16/11/2013
"Fédérer les énergies" chez le premier employeur de la Commune !
Madame G, partante, n'a pas les bonnes informations...
Comme d'habitude, la fonction ne fait pas le moine !La nouvelle Directrice de l'ENVSN ne cache pas (le rapport d'audit de 2011 l'indique), que des discussions sont en cours avec la Région "Bretagne", ce qui supposerait un désengagement de l'Etat...
Le plus gros employeur de la Commune perd deux salariés sur 70 en 2014, ce qui veut dire qu'il n'en restera plus en 2049...
Pour l'avenir du développement économique de Saint Pierre Quiberon, il vaut mieux ne pas écouter Madame G !
École de voile, nous devons fédérer les énergies
Ouest France du 16 novembre 2013
Trois questions à...
Mercredi, vous étiez au conseil d'administration de l'école, à Paris, que pouvez-vous en dire ?
La volonté du ministère est de pérenniser et dynamiser l'école. Dans le contexte national de la réduction des effectifs de la fonction publique, nous avons eu la confirmation qu'en 2014, nous aurions une suppression de 1,5 du support budgétaire, soit 2 postes physiques. L'ENVSN doit se mobiliser pour son projet d'établissement et son contrat de performance pour 2014-2017. Il porte sur un ensemble d'activités et d'indicateurs précis. Il sera présenté au conseil d'administration en mars 2014. Quant à la décentralisation potentielle de l'ENVSN, qui conserverait ses missions, des échanges sont en cours avec la Région. Il n'y a aucune décision ou échéance à ce jour.
Vous parlez de deux suppressions de poste pour 2014, comment cela va-t-il se passer ?
Elle se fera en adéquation avec le projet de l'école et avec un accompagnement des personnels concernés par les ressources humaines. Ils seront soutenus dans leurs démarches, leur demande et leur choix auront un caractère prioritaire.
Alors, quel avenir pour l'école ?
Je suis consciente de la situation. Je continuerai à mettre tout en œuvre pour fédérer les énergies, nous devons repositionner l'école à l'international, au national, qu'elle rayonne, tout en ayant un ancrage fort dans la région. Tous ensemble, nous devons récréer de l'activité pour augmenter les ressources propres du budget et continuer les missions innovantes que nous savons mettre en œuvre. Pour ce faire, j'appelle les personnels à l'apaisement, pour que nous puissions nous mobiliser pour travailler ensemble et rester toujours aussi compétitif.
L'État ne souhaite pas se séparer de l'école
Télégramme du 16 novembre 2013
Le maire, Geneviève Marchand, membre titulaire en tant que premier magistrat de la commune où se situe l'établissement public, était présente mercredi 13 novembre à Paris au conseil d'administration. Sur le mouvement de contestation de certains personnels, elle insiste sur l'aspect économique : « L'ENVSN est le premier employeur de la commune et fait partie des cinq premiers de la presqu'île. Je suis donc forcément soucieuse de sa pérennité. Sur ce point, j'ai été rassurée par les propos du représentant du ministère. L'État ne souhaite pas se séparer de l'école ».
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