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03/07/2011

Le "bus" et la politique communale !

La "grande communauté" à 24 commence mal en été 2011 !

Nos élus sont des prestigitateurs amateurs !

A Auray un trajet de bus qui déplait à certaines "mamyes", à Quiberon un "Quibbus" qui démarre pour l'été et à Saint Pierre pas de bus, car on met des sous de côté pour l'Office de Tourisme...

Les élus ont toujours une certaine bonne volonté ! Rendre service aux habitants les moins aisés ou sans voiture est un but louable !
Mais ces efforts sont coûteux ! Alors on focalise sur ce qui ne coûte rien : "le tire-bouchon" !

Oui, mais le bus irrigue bien mieux une commune que le train d'autrefois...Faîtes le trajet à pied entre le "Rohu" et la gare de Saint Pierre : 20 minutes à pied en allant vite ! Itou de la Gare d'Auray vers le Centre-ville ! Plus 45 minutes de voyage, au total donc 1 heure 25 pour un aller !

Résultat le bus "d'été" ne marchera jamais !

Alors que nos élus réfléchissent : Un tire-bouchon pour deux mois, ce serait une folie, s'ils en payaient le coût réel ! Les cars "TIM", qui fonctionnent à l'année, c'est la seule bonne solution !

Et cette année les cars "TIM" ne vont plus à Saint Pierre et à Quiberon !

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15/01/2011

Alternance ?

Yves Bienvenu, des ambitions pour Auray... et pour lui-même
Télégramme de Brest du 15 janvier 2011
Yves Bienvenu.jpg

Yves Bienvenu relève le «manque d'ambition» de la municipalité. Pour sa part, l'élu d'opposition n'en manque pas. Il prépare l'alternance à Auray en 2014 et songe à la législative de 2012. Verbatim.

Gestion municipale. «On a un point d'inquiétude sur les finances et le budget, puisque le fonctionnement représente désormais 60% du budget (*). Je souhaite qu'on stoppe cette dérive et qu'on revienne à une solution plus équilibrée, faute de quoi il y aura une augmentation, soit de l'impôt soit de l'endettement. Il est temps de tirer la sonnette d'alarme. Il est temps de stopper cette dérive, même si je sais que le maire va répondre qu'elle est due à la baisse de dotations de l'État». «Manque d'ambition». «Les affaires courantes sont bien gérées, les services travaillent, mais on sent un manque d'ambition. Auray a des atouts considérables, avec sa situation à l'entrée de la Presqu'île de Quiberon et son tissu dynamique d'associations, mais on a l'impression que la ville ronronne un peu. Elle souffre d'un déficit d'image. Que ce soit à Noël ou cet été, je n'ai pas trouvé qu'on ait beaucoup animé le centre-ville. Il nous manque des actions d'envergure pour dynamiser et fixer les touristes et de nouveaux habitants. On se doit d'être plus exigeant, d'avoir un vrai projet de ville. La venue de nouveaux habitants doit générer de nouveaux services. Et si on soutient la politique de logement social, il faut penser aussi à aider les familles modestes qui peinent à accéder à la propriété pour s'installer durablement sur Auray. Piétonnisation. «J'y suis entièrement favorable. Ça figurait d'ailleurs dans notre projet en 2008. Ce qui est prévu va dans le bon sens, mais on a une impression de bricolage et là encore ça manque d'ambition». Alternance. «On arrive à mi-mandat et je souhaiterais faire un bilan et perspectives. En avril, je vais prendre l'initiative d'une réunion publique avec mes amis de l'opposition municipale mais aussi tous ceux qui veulent s'investir pour bâtir l'alternance sur Auray». Leadership. «Il n'y a pas de leader de la droite à Auray. On a un héritage depuis 1995 que j'assume. Plutôt que d'opposition je parlerais d'ailleurs de force d'alternance». Intercommunalité. «On a un pays d'Auray identifié et dynamique. Il est temps que la communauté de communes s'élargisse à l'ensemble des communes du pays. Dans l'intérêt de tous. Pour cela il faut une volonté politique. Des maires bien sûr, mais c'est aussi le rôle du parlementaire. Or celui-ci (Michel Grall, NDLR) est peu présent». Ambition. «Je réfléchis de plus en plus à être candidat en 2012. Ma réflexion est bien avancée, même si elle peut être liée à un contexte national lié à la présidentielle et à mon mouvement, République Solidaire. Mais avec un député affaibli et peu présent, notre famille politique s'expose à un risque de basculement à gauche. On ne peut se le permettre».

(*) Fonctionnement: 15millions d'euros. Investissement: 10millions d'euros.

Recueilli par Mathieu Pelicart et Benoit Siohan

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