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23/04/2012

Bretagne ?

De la tradition aux idées nouvelles... Made in "Bretagne"...

Qui pourrait deviner que le petit carré de chocolat, qui accompagne la tasse de café, est breton ? La France, avec ses anciennes cultures de café en Afrique, est championne du "Robusta", un café fort en caféine, mais à l'arôme plutôt amer... Le chocolat est là pour en masquer les aspects négatifs...

La "bigoudène" à l'aise Breizh ne peut devenir en droit français une marque protégée ! Dans la lignée des "solex", frigidaires et autres termes galvaudés l'idée originale ne peut être déposée... le dessin aurait pu l'être !

L'électricité bretonne "à la mode Le Drian", futur ministre des armées de François, repose sur un régime "de carême". Faute de produire suffisamment sur place, il vaut mieux se serrer la ceinture. On a trouvé 45.000 gogols, heureux de greloter tout en payant leur facture ! Vive l'eau froide...

Orange Labs travaille sur la "localisation temporaire", à la manière d'un James Bond "aveugle"...Chez les américains d'Apple cette localisation "acceptée" est diffusée mondialement selon les ventes des Iphone et Ipad, qui se comptent par centaines de millions ! Nos chercheurs "bretons" sont finalement peu connus !

Bretagne, encore un effort !


L'incontournable chocolat du petit café
Ouest France du 17 avril 2012

Bien souvent sans le savoir, ce sont les chocolats mayennais de Monbana que nous dégustons avec un café.
À la terrasse d'un café, entre deux rayons de soleil, le garçon dépose une tasse fumante. Avec, près du sucre, le papier brillant d'une douceur au chocolat... On le fend pour découvrir l'amande enrobée d'une poudre de cacao. Ou bien un chocolat noir qui a commencé à fondre. Les gourmands oseront tremper généreusement le carré dans le café. Avant de le croquer.

« C'est très british comme habitude. À 16 h, les Anglais ont toujours une petite sucrerie avec leur café. Pour moi, c'est arrivé en France avec l'Eurostar », raconte Marcel Benezet, du syndicat des cafetiers (SYNHORCAT).

Aujourd'hui, il devient inconvenant que la sucrerie soit oubliée ! On passe facilement sur le biscuit brun à la cannelle. On apprécie moins le choco-caramel qui colle aux dents... Ingénieuse invention cuisinée à toutes les sauces. Du simple noir à la boule qui croustille en passant par le pralin. Bref, ce chocolat est devenu l'incontournable de la pause-café.

Chez Monbana, leader sur le marché français, Yves Guattari, est le père de ce concept ingénieux et commercial. Le PDG de la chocolaterie à Ernée, en Mayenne, a imaginé des produits personnalisés dès 1988.

Trois millions de chocolats par jour
Chaque jour, Monbana produit trois millions de petits chocolats ou bonbons aux chocolats pour le compte de grands torréfacteurs. « Je dis que j'ai 350 références de chocolat. Mais c'est bien plus que ça ! » Malicieux, le chef d'entreprise est un créatif. Son maître chocolatier innove et multiplie les recettes. « Souvent les idées me viennent de cadeaux que nous faisons pour les fêtes. Elles restent. » À l'image du crousti-neige, une boule au chocolat blanc et à la meringue.

La marque vend partout. Ses petits chocolats grignotent l'Europe. 18 % de son chiffre d'affaires provient de l'exportation. Mais elle reste inconnue du grand public malgré une dizaine de boutiques ouvertes dans le Grand Ouest depuis 2010, comme à Saint-Malo ou à Fougères. « L'année prochaine, ce seront des franchises. »

Un plus pour le consommateur ? Sans aucun doute. Les bouchées mayennaises sont en vrai chocolat, celles avec du beurre de cacao. Pas trop grasses, pas comme le chocolat belge.
Au détriment de la ganache, le chocolatier mise sur le pralin, ces éclats d'amandes pilées et triées à la main. Mais aussi sur le croquant. Du grain de café à la fève de cacao. C'est encore la diversité du goût, de la couleur, de la forme. On n'a pas fini d'en picorer un morceau, le temps d'un allongé ou d'une noisette.
Sophie DELAFONTAINE.

