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30/06/2011

Facebook, le prochain Google ?

Les amis, les copains et copines, les photos, plus attractifs que la "grande interrogation" sur le Net !

Un tournant aujourd'hui se dessine dans le monde de la "Toile" avec la fin de la suprématie extraordinaire de Google, dont la fortune est fondée sur "le clic" des internautes ! Cet argent, vite gagné, a été investi comme toujours dans des activités gratuites, qui avaient pour but de renforcer le monopole de Google sur les "smartphones" et "tablettes" (Système Android et Chrome OS).

Les vieux acteurs de l'informatique veillent attentivement sur ces nouveaux marchés : Microsoft avec le futur Windows 8 (multi-usages), Apple avec ses systèmes propriétaires sur I-Phone et I-Pad, les coréens et Taîwanais, Samsung, Acer et Asus...

La vraie guerre technologique est en "marche" ! Et le client, qui préfère le "déballage" de Facebook aux évolutions trop rapides de l'informatique choisira !


Google réplique à Facebook avec Google +
Les Echos du 29 juin 2011
Confronté à l'influence grandissante du réseau social, le moteur de recherche dévoile une série d'outils pour personnaliser internet.
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Pour réagir face à l'encombrant Facebook, qui accapare une part grandissante de l'Internet à ses dépens, Google a dévoilé mardi un service baptisé « Google + ». Il ne s'agit pas vraiment d'un site spécialisé à consulter spécifiquement, mais plutôt d'un ensemble de nouveaux outils permettant de personnaliser la toile, de « socialiser Google ». Ils apparaîtront sur les principaux sites du groupe, comme sa page de lancement de recherches, sa messagerie Gmail et son site de géolocalisation Maps.
Pour se démarquer de Facebook, Google tient notamment compte des nombreuses critiques pour atteinte à la vie privée formulées contre la star des réseaux sociaux. Des critiques qu'il connaît bien, puisqu'il en a lui aussi fait l'objet lors du lancement de son service de microblogging Google Buzz en février 2010. « Nous avons beaucoup appris avec Buzz et l'une des choses que nous avons apprises c'est qu'il y a une réelle opportunité sur le marché pour un produit destiné à ceux qui s'inquiètent du respect de leur données personnelles et de la façon dont leurs informations sont partagées », promet aujourd'hui Bradley Horowitz, vice-président chargé du Product Management chez Google, rapporte l'agence Reuters.
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Concrètement, la page d'accueil de Google+ ressemble beaucoup à celle de Facebook, avec un fil actualisé en continu de commentaires, photos et liens partagés par des amis et contacts. Mais les contacts sont regroupés dans des « cercles » d'amis organisés par l'utilisateur. Cet outil permet de choisir à qui sont adressées les informations qu'on met en ligne, parce que « dans la vie, on ne partage pas n'importe quoi avec n'importe qui », explique Google sur le site de présentation de son projet. Les « Déclics » permettent de repérer et partager des informations (articles, vidéos...) par thème.
Difficile migration vers Google+
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Google+ propose aussi un service de chat vidéo (les « Bulles »), qui pourra regrouper jusqu'à dix personnes en téléconférence. « Mobile » permet d'exploiter les fonctions appareil photo et géolocalisation d'un téléphone portable. Google stockera automatiquement les photos prises sur des téléphones mobiles sur ses serveurs pour permettre à l'utilisateur d'y accéder depuis n'importe quel ordinateur et de les partager (« Instant Upload »). Il prévoit aussi une messagerie instantanée collective (la « Clique »), pour transformer les conversations en SMS en un chat de groupe. L'idée, résumée sur le blog de groupe par une responsable de Google, Vic Gundotra, c'est de « faire évoluer le partage en ligne pour qu'il soit aussi naturel, riche et nuancé que nos interactions dans la vie réelle ».
En fait, comme l'ont rapidement relevé plusieurs commentateurs, Facebook permet déjà la plupart de ces fonctionnalités, et si Google est susceptible d'apporter des améliorations, par exemple pour segmenter un réseau « d'amis » ou raffiner les réglages de confidentialité, il n'est pas certain que cela suffise à convaincre suffisamment d'utilisateurs de Facebook de migrer vers Google+.
Avec 700 millions d'utilisateurs, Facebook est déjà le champion mondial du temps passé sur internet, ses recettes sont en hausse, sa valorisation augmente de semaine en semaine avant même qu'il soit coté, et il fait désormais figure de groupe internet le plus en pointe pour sa capacité d'innovation. Google reste certes leader en nombre de visiteurs uniques, après avoir dépassé le seuil du milliard en mai, mais sa progression sur un an (+8,4%) est bien plus lente que celle de Facebook (+30,2%, troisième du monde avec 713 millions de visiteurs uniques), selon des chiffres du cabinet ComScore.
« Je me suis planté »
Google, conscient que les internautes d'aujourd'hui ne se contentent plus d'une navigation régie par les seuls algorithmes, affiche depuis plusieurs mois son virage vers l'internet personnalisé, ce qui dans le milieu high-tech s'appelle « l'internet social ». « Si on pense à ce que les cinq prochaines années seront pour la vie en ligne, d'un point de vue social, et au genre d'outils qu'on pourra créer, nous n'en sommes vraiment qu'au tout début », avait déclaré le co-fondateur du groupe de Mountain View, Larry Page, à l'annonce en janvier de son retour au poste de directeur général.
Fin mai, l'ex-PDG et actuel président exécutif Eric Schmidt avait assumé la responsabilité du retard accusé par Google pour basculer vers une consultation d'internet plus personnalisée, c'est-à-dire reposant sur les circonstances de chacun et les recommandations d'amis. « Je me suis planté », avait dit Eric Schmidt, assurant pourtant avoir perçu cette évolution dès 2007-2008.
Actuellement en phase de test sur invitation, Google+ a été présenté à une poignée de journalistes, le grand public devant se contenter des annonces sur le blog habituel du groupe.

