29/07/2012
Initiative privée ?
Nos voisins font confiance à l'entreprise privée ! A Saint Pierre on crée de "l'emploi municipal" !
Lorient, Quiberon et Vannes, trois exemples d'opérations, qui ne verront jamais le jour dans notre commune.
Le maillot "de gauche" colle à la peau de notre équipe municipale, qui faute d'initatives privées se recentre sur des opérations inutiles : Office de Tourisme, Cocon de la Baie, Panneaux d'affichage de plage, modification des sens de circulation, Voyage en Tire-bouchon, Manifestations culturelles de bas niveau, "Dialogue d'été", vide de contenu en 12 pages, Policier municipal ne sachant pas verbaliser les Maîtres de chiens, qui urinent sur les plages...
Le Bilan : désastreux... Les infrastructures ne sont plus entretenues, les chemins de campagne sont aujourd'hui impraticables...
Y a-t-il encore ici une équipe municipale ?
Celtic Submarine, le porte-entreprises de Lorient
Télégramme du 18 juin 2012
L'arrivée de la Volvo Race braque cette semaine les projecteurs sur la «sailing valley» lorientaise, devenue, en moins de 10 ans, pôle européen du nautisme. Notre série part à la découverte des entreprises de la BSM. Immersion avec le Celtic Submarine.
Avec son architecture peu banale que le jaune et noir de ses murs rendent visible mille lieues à la ronde, le bâtiment Celtic Submarine illustre le cap pris par la base des sous-marins, en direction du «Pôle courses grand large». CelticSubmarine, c'est avant tout une aventure humaine avant d'être une réussite économique. Bernard le Meur, ancien directeur de la clinique du Ter revient sur cette odyssée.
Celtic Submarine, au commencement, c'est quoi ?
Je dirais plutôt c'est qui ? Unhomme, Laurent Moisson, alors jeune patron d'An Oriant Seal (AOS). Cap l'Orient ambitionne de transformer la base des sous-marins qui vient d'être désertée par les militaires en un «Pôle courses grand large». Sur les terre-pleins laissés en friches, Laurent Moisson projette de construire un bâtiment de 1.000 à 1.200m² susceptible d'accueillir des activités en lien avec le monde du nautisme. Dans son sillage, il entraîne Jean-Yves Langlois, dirigeant de Nautix et Louis Le Bourlot, expert-comptable et administrateur d'AOS. La première esquisse présentée ne convainc pas Cap l'Orient qui refuse de donner son feu vert. Quelque temps plus tard, Louis Le Bourlot qui n'a pas abandonné me contacte. Nousnous connaissons bien. Luiest le comptable du Festival interceltique et moi j'en étais le vice-président. Louis Le Bourlot me demande si je ne veux pas mettre mes compétences professionnelles au service de leur projet. Noël Couëdel, président du Fil qui assiste à la scène se dit prêt à nous suivre. Etpuis les événements se sont enchaînés. De 1.000m², nous sommes passés, à 3.000 puis à 5.000m². Et Cap l'Orient a fini par être séduite. C'était en 2008.
Aujourd'hui, combien d'entreprises ont-elles embarqué à bord de Celtic Submarine
?
Nous en sommes à 54. Ellesreprésentent environ 300emplois.
Comment expliquez-vous le succès de cette opération ?
L'architecture du bâtiment, signée Marc Andréatta
y est pour beaucoup. Avec ses murs jaune et noir, elle n'est pas banale. Il y a aussi son nom. Celtic Submarine a tout de suite séduit les entreprises.
Hôtel à Quiberon, 57 chambres proposées à l'Ibis Styles
Télégramme du 27 juillet 2012
Un tout nouvel hôtel vient d'ouvrir ses portes. Situé à l'emplacement de l'ancien hôtel-restaurant Idéal, au 43, rue de port Haliguen, l'hôtel Ibis Styles a été entièrement rénové et relooké. Il comporte 57chambres, notamment des suites familiales de quatre personnes. Stéphane Duparc, directeur, est ravi: «Accès handicapés, piscine chauffée, solarium avec une vue permettant une découverte de Quiberon et de la mer sur 360°. Tout a été pensé pour le confort des loisirs vacances». L'établissement, qui dispose de grandes salles de séminaires ultramodernes et très claires, peut recevoir 70 personnes. Il ouvrira d'ici dix jours une salle de sport, bain bouillonnant et sauna.
Contact Hôtel Ibis Styles: 43, rue de Port-Haliguen, tél.02.97.58.35.80.
Nord-Gare de Vannes, les grands travaux ont commencé
Télégramme du 28 juillet 2012
Les travaux de terrassement de deux immeubles de logements ont débuté dans le quartier nord-gare, rebaptisé Kereden par le groupe Giboire. Un permis de construire a été déposé pour un hôtel et des bureaux.
Choisi par la mairie pour construire le nouveau quartier au nord de la gare, le groupe Giboire avait proposé qu'on le baptise Kernova. Après le refus par la ville d'adopter ce nom en 2011, il aura fallu un an pour que les deux parties tombent d'accord: ce sera donc Kereden. Les travaux d'excavation ont débuté pour le premier bâtiment qui s'élèvera sur le site. Il s'agit d'un immeuble qui comportera 61 logements, du studio au T4. Leur commercialisation a débuté, pour une livraison par tranches à partir de fin 2013. Un second immeuble de 36 logements doit être construit en face. Ce premier îlot sera situé à l'angle des rues de Strasbourg et du 65e-RI. 158 places de stationnement sont prévues, entièrement en souterrain. Une quarantaine d'autres logements, sociaux cette fois, seront bâtis par Vannes Golfe Habitat. À cet ensemble s'ajoutent une coulée verte et un parvis, qui servira de place publique.
88 chambres d'hôtel
Le groupe Giboire a déposé hier une demande de permis de construire portant sur deux autres projets immobiliers. La proximité de la gare est en lien direct avec la nature du premier, puisqu'il s'agit d'un hôtel trois étoiles de 88 chambres. Il sera construit à l'angle de la rue de Strasbourg et de la rue de Nomény. La clientèle visée est celle des hommes d'affaires qui séjournent à Vannes. Dans sa continuité, le promoteur prévoit de construire 7.500m² de bureaux. Un ensemble de 270 places est prévu, en souterrain pour l'hôtel, aériennes pour les bureaux. Deux autres immeubles compléteront l'ensemble, mais leur destination n'est pas connue. «Il s'agira peut-être de résidences pour les étudiants ou pour des seniors, ou encore de l'habitat, ce n'est pas défini pour l'instant», explique Sophie Veillon, responsable développement de Giboire dans le Morbihan. Ce qui est réglé en revanche, c'est l'impasse dans laquelle la ville et le promoteur se trouvaient s'agissant du dernier bâtiment privé encore debout en plein milieu du chantier. Un accord aurait finalement été trouvé avec le propriétaire. La démolition des locaux est programmée.
• Loïc Berthy
Commentaires
Stupidité...
tout d'abord , comparez ce qui peut l'être
St Pierre n'a pas de base osus marine désafectée a reprendre pour y faire un pole industriel.
Par ailleurs, je suis sur que si quelqu'un achetait un terrain constructible et déposait un permis de construire respectant les normes pour un hotel la municipalité de gauche ou de droite l'accepterait.
mais la critique est si aisée...même mal fondée
Écrit par : johan | 29/07/2012
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