Ouvrir aujourd'hui des camps de camping ?
18/12/2012
Un propriétaire de camp de camping à Quiberon croit encore "à l'avenir" de la filière...
Sans contester cette initiative, qui consiste à former les CDD "longs" (étrange formule, n'est-ce pas ?), plutôt qu'à les diriger vers Pôle Emploi sur 4 mois, la Profession de "Proprio-Manager" s'honore d'utiliser les services mérités de Kerplouz. Conserver dans la Profession les "sous" de la formation continue est une constante bien franchouillarde de toutes les professions en France...
Faut-il aujourd'hui embarquer des "jeunes" dans cette profession, où seul le "proprio-manager" perçoit une rémunération décente, est une folie ? La mutation des habitudes du troisième âge et des jeunes bouleverse la politique de la "pelouse à vaches" des grands-parents, exploitée par la génération suivante, sans effort d'investissement, sauf l'achat de ces mobil-homes hideux, qui déshonorent le bord de mer...
Les tarifs "excessifs" de ces quasi-monopoles découragent le "smicard" d'après-guerre, car le camp n'est ouvert que six mois sur 12 !
La mutation de l'emploi est une "nécessité", même au bord de la mer !
Hôtellerie de plein air, former plutôt qu'indemniser
Télégramme du 18 décembre 2012
Le syndicat de l'hôtellerie de plein air va mettre en place, en partenariat avec le lycée de Kerplouz, une formation destinée à sécuriser l'emploi dans une branche où le recours à l'emploi précaire est régulier.
C'est un constat forcément lié à la saisonnalité de l'activité d'hôtellerie de plein air, principalement dans les campings. Entre les salariés en CDI et les jobs d'été, souvent des étudiants, une troisième catégorie d'employés, en CDD longs de 7 à 8 mois, «qu'après on envoie à Pôle Emploi», comme le reconnaît Yves Le Floch, vice-président de l'Union bretonne de l'hôtellerie de plein air. Une situation qui ne satisfait personne. «L'objectif, c'est de sécuriser la main-d'oeuvre, de pérenniser l'emploi au pays et d'éviter cette période de chômage», poursuit Yves Le Floch. C'est ainsi que vient d'être mis sur pied un CDI, «pour intégrer la formation dans le cadre de l'activité saisonnière». Les signataires de ces contrats bénéficieront donc d'une période de formation, à la place du chômage.
Dispositif spécifique
«La formation compte 1.000heures, sur cinq ans. 200 heures par an, c'est environ six semaines, ça couvre le chômage». À la clé, un certificat de qualification professionnelle d'ouvrier de maintenance et la possibilité pour les salariés formés d'évoluer dans les entreprises. Et pourquoi pas, à l'issue des cinq ans, «poursuivre dans une autre direction, ouvrir son propre camping». Un dispositif a par ailleurs été mis en place par le syndicat de l'hôtellerie de plein air et l'organisme de formation Agefos. Pour les entreprises adhérentes du syndicat et de l'organisme, ce dernier prendra en charge le salaire de l'employé pendant le temps de sa formation. «Mais ce contrat est ouvert à tout le monde», précise Patricia Seraine, responsable du CFA de Kerplouz. Car c'est au lycée, qui a répondu au cahier des charges édicté par le syndicat, que sera assurée la formation. La première promotion, «une douzaine de personnes pour l'instant, parce qu'on est encore en période de rodage» comme l'explique Patricia Seraine, sera constituée en février. Et les portes sont grandes ouvertes. «Il n'y a pas de profil spécifique, de contrainte d'âge ou de formation. Il faut seulement de la motivation. Au niveau géographique, on s'adresse à toute la Bretagne». D'après le syndicat, 3.500 personnes sont concernées en France, dont 10% en Bretagne, et «une cinquantaine sur le pays d'Auray». Pratique Kerplouz-LaSalle, tel.02.97.24.34.46; Maison de l'emploi, tél.02.97.59.60.23.
4 commentaires
Feras t'on poussé un jour des"Cucumis Sativus"(Cornichons) au Rohu.En langage familial ,le mot cornichon correspond tres bien à notre hote"Jeanbart" "Niais et Stupide"
Kénavo
Que penser de la première phrase du deuxième paragraphe?
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement"
"Un propriétaire de camp de camping à Quiberon croit encore "à l'avenir" de la filière..." où voyez vous ça dans l'article du Télégramme ?
les campings ont toujours la cote , ne vous en déplaise, et l'activité principale de nos zones excentrées est le tourisme , ne vous en déplaise aussi. D'ailleurs VOUS MEME n'êtes qu'un touriste qui s'incruste et pense être plus intelligent que les gens du pays. Heureusement qu'une majorité de ces touristes installés sont comme moi et respectent le pays oiù ils sont venus habiter car ils l'aiment tel qu'il est et ne veulent pas qu'il se transforme en sous zone urbaine !
Eh zenbar..........t'as bouffé du clown pour ton petit déj????????????????????
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