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14/12/2012

Vade retro Kafka ?

La Région "Bretagne" est inquiète du manque d'impulsion de l'Etat !

Le Président de Région a deux pieds malades ! Note Dame des Landes et la Ligne à Grande Vitesse... d'un côté on tente de calmer le jeu des manifestations écologiques, en retardant le projet, de l'autre on "arbitre" entre les différents projets de LGV en France, en retardant aussi les projets engagés...

Aéroport moderne, Ligne à Grande Vitesse... on rejoue aujourd'hui la guerre contre les centrales nucléaires sur le sol breton, avec les conséquences visibles sur l'alimentation électrique de nos communes !

Sur la presqu'île, un Comité de réflexion "apolitique" souhaite aborder les grandes questions de la vie quotidienne... n'oublions pas aujourd'hui la proximité de projets "ubuesques" comme la Grande Communauté du Pays d'Auray, l'absence de coopération (hors syndicats mixtes) entre Saint Pierre et Quiberon, la dérive inquiétante du commerce local et l'asymétrie exacerbée de la vie économique locale...

Réflexion, oui, mais privilégions surtout l'action politique !


Région Bretagne, en finir avec l'enfouissement des projets
Télégramme du 14 décembre 2012

Comment sortir de la crise de l'économie et de l'emploi? Par les infrastructures, l'allégement des procédures, et la simplification des institutions, a répondu le président du conseil régional. Un propos que le débat a enrichi, plus qu'il ne l'a contesté.

«Nous devons nous interroger sur les freins que nous avons nous-mêmes introduits dans nos processus de décision et de réalisation», a lancé, hier, le président du conseil régional, Pierrick Massiot, en engageant la session. «Aurions-nous tout ce tohu-bohu sur l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes si, après l'inscription du projet au schéma national des transports, avec l'accord de Dominique Voynet en 2000, la réalisation avait immédiatement suivi la déclaration d'utilité publique?». Même critique de la lenteur pour l'axe routier central ou le projet ferroviaire, «validés démocratiquement mais qui s'enlisent dans des délais de mise en oeuvre incompréhensibles».

Vade retro Kafka
Pour le président, c'est là le fruit empoisonné d'une «accumulation de procédures» qui «organisent l'enfouissement pendant des années de projets d'intérêt général». Il ne s'agit pas de renoncer à la concertation ou d'interdire la contestation mais de venir à bout de «cet univers kafkaïen de procédures et de normes». Toujours dans un souci d'efficacité de l'action publique, Pierrick Massiot compte que le gouvernement soit «suffisamment ferme et lucide» pour qu'il engage «la décentralisation comme une bataille contre l'immobilisme, avec vitesse et avec force». Il n'en a pas moins exprimé un doute sur le contenu de la future réforme pilotée par l'élue bretonne Marylise Lebranchu: «La loi que nous espérons aura-t-elle la portée escomptée?»

Bernadette Malgorn renchérit
Sur un ton tout aussi volontaire, Bernadette Malgorn (Droite et Centre de Bretagne) a souligné la «langue de bois inquiétante» du ministre des Transports, en plein travail de «hiérarchisation» des investissements. «Quel est l'avenir de notre projet ferroviaire?», a-t-elle demandé. «Quand on voit que Notre-Dame-des-Landes s'empêtre dans un moratoire de dialogue, on peut craindre que le gouvernement s'enlise dans ce projet d'aménagement du territoire en lien avec le ferroviaire Rennes-Brest et Rennes-Quimper». Pour elle, il convient d'engager au plus tôt les investissements sur ces infrastructures, même s'il faut, pour ce faire, «remettre en cause d'autres politiques». Sur la future décentralisation, à laquelle la Région est invitée à contribuer (lors de son débat d'aujourd'hui NDLR), Bernadette Malgorn regrette qu'aucun document d'avant-projet ne soit soumis à la réflexion de l'assemblée. Comme le président mais avec la verve critique qui sied à son rôle d'opposante, elle a dit ses doutes sur l'issue du chantier, dont elle craint qu'il débouche sur «un texte de compilation des exigences des différents lobbies» (les départements et les métropoles) qui sont allés «plaider à l'Élysée» pour leur paroisse. Autre crainte: que cette loi alourdisse la fiscalité «en taxant tout ce qui bouge».
• Alain Le Bloas

