile,  eCall, un appel d’urgence pour accélérer les secours

 

Les Echos du 13 août 2015

 

 

 

 

L’objectif de « eCall » est de réduire de moitié le délai d’intervention en rase campagne, et de 60 % en zone urbaine. - AFP

 

Pour améliorer les chances de survie en cas d’accident, ce dispositif sera obligatoire sur tous les nouveaux véhicules immatriculés à partir d’avril 2018.

 

Et si votre voiture était capable de passer un coup de fil ? Ce sera bientôt le cas, lorsque les nouveaux véhicules immatriculés auront l’obligation d’embarquer le dispositif d’appel d’urgence « eCall » à leur bord. Le système, dont les dispositions ont été approuvées en avril par le Parlement européen, entrera en vigueur dans toute l’Union au 31 mars 2018. Il permettra d’alerter, manuellement ou automatiquement – via des capteurs situés sur les airbags –, les services de secours en cas d’accident.

 

Etre plus efficace durant « l’heure d’or »

 

Un socle de « données de base minimum », comprenant notamment la géolocalisation du véhicule, son type, ou encore le nombre de passagers et le carburant utilisé, sera transmis à l’une des plates-formes du 112, le numéro d’appel d’urgence européen. L’objectif est de réduire de moitié le délai d’intervention en rase campagne, et de 60 % en zone urbaine. Cet élément de sécurité tertiaire vise à maximiser le nombre d’interventions réalisées durant « l’heure d’or », lorsque les chances de survie sont les plus importantes.

 

La moitié du parc européen équipée sous quinze ans

 

Si le système eCall, gratuit, ne sera déployé qu’à partir de 2018, d’autres dispositifs développés par certains constructeurs existent déjà. « Nous avons déjà intégré depuis 2003 des “boîtiers télématiques autonomes” sur 1,7 million de nos véhicules, à l’origine de l’émission de 13.000 appels d’urgence en 2014 », explique un porte-parole de PSA. Outre les appels d’urgence, ces systèmes privés proposent souvent d’autres services tel qu’un diagnostic en temps réel du véhicule et la mise en relation avec un réparateur en cas de panne – le plus souvent affilié à un réseau. Ces dispositifs font ainsi partie intégrante de la relation-client. « A l’heure actuelle, on estime que 2 % du parc automobile français est équipé du système eCall, et 1,5 % à l’échelle européenne », souligne Antoine Trarieux, directeur des services ­connectés automobiles chez Inter Mutuelles Assistance, qui gère en France les appels d’urgence émanant de véhicules Peugeot, Citroën DS, BMW et Mercedes. La moitié du parc automobile européen devrait néanmoins être équipé à horizon 2030.

 

En France, le ministère de l’Intérieur s’est ému de la probable surcharge des services publics, et a demandé à ce que la distinction soit faite entre les appels liés à de l’assistance connectée et les appels d’urgence à proprement parler. La Commission européenne, inflexible, veut obliger les Etats-membres à recevoir l’intégralité des appels – même si elle est ouverte à un traitement séparé après un premier filtrage.

 

Le déploiement de l’eCall pose aussi la question de sa standardisation au niveau européen, alors que le 112 n’est pas encore opérationnel partout. Les Etats-membres devront s’être dotés d’ici octobre 2017 des infrastructures idoines au bon fonctionnement du système. Le jeu en vaut la chandelle : 25.700 personnes ont trouvé la mort sur les routes européennes en 2014. Un chiffre que la Commission veut abaisser de 10 % grâce à l’eCall.

 


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/021260803785-automobile-ecall-un-appel-durgence-pour-accelerer-les-secours-1144257.php?4fEEqH4liwChy8KE.99#xtor=EPR-9-%5Bjournal_22h30%5D-20150813-%5BProv_%5D-1104545%402

 

Authentification, Dropbox ajoute une clé USB au mot de passe

 

IT Expresso du 14 août 2015

 

Clément Bohic

 

Dropbox prend désormais en charge le protocole Universal Second Factor, qui permet l’authentification par une clé USB en complément au mot de passe.

 

 

Crédit photo : bygermina – Shutterstock.com

 

Dropbox adopte à son tour l’Universal Second Factor (U2F).

 

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Spécifié dans la norme FIDO (Fast IDentity Online) chapeautée par l’alliance du même nom, ce protocole s’appuie sur un élément physique – clé USB ou appareil connecté en NFC – pour simplifier et renforcer les mécanismes d’authentification.

 

Il se présente comme un complément au mot de passe, par opposition à l’Universal Authentication Framework (UAF), autre standard FIDO qui permet l’identification biométrique à travers des dispositifs comme le lecteur d’empreintes digitales, la reconnaissance faciale et l’analyse rétinienne.

 

Dans le cas de Dropbox, l’authentification est renforcée par une clé USB. Cette dernière n’est pas liée au service de stockage en ligne : elle est « universelle » et peut être paramétrée avec d’autres sites Internet compatibles.

 

On en trouve à la vente chez des entreprises spécialisées comme Yubico (dont l’offre a retenu l’attention de Google), mais aussi sur des places de marché généralistes comme Amazon.

 

Le dispositif fonctionnement nativement sur Chrome, sans plugin ni pilote, dans les environnements Windows, Mac et Linux (quelques ajustements sont nécessaires sur certaines distributions ; plus de détails techniques sur les formats, les protocoles et l’implémentation sur cette page).

