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22/01/2013

les "godillots" ?

La valse des dirigeants de Sociétés nationales, où l'Etat est "minoritaire"...

Le pouvoir politique exerce à nouveau un rôle "pervers" dans le choix, très politique des dirigeants de Sociétés Nationales. Les "affidés" de l'ancien Président sont remerciés les uns après les autres et remplacés par les nouveaux "copains"...

Et ceci sans aucun rapport avec les qualités de gestionnaire, que l'on doit attendre d'un haut dirigeant.

Orange est l'exemple même d'une gestion de monopole, qui échappe constamment aux ordres gouvernementaux. L'effort pour la "fibre" est mesuré, alors que les placements internationaux incertains dérapent dans plusieurs filiales. Le péché "capital" est d'avoir fourni à FREE, le diable, les moyens techniques pour capturer en un an 5 millions d'abonnés "mobiles", obligeant Arnaud Montebourg à force galipettes pour indiquer qu'un placement "offshore" dans une zone détaxée du Maroc était bien un acte contre la "mondialisation" !

Anne Lauvergeon a l'image, elle, "d'une résistante à l'ancien Président" et d'une femme à la stature industrielle méritée... la "Lagarde" du management...

Veolia Environnement est le "poil à gratter" du gouvernement de Gauche. En mauvaise posture, la branche transports par autocar a été refilée à la Caisse des dépôts en catastrophe...

Croire aujourd'hui, que changer un "dirigeant" tous les deux ans est une stratégie payante, c'est montrer que "l'expérience professionnelle" de nos hommes politiques est plutôt "légère" !


Rumeurs en série sur la future direction d'Orange
Le Monde.fr du 21 janvier 2013

Selon des informations rapportées lundi 21 janvier par la Lettre de l'Expansion, le gouvernement envisage de nommer Stéphane Richard, PDG de France Télécom à la tête de Veolia Environnement, l'ancienne patronne d'Areva Anne Lauvergeon étant pressentie pour lui succéder à la présidence de l'opérateur télécoms. Selon nos informations, cette rumeur circule en fait depuis l'automne. Bercy a toutefois démenti en fin d'après-midi vouloir écourter le mandat de Stéphane Richard.

La lettre hebdomadaire, qui ne cite pas ses sources, croit savoir que le gouvernement reprocherait à Stéphane Richard "d'avoir signé l'accord avec Free en lui donnant l'accès à son réseau, provoquant de nombreuses conséquences sociales". Fleur Pellerin avait cependant déclaré au Monde la semaine dernière que l'Etat ne critiquait pas le contrat d'itinérance passé entre Orange et Free - qu'il a par ailleurs signé -, mais qu'il n'était pas satisfait des modalités d'attribution de la licence à Free.

REMPLACER ANTOINE FRÉROT
L'idée du gouvernement serait de nommer l'actuel PDG de France Télécom comme PDG de Veolia, en remplacement d'Antoine Frérot, dont les rumeurs d'éviction circulent depuis un an. Début 2012, l'hypothèse d'une nomination de l'ancien ministre centriste Jean-Louis Borloo pour succéder à Antoine Frérot avait été évoquée.
Selon la Lettre, l'ancienne présidente du directoire d'Areva Anne Lauvergeon serait pressentie pour remplacer Stéphane Richard et aurait rencontré "récemment" Didier Lombard, l'ancien PDG de France Télécom.
L'Etat français et le FSI détiennent 27,11 % du capital de France Télécom et la Caisse des dépôts (CDC) 9,2 % du capital de Veolia. A fin 2012, l'Etat contrôlait également directement ou indirectement près de 87 % du capital d'Areva

Commentaires

pourquoi " à nouveau" ça a toujours été le cas sous n'importe quel gouvernement

Écrit par : johan | 22/01/2013

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