Un litige autour d' A l'aise Breizh

Ouest France du 28 mars 2012

La Cour d'Appel a contredit le tribunal de Vannes, qui avait condamné une société pour contrefaçon et parasitisme.
Qui ne connaît la rigolote Bigoudène et sa célèbre coiffe, dont le corps est constitué par les mots « A l'aise Breizh », et que des milliers de Bretons arborent à l'arrière de leur voiture ? Elle a été créée il y a une douzaine d'années, par Erwan Creac'h.

Déclarée au registre du commerce de Morlaix en 2002, basée à Roscoff, la SARL « A l'aise Breizh » a pour activité la vente de produits bretons, textiles ou autres.

La fameuse Bigoudène

En janvier 2009, dans un magasin de Ploeren (Morbihan), « A l'aise Breizh » fait constater par un huissier de justice la mise en vente, à son insu, de deux tee-shirts griffés « A l'aise Breizh » et de 14 autres tee-shirts portant l'élément graphique de type bigoudène, tracé avec des perles brillantes, ainsi que les initiales « ALB ».

Le 22 septembre 2009, le tribunal de Vannes avait estimé qu'il s'agissait « de contrefaçons de marque, qui portent atteinte au nom commercial ' A l'aise Breizh ', et constituent des actes de parasitisme ». La société Declercq, de Quiberon, exploitante du magasin de Ploeren, était condamnée à verser 50 000 € à Erwan Creac'h.

La bigoudène, pas l'apanage d'une marque
Mais dans un arrêt rendu mardi, la cour d'appel est allée en sens inverse. Les magistrats rennais estiment que « M. Creac'h ne démontre pas que la marque récente ' A l'aise Breizh 'est notoirement connue, au sens du code de la propriété intellectuelle ». Quant au sigle « ALB », « M. Creac'h n'avait pas acquis de droits sur cette marque ». La cour a aussi considéré, à propos de la fameuse Bigoudène, « que cette représentation traditionnelle banale n'est pas l'apanage d'une marque ». M. Creac'h est débouté de toutes ses demandes.

Production électrique en Bretagne, record battu en 2011
Télégramme du 28 mars 2012

La Bretagne a produit 10,6% de l'électricité qu'elle a consommée en 2011, une année, il est vrai, plutôt clémente. Ce chiffre, encore jamais atteint, devrait continuer à progresser pour atteindre, en 2020, l'objectif de 33% fixé par le Pacte électrique breton. RTE (*) y croit et s'y prépare.

«Nous intervenons sur chacun des trois piliers du pacte électrique: la maîtrise de la consommation, la sécurisation de l'alimentation et les énergies renouvelables», explique Didier Bény, directeur de RTE Ouest. Pour la maîtrise de la consommation, il se félicite de l'impact du dispositif EcoWatt auprès des Bretons: ils étaient 45.000inscrits cet hiver, soit une hausse de50%. Avec, à la clé, une baisse de 3% de la demande en période de pointe, «ce qui correspond à la consommation cumulée de Vannes, Quimper et Saint-Malo», précise-t-il. Sans doute cette opération a-t-elle contribué à passer sans encombre le pic historique de consommation du coup de froid du 9février.

Sécurisation
Mais les travaux de sécurisation des réseaux y sont aussi pour beaucoup. Ils vont se poursuivre en 2012, avec l'installation d'un condenseur à Domloup (au sud de Rennes). Ces chantiers représentent, d'ailleurs, l'essentiel de l'investissement de RTE dans la région: 31millions d'euros prévus en 2012, après 32,5millions en 2010. Des millions utiles: «Malgré ses 130km/h, la tempête Joachim de mi-décembre n'a causé aucun dégât», remarque DidierBény. D'autres investissements lourds se profilent à l'horizon, avec le raccordement de la future centrale à gaz de Landivisiau (29). D'ici l'été 2016, il faudra construire20km de ligne souterraine à 225.000 volts jusqu'à La Martyre (29). En 2017, devra être livrée la ligne Lorient-Saint-Brieuc (225.000 volts, enterrée sur 80km, coût 120millions), dite «filet de sécurité Bretagne», qui permettra d'équilibrer le nord et le sud de la région.

Renforcement
Au programme également, le renforcement du nord-est de l'Ille-et-Vilaine (15millions, livraison automne 2014) et de l'agglomération rennaise (12,5millions, achèvement à l'automne 2013) ainsi que la sécurisation des pays de Morlaix -2millions, 2013-, deVitré (35) -7millions, 2013-, du Centre-Finistère -9millions, 2015- et de Paimpol (22) -2millions, 2013-. Les projets en matière d'énergie renouvelable vont aussi conduireRTE à procéder à des raccordements. Le plus important (500MW) sera celui du parc éolien offshore de la baie de Saint-Brieuc, qui sera directement relié au «filet de sécurité», à Plaine-Haute (22). Comme pour ce «filet», il faudra être prêt en 2017.

* Réseau de transport d'électricité
• Alain Le Bloas

Orange labs à Lannion, ils vous font suivre à la trace
Télégramme du 17 avril 2012

Les laboratoires d'Orange à Lannion travaillent autour de la géolocalisation. Deux applications sur smartphone permettent aux utilisateurs deconnaître lalocalisation de leurs proches... àcondition qu'ils soient d'accord, bien sûr.

«Allô, t'es où?» Qui n'a jamais prononcé cette phrase en appelant un proche sur son portable? Dans les laboratoires d'Orange, des chercheurs lannionnais se sont alors posé une question. Pourquoi ne pas donner à ceux qui le souhaitent la possibilité d'être repérables en permanence? De là sont nées deux applications pour smartphone. La première est déjà disponible gratuitement sur Apple. Elle s'apprête à l'être également sur Android. Orangelabs l'a baptisée «T-Messages».

«Chacun garde la maîtrise de l'outil»
«Depuis deux ans, nous travaillons sur une application dont le principe de base est la localisation temporaire, explique Emmanuel Le Houerou, responsable du projet. Il s'agit de visualiser où se trouve une personne à l'instant où on lui pose la question. Pour retrouver son groupe d'amis au milieu d'un grand festival en plein air, ça peut dépanner». Il suffit de cliquer sur le contact pour lui envoyer le message «T'es où». Il est alors possible de visualiser la personne sur une carte avec l'adresse précise. L'interlocuteur peut toutefois ignorer la question pour rester invisible. Il peut aussi accepter de répondre ultérieurement, le temps de changer de localisation s'il le souhaite. «Dans tous les cas, il garde la maîtrise de sa réponse», assure Claude Daloz, responsable du programme recherche. La seconde application n'est pas encore sortie des laboratoires lannionnais. Elle s'appelle «Cat's eyes» (yeux de chat). François Toutain pilote le projet: «L'idée est non seulement de savoir où se trouve un proche, mais également de connaître son humeur et son activité du moment».

Un test avec les étudiants de l'IUT
Si l'utilisateur se met en mode «disponible», il est localisable par ses amis en permanence. «L'originalité, c'est qu'on envoie simplement une situation, et non pas un message écrit ou oral. On suscite la communication en donnant des informations à ses contacts». Là aussi, l'utilisateur garde la maîtrise en choisissant d'être visible ou non. L'application va être expérimentée auprès de trois groupes indépendants les uns des autres dès la semaine prochaine. «On ne peut utiliser cette application qu'avec dix contacts au maximum. On a fait appel à des étudiants de l'IUT, des familles rennaises et des étudiantes localisées dans toute la Bretagne». Si le test s'avère concluant, Cat's eyes pourrait devenir un outil inclu dans une application plus globale déjà existante.
• Benjamin Corbé

Commentaires

eh zenbar....heureusement que t'es la pour relever le niveau...hein...ca faisait bien longtemps que t'avais pas laché ta bile sur la bretagne et les bretons......on avait fini par croire que t'avais oublié ou tu vivais......

Écrit par : Séraphin Lampion | 23/04/2012

eh Zenbar,que pense tu de l'actuel ministre desdarmées"Alain Juppé",qui a pas mal magouiller,c'est exiler au "Canada',pour moi c'est un truand,toi tu est connu pour les conneries que tu racontent,point barre!

Écrit par : jjeanzyscan | 23/04/2012

et ou voulez vous en venir?

confus et disperse comme d habitude.

etiez vous aussi peu methodique dans la gestion de votre defunte entreprise ?

Écrit par : jojo | 23/04/2012

Les commentaires sont fermés.