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15/04/2011

Intercommunalité ? Un autre avis que celui de madame G

Enfin, un appel à la raison dans cette partie de Billard "déchaîné" !
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Deux dates importantes à retenir : le 28 avril, présentation des propositions de Monsieur le Préfet, 31 décembre 2011 concrétisation des projets retenus !
Les mensonges répétés de Madame G, de Monsieur le Maire d'Auray, de Madame la Présidente du pays d'Auray sont enterrés ! La grande Communauté "ingouvernable" de l'ensemble des Communes du Pays d'Auray est enfin abandonnée au profit de projets, non imposés, aux périmètres adaptés !
La fusion des Communes de Saint Pierre et de Quiberon revient donc au premier plan, avec son association à la Communautés des Mégalithes ! Fédérer les communes de la Baie de Quiberon a du sens et exprime le consensus des deux communes importantes du Canton, Carnac et Quiberon.
Ce serait la fin des gaspillages financiers d'investissements "gigantesques" dans chaque commune : les médiathèques hors de proportion avec les ressources des Communes telles celles de Carnac et Saint Pierre Quiberon ! Et la mise au placard des "égos" hyperboliques" de nos "petits" élus...
Merci, monsieur le Préfet pour ce rappel "à la raison" devant des élus locaux peu respectueux des sommes confiés chaque année par leurs électeurs

Intercommunalité, « Ni immobilisme ni gigantisme ! »
Ouest France du 15 avril 2011

Pourquoi, comment ?

Qu'est-ce que le schéma départemental de coopération intercommunale ?

C'est une des principales mesures de la réforme des collectivités du 16 décembre 2010 qui vise à simplifier l'organisation territoriale. Toutes les communes devront désormais être rattachées à une intercommunalité. Dans le Morbihan, il en reste encore six qui ne le sont pas : Beignon, Moréac, Houat, Hoëdic, Quiberon et Saint-Pierre-Quiberon.
Ce schéma concerté avec les élus qui devra être arrêté d'ici le 31 décembre 2011 prévoit aussi la suppression de syndicats intercommunaux et des regroupements de communautés de communes.

Combien de fusions sont prévues ?
Pour l'heure, difficile de le dire. « Je garde la primeur aux élus concernés », précise le préfet. Mais la carte qui leur sera proposée le 28 avril pourra encore évoluer.

« Le but n'est pas de passer de vingt-trois à six communautés de communes, indique-t-il. Entre l'immobilisme total qui serait de mauvais aloi dans un département appelé à connaître une forte croissance démographique et le gigantisme, il y a des possibilités de mettre en place des périmètres adaptés permettant de mieux faire face aux enjeux des 10, 15 ou 20 prochaines années. »

Et de s'appuyer sur des exemples de mariages réussis comme celui « des communautés de communes de La Roche-Bernard et de Muzillac qui n'ont pas attendu ce schéma pour fusionner ». En évoquant La Gacilly et Redon, le préfet rappelle toutefois qu'il n'est pas favorable à la fusion de deux intercommunalités situées dans des départements voisins.

Quels critères seront pris en compte ?
La loi prévoit qu'une communauté de communes ne pourra plus exister si la population de son territoire est inférieure à 5 000 habitants. « Il faut aussi que les intercommunalités aient une surface financière suffisante afin de mener des projets conséquents mais, avant ça, il faut que celles qui seront amenées à fusionner aient envie de travailler ensemble. »

Quelle sera la méthode ?
« Le but n'est pas d'imposer aux élus en tapant du poing sur la table », martèle le préfet qui avoue « préférer la discussion et la recherche du consensus ». Et de balayer d'éventuelles appréhensions sur la fiscalité. « Deux intercommunalités qui fusionneront auront douze ans pour aligner leurs taux d'imposition. »

Lionel CABIOCH.