Commentaires

Eh zenbar.......c'est sur que quand on a pas de potes vaut mieux bidouiller de l'informatique hein?????????????

Écrit par : Séraphin Lampion | 30/06/2011

Quel changement ? Si l'EDF ne veut pas, si la POSTE
ne veut pas, si le Conseil Général ne veut pas, Si le
GRAND SITE DUNAIRE ne veut pas, si l'ETAT ne veut
pas, que fait la Municipalité ?

La production HENNEL est toujours la même : c'est
pire qu'une rengaine.

Ce serait intéressant que vous nous fassiez une
proposition de budget 2011 en parallèle de celui qui
a été voté.

Mais vous ne savez pas faire ....

Jo.

Écrit par : Jo | 30/06/2011

Erreur : post à mettre dans camping et saison, la
grande ambition....

Voilà ce qui arrive quand on ne veut pas perdre trop
de temps avec des bêtises.

Jo.

Écrit par : Jo | 30/06/2011

Facebook, Google + ... et demain ça sera quoi ? Les reseaux sociaux sont en pleine explosion

Écrit par : Tampon encreur | 24/10/2011

à voir sur http://www.societe.com/societe/berty-572072031.html
les difficulté duraient depuis pas mal de temps et n'ont rien à voir avec la retraite du président !!!


Activité Fabrication de condiments et assaisonnements
158R
Siège social 29 Rue Chaudron
75010 PARIS 10 google map
Forme juridique SA à conseil d'administration

SIRET 57207203100014
RCS Paris B 572 072 031
Capital social 50.308,18 EURO
Radiation 26-10-2006
Nationalité France
Décision de justice (4)
Depuis le 24-10-2006 Clôture pour insuffisance d'actif
Depuis le 18-02-1999 Liquidation judiciaire
Liquidateur:
PENET-WEILLER Brigitte
169B Rue du Chevaleret
75013 PARIS 13
Depuis le 29-04-1997 Plan de continuation / redressement
Commissaire au plan:
GIRARD JEAN-CLAUDE
116 Boulevard Saint-Germain
75006 PARIS 06
Depuis le 23-05-1995 Redressement judiciaire
Représentant des créanciers:
GIRARD JEAN-CLAUDE
116 Boulevard Saint-Germain
75006 PARIS 06
Administrateur judiciaire:
LAFONT HUBERT
25 Rue Godot de Mauroy
75009 PARIS 09

Écrit par : asteph | 25/10/2011

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