 

Des logiciels open source sont disponibles pour l’utilisation sur Android et sur d’autres navigateurs, mais dans sa communication officielle, Dropbox recommandent à quiconque n’utilise pas Chrome de se contenter de l’authentification forte « traditionnelle », c’est-à-dire l’envoi d’un code par SMS.

 

La clé USB présente toutefois plusieurs avantages par rapport à un téléphone : pas de problème de batterie et un risque de piratage bien moins important si l’on considère qu’il s’agit d’un simple composant sécurisé (Secure Element) qui hache les clés de chiffrement en fonction du mot de passe de l’utilisateur.

 

image: http://www.itespresso.fr/wp-content/uploads/2015/08/u2f.jpg

 

 

 


En savoir plus sur http://www.itespresso.fr/authentification-dropbox-ajoute-cle-ubs-mot-passe-105053.html#Ttz2gm1toGOZoflW.99

 

 

 

 

 

 

 

Le blocage de la publicité prend de l’ampleur sur Internet

 

 

 

Les Echos du 10 août 2015

 

 

 

Romain Gueugneau

 

 

 

Les internautes seraient, d’après l’étude publiée par PageFair et Adobe, 200 millions à utiliser de façon régulière un « ad blocker », dont un peu plus d’un tiers pour la seule Europe (77 millions). - Shutterstock

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les chiffres ont de quoi inquiéter les éditeurs de sites Web et les publicitaires. Selon le dernier rapport publié par PageFair et Adobe, le phénomène du « ad blocking » pourrait leur coûter près de 22 milliards de dollars de revenus perdus en 2015. Soit environ deux fois plus que l’an dernier (11,7 milliards) !

 

 

 

Un peu partout dans le monde, les internautes sont toujours plus nombreux à s’équiper de logiciels permettant de cacher la publicité sur Internet. Ils seraient, d’après l’étude, 200 millions à utiliser de façon régulière un tel « ad blocker », dont un peu plus d’un tiers pour la seule Europe (77 millions). Dans certains pays, le taux de pénétration de ces logiciels dépasse les 30 %. C’est le cas en Grèce, qui détient la palme des « ad blockers », avec 37 % d’internautes utilisateurs. La France est plus mesurée, avec un taux limité à 10 %.

 

 

 

Google Chrome pointé du doigt

 

 

 

Si le nombre d’utilisateurs de ces logiciels ne représente qu’une minorité (6 % des internautes dans le monde), les pertes estimées pèsent 14 % des dépenses publicitaires mondiales en ligne. Les sites de jeux vidéo, liés aux thématiques high-tech et les réseaux sociaux sont les plus touchés par le phénomène.

 

 

 

« Ce qui inquiète le plus les diffuseurs et les annonceurs sur le Web, c’est que les vidéos, qui sont un contenu à forte valeur ajoutée, commencent elles aussi à être bloquées », a commenté Campbell Foster, chez Adobe. Le navigateur Google Chrome est pointé du doigt comme étant l’un des principaux moteurs de croissance du « ad blocking 

 

 

 


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/021254974047-le-blocage-de-la-publicite-prend-de-lampleur-sur-internet-1143514.php?xCoWMKCiTmwTBC5j.99#xtor=RSS-38

 

 

 

 

 

 

 

Google calcule si vous êtes gagnant en installant des panneaux solaires

 

 

 

Le Figaro Immobilier du 18 août 2015

 

 

 

Est-il intéressant d’installer des panneaux solaires sur son toit ? Un outil conçu par Google doit trouver la réponse en combinant cartographie aérienne et statistiques météorologiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 «Je suis toujours surpris par le nombre de gens que je rencontre qui pensent: «mon toit n’est pas assez ensoleillé pour l’énergie solaire» ou «le solaire est trop cher». Beaucoup d’entre eux laissent sûrement passer une chance d’économiser de l’argent et d’être écolo», explique Carl Elkin, chef ingénieur du «projet Sunroof», sur l’un des blogs officiels de Google. Il y présente un nouvel outil en ligne du géant américain actuellement en phase de tests dans la baie de San Francisco, la région de Boston et Fresno au centre de la Californie.

 

 

 

L’utilisateur y rentre simplement son adresse. L’outil utilise ensuite des images aériennes à haute résolution (les mêmes que celles de Google Earth) pour calculer le potentiel du toit en termes d’énergie solaire. Le «Sunroof Project» commence par estimer quelle quantité de soleil le toit reçoit sur une année, en tenant compte de son orientation, de l’ombre d’éventuels arbres ou bâtiments voisins, ou encore des tendances météo locales.

 

 

 

Investissement dans des centrales solaires

 

 

 

Il donne ensuite des recommandations sur la taille des panneaux solaires à installer et calcule le montant des économies qu’ils permettront de réaliser. L’utilisateur peut affiner la recherche en précisant quelle est sa consommation électrique, s’il veut louer ou acheter les panneaux solaires…

 

 

 

«Project Sunroof est dans une phase pilote pour l’instant, mais dans les prochains mois nous explorerons comment rendre l’outil meilleur et plus largement disponible», précise Carl Elkin, qui dit avoir conçu l’outil sur le temps de travail que Google pousse ses salariés à utiliser pour des projets extérieurs à leurs tâches normales.

 

 

 

Les énergies renouvelables font partie des domaines d’intérêt du groupe internet en dehors de son cœur de métier de recherche et de publicité en ligne : Google a ainsi dans le passé annoncé plusieurs investissements dans des centrales solaires ou les champs d’éoliennes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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