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25/07/2015

Journalisme local ? La qualité ne paye pas !

Ouest France est distribué "gratuitement" dans les magasins Super U !

Tire-bouchon, en gare de Quiberon.jpg

Les deux journaux locaux risquent de subir le même sort que les publications de la société SCRIB à Vannes, dont le redressement judiciaire vient d'être prononcé !

Le "papier", nourri par des pseudos-journalistes locaux, payés à la pige est de mauvaise qualité ! Ne parlons pas des sites internet, qui sont également de mauvaise facture (notamment celui du Télégramme, dont la base de données PHP roule sur la jante !)...

Pour remplir, on ressort les articles de l'année dernière, avec un coup de pinceau aux couleurs 2015...

Le "Tire-bouchon", sujet d'importance pour les attardés de la presqu'île, est repeint "en rose" !

Sans mentionner, que la voie est tellement vétuste, que la vitesse est limitée à 60 kilomètres à l'heure...que la voie est unique, avec croisement obligatoire à Plouharnel, que le bilan global annuel semble glorieux (138.000 passagers pendant l'été 2014), mais que le bilan financier pour la Région (nos impôts quand même !) n'est jamais publié, que la départementale, parallèle et souvent empêchée par le Tire-bouchon, enregistre des pointes à 5.000 voitures à l'heure, que 90% du trafic vers Quiberon et Belle-Ile est assuré par la route, que la totalité des supermarchés de la presqu'île est alimentée par camions...

A force de raconter "des bêtises", les journalistes locaux sont responsables de la prochaine faillite de leurs journaux !


Tire-bouchon, Auray-Quiberon, les 30 ans du train des vacances

Télégramme du  25 juillet 2015

Pierre Arz

 

Cette année, le Tire-bouchon fête ses 30 ans.

 L'occasion de (re)découvrir le train mythique de la presqu'île. Ambiance... Sur les quais de la gare d'Auray, les voyageurs attendent patiemment leur train. Toutefois, l'un des quais semble plus animé que les autres. C'est celui du Tire-bouchon, le fameux train reliant Auray à Quiberon. Certains grimpent dans les wagons avec leur vélo, d'autres avec leur planche de surf. Il y en a même qui sont déjà en maillot de bain !

« C'est ce qui fait son charme, commente Anne Dewulf, responsable commerciale pour la SNCF.

 Le Tire-bouchon n'est pas un train comme les autres, c'est le train des vacances ». Utile et touristique Les vacances justement. Pour Anaïs, contrôleuse saisonnière, « elles démarrent dès l'entrée du voyageur dans le Tire-bouchon. On les sent heureux. » C'est vrai qu'il y règne une atmosphère joviale, qui plus est quand le train se met en route. C'est donc parti pour un voyage de 50 minutes dans un cadre splendide.

Passé Plouharnel, la mer fait son apparition pour le plus grand bonheur des touristes. En une formule, Pascal Paturel, manager des contrôleurs, résume ce que représente le Tire-bouchon :

 « C'est un train touristique avec une utilité publique.

 Son rôle premier étant de désengorger l'unique route qui mène à Quiberon. En voiture, cela peut parfois prendre plus de deux heures pour atteindre le bout de la presqu'île ! »

 Ainsi, en 2014, 138.000 voyageurs ont emprunté l'un des dix allers-retours proposés par jour. Un train apprécié À une vitesse maximale de 60 km/h, le train continue de s'enfoncer dans la presqu'île. L'allure est parfaite pour admirer tantôt les forêts de pins maritimes, tantôt la mer.

 Les enfants font coucou au passage du Tire-bouchon, les touristes s'arrêtent pour le regarder.

« Les gens aiment ce train, reprend Pascal Paturel. Avant, il était vert. Quand on l'a repeint en gris et bleu, certaines personnes râlaient un peu ».

30 ans d'histoire

 Pour les 30 ans, des animations ont été mises en place. Les mardis, le train de 11 h 11 au départ d'Auray reçoit un conteur qui vient raconter l'histoire de la presqu'île. Les jeudis sont gourmands avec une dégustation des produits de la Belle-Iloise à l'arrivée à Quiberon. Nous laissons notre regard divaguer dans le paysage quand une voix annonce : « Mesdames et Messieurs, nous arrivons en gare de Quiberon, terminus de notre ligne ».

 Le voyage, ou plutôt la visite, s'arrête là.

 Au moment de quitter le train, Anaïs nous livre un petit conseil. « Pour le retour, prenez le train de 21 h 49. Le soleil se couche à ce moment. Quand on passe au bord de la mer, c'est magnifique ».


© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/quiberon/tire-bouchon-les-30-ans-du-train-des-vacances-25-07-2015-10718262.php

 

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