Imprévoyance à Saint Pierre ?
29/07/2010
Morbihan, le préfet «inquiet» du nombre de cas de noyades
Télégramme de Brest du 29 juillet 2010
À bord de la vedette le Patron Alain-Delaunay, les bénévoles de la station de la Société nationale de sauvetage en mer du golfe du Morbihan ont compté, mardi, trois heures durant, un nouveau membre d'équipage en la personne du préfet François Philizot (à gauche sur la photo). L'occasion pour le haut fonctionnaire, depuis l'embarcadère de Port-Blanc, à Baden, de lancer un nouvel appel à la vigilance à l'attention des baigneurs de la quarantaine de plages du département, surveillées par quelque 150 personnes. Car «nous avons constaté que nous étions sur le même rythme concernant le nombre de noyades par rapport à l'année dernière. C'est inquiétant». L'an passé, les autorités avaient déploré 17décès pendant l'été sur les côtes, dont treize en mer. (Photo Aurélien Douillard)
Un Office de Tourisme ou une surveillance des plages ?
Incohérence au sommet de notre Commune ! Des ambitions "internationales" alors que les services au tourisme ne sont pas assurés...
On savait que madame le Maire se baignait habituellement sur les plages du Petit Rohu, cette année, nada !
On ne comprend pas bien l'acharnement en début d'été contre les chevaux, alors que la régression en matière de sécurité des plages est "patente" ici, à Saint Pierre. On se contente du "Port d'Orange", les autres plages sont ignorées.
Comme nous le répétons, faut-il attendre un accident "mortel" pour prendre les bonnes décisions !
Comment également conforter les "sports" en vogue (surf et kite-surf) tout en abandonnant toute surveillance des plages de la Côte sauvage, où des centaines de surfeurs se baignent tous les jours... Ne pourrait-on pas dépêcher les "sur-effectifs" de l'