11/03/2015
Liberté d'expression à Saint Pierre Quiberon ?
Les compte-rendus municipaux sont rédigés par les services sous la direction du Maire !
Ce que l'on appelle "la langue de bois" est le maître mot de cet exercice ! délicat, certes, mais qui est archivé par la Préfecture du Morbihan et par les employés municipaux.
La langue française est fort riche et sa maîtrise, qui est enseignée notamment dans les exercices de "résumé" dans les universités françaises, est peu répandue. Les "textes administratifs", les "compte-rendus", les pancartes en tout genre (du type "accès interdit sauf aux personnes autorisées") sont souvent d'une grande pauvreté linguistique...
L'humour, qui est le sel de notre esprit français, en est absent !
Dans le cas présent, la polémique sur la baisse des bases taxables est un chef d'œuvre ! Le "haut responsable" d'AQTA, dont je suis vice-Présidente, a "obligatoirement" raison, face aux interrogations fondées du Père François !...explications ? jamais ?
Sur les conseils de Monsieur l'avocat de la Commune, dont les honoraires pourraient être publiés dans la gazette, et qui souhaite garder la clientèle de la Commune, le Maire doit protéger ses salariés des attaques de blogs locaux...
Drôle de situation, où le Maire ne maîtrise ni leurs agissements non professionnels, ni la responsabilité de poursuivre les contrats de travail, ni les dépenses excessives de fonctionnement, ni leurs déclarations directes à la Presse locale, ni les photos personnelles publiées sur un compte Facebook professionnel...
Doit-on comprendre que le "changement" d'équipe doit conduire la commune "au désastre", à la "chienlit", à la fin des choix économiques et financiers en faveur des citoyens contribuables ?
Après une année 2014, difficile à gérer, la commune peine à publier ses chiffres (Vannes le 31 janvier 2015) du premier exercice, ce qui doit entrainer le "report" du prochain Conseil municipal...
Le citoyen "lambda" désire "voir clair" ! Les compte-rendus ne sont actuellement d'aucune utilité !
Conseil municipal du 27 février 2015 : cliquer ici
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