Conseil de réflexion, une nouvelle force de proposition
Télégramme du 14 décembre 2012

Ils sont une dizaine pour le moment et veulent travailler pour la collectivité. Le «conseil de réflexion et de développement de la presqu'île de Quiberon» est né et souhaite être une force de proposition pour les deux communes. Marc Espa, initiateur de ce projet a répondu à nos questions.

Qui compose ce conseil de réflexion et de développement ?

Nous sommes un groupe de citoyens engagés dans la vie locale, tous bénévoles. Personne n'a de mandat politique et nous tenons à rester apolitiques. Nous sommes issus de secteurs socio-économiques différents, d'associations.

Que souhaitez-vous apporter ?

Nous souhaitons favoriser les débats en impliquant les forces vives dans un dialogue sans contraintes et sans enjeux de pouvoir. Nous allons travailler pour proposer des idées pour la vie quotidienne des habitants du territoire aujourd'hui et demain.

Comment allez-vous fonctionner ?
Le conseil va choisir des sujets sur lesquels il souhaite mener une réflexion approfondie pour apporter sa contribution au développement durable et solidaire du territoire. Chaque année, nous organiserons des commissions de travail, avec des échanges, des rencontres avec des experts, des visites sur le terrain afin de pouvoir construire nos avis et nos propositions. Nous rédigerons alors des rapports qui pourront être présentés aux habitants lors de réunions publiques ou par voie de presse.

Contact Conseil de réflexion et de développement de la presqu'île de Quiberon. Marc Espa, tél.06.83.62.61.62.

Commentaires

Vous pensez savoir tout ce qu'il faut faire pour le bien de la réion.
Un truc tout simple, si vous partiez ainsi que ceux qui vous ressemblent, (je parle de ceux qui n'aiment ni ce qu'est le pays, ni ses habitants) nous arions moins besoin d'électricité.

Écrit par : johan | 14/12/2012

Cher Johan,
le test de votre QI n'est pas bon... car vous avez du mal à comprendre des choses simples... si vous avez plus de 75 ans, vous êtes vraiment un "vieux" à Saint Pierre... si vous avez plus de 70 ans, vous êtes un "vieux" de Quiberon. A 3 kilomètres de distance vous n'êtes pas le même vieux ! Vous devez souffrir d'un excès d'iode...

Écrit par : jeanbart | 14/12/2012

Peux-tu nous dire à quel âge on est vieux, selon toi?
Je pense à la chanson de Brassens:" le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on est con".

Écrit par : JPD | 14/12/2012

Je ne sais pas si Johan souffre d'un excès d'iode.
Mais curieusement vous semblez sérieusement en manquer.
Ceci s'appelle le syndrome du "CRÉTIN DES ALPES".

Écrit par : professeur shadoko | 14/12/2012

Mon p'tit bonhomme je vous prends en test de QI quand vous voulez !!!
Et MOI je n'ai pas de besoin de psychothropes.
Quand à l'histoire 70 et 75ans vous pouvez me dire de quoi vous voulez parler. je n'en fait pas état dans mon commentaire car le pseudo article que j'ai commenté ici est Vade retro Kafka entre parenthèse aussi nul et embrumé que la tentative d'article titrée "70, 75 ans ?" que vous semblez évoquer.
MDR vous n'êtes même plus capable de vous relire

@JPD
petit noeudnoeud-leu nous prouve tous les jours la véracité de la phrase que vous citée

Écrit par : johan | 15/12/2012

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