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18/08/2011

Le clapage, un enjeu électoral ?

Après avoir provoqué l'élection de Madame G en 2008, Elodie se purifie dans la "boue" !

Savoir se retirer "au bon moment" dans une élection relève de l'intelligence d'un candidat ! Après trois ans de silence radio et de vie parisienne, la candidate d'extrême droite revient à Saint Pierre avec un sujet un peu "boueux" et boiteux !

La "pollution", chère madame, est à traquer au bon endroit : celui des localités où les usines d'assainissement sont obsolètes ! et frottez vous les yeux pour retirer la "boue", qui vous aveugle !


Saint-Pierre-Quiberon
Clapages des boues, chacun campe sur ses positions
Télégramme du 15 août 2011

Alors que le sujet est brûlant et divise les individus, la réunion proposée samedi à l'appel de la Fédération des associations de protection de la baie de Quiberon et du Grand-site dunaire sur les opérations de dragages et clapages des sédiments portuaires n'a pas attiré la foule.

Des longueurs et des retards qui fâchent

Au final, entre les voix qui se sont élevées contre l'immersion en mer des vases et celles qui réclament d'urgence le dragage des ports, personne n'a finalement pu convaincre personne. De l'avis de toutes les parties, la réunion d'information qui s'est déroulée au centre culturel samedi a toutefois été intéressante.

Après une introduction d'Élodie Martinie-Cousty de la mission
Mer et Littoral de France nature environnement (FNE) sur les enjeux des dragages, le président deSémaphore, André Dorso, a présenté différents documents. «Nous ne sommes pas contre les dragages des ports bien entendu, mais nous sommes contre l'immersion en mer des vases polluées et tout particulièrement dans le site retenu en baie de Quiberon», insistait-il. En
donnant comme exemple ce qui se fait hors de France, les responsables d'association ont dénoncé«un manque d'anticipation et de préparation des maîtres d'ouvrage qui sont à la source de ces retards». Élodie Martinie-Cousty a signalé que depuis le 6 juin, l'État avait lancé des appels à projet pour mettre en avant la valorisation de solutions innovantes sur le sujet. Dans
l'assistance, des voix se sont élevées pour évoquer les longueurs de ce calendrier: «Le rétablissement des fonds des ports ne peut attendre des solutions à si longue échéance, a insisté un plaisancier. Il y a des enjeux économiques importants. L'évacuation des 130.000 m³ de boues de Port Haliguen par la terre pour les traiter serait synonyme à des allers et venues
de camions sur la presqu'île, incessants et très polluants, responsable de nuisances et qui durerait pendant combien de temps?».

«Se retrousser les manches»

Un autre usager a également regretté que les associations remettent sans cesse en doute les analyses effectuées par le biais de carottage et donc retardent sans cesse les dragages. André Dorso a réfuté la responsabilité des retards en expliquant que: «Trop longtemps on s'était mis
la tête dans le sable. La seule solution pour sortir de l'impasse est d'abandonner le site d'immersion entre Saint-Gildas-de-Rhuys et Houat et de se retrousser les manches».

Commentaires

Encore une fois vous vous servez d'un article sur un sujet pour sortir votre venin contre des gens qui n'ont pas voulu de vous. La pollution due au movais assainissement est une chose, celle des clapages en est une autre. Il ne faut pas tout mélanger

puisque pour l'instant la Sagemor ne peut pas traiter , qu'ils clapent mais beaucoup plus loin, dans des endroits d'où cette m.... ne reviendrait pas à la côte mais où ça se diluerait.
La sagemor s'est fait assez d'argent pour ça.

oui a des ports à flôts
non à des côtes salies

l'argent payé par les plaisanciers doit être utilisé pour nettoyer les ports proprement et non pour faire du bénéfice pour les actionnaires : conseil général ou personnes privées

n'importe comment si ce nettoyage avait été fait régulièrement, il n'y aurait pas de telles quantités à traiter.
Bien sur, Il n'y aurait pas eu de bénéfices car les ports en font. alors le conseil général n'a qu'à payer car l'argent des ports aurait du être COMPLETEMENT utilisé dans les ports et non ailleurs


Quand à la fiabilité des carrotages, tant que ceux ci seront fait par le pollueur lui-même et non par des indépendants il sera normal d'avoir un doute

et n'importe comment, le fait qu'il y ait une telle quantité de boue est déja un problème écologique en cas de clapage même si ces boues ne sont pas polluées.

Écrit par : fran | 18/08/2011

Monsieur Hennel s'est empressé de poster 2 autres articles qui permettent de mettre en page suivante un article « Des charlots ! » qui le met fort mal à l’aise. Donc je vous encourage à lire cette prose qui dévêle la personnalité de note hôte !!

Écrit par : maha | 18/08/2011

Parlant de boue. Ou de quelquechose de similaire : vous etes vraiment indecrottable.
Mais je vous en prie , continuez commme CA.
Vous nous permettez ainsi de rire tous les jours

Écrit par : jean | 19/08/2011

Il y a pour une fois un peu de vrai dans ce qu'a écrit JBH.

La liste menée par EMC est responsable de l'élection de l'équipe en place à Saint-Pierre Quiberon. D'autant qu'entre les deux tours, cette liste a tiré à boulets rouge sur la liste "Noé, fille & associés".

Au delà de sa couleur verte, cette liste représentait aussi ce que la droite fait de mieux - ou presque - en matière de droite dure.

Dernière remarque. Oui c'est un sujet en or pour refaire un come-back dans le marigot saint-pierrois.

En revanche, le sujet de fond - à savoir les boues de clapage - est une sujet très sérieux. Il n'est pas envisageable de balancer 130 000 m3 de boues dans la baie de Quiberon.

Je rejoins l'avis de Fran . Les plaisanciers ne peuvent en vouloir qu'au gestionnaire du port qui a fait preuve d'une grande légèreté sur le sujet jusqu'à présent.

Plutôt que de s'en prendre à des associations, ils seraient plus efficace pour eux de frapper là où c'est douloureux. A savoir un paiement des cotisations à la Caisse des Dépots en attendant que la Sagemor trouve une solution écologiquement acceptable.

Écrit par : Isa | 20/08/2011

Les commentaires sont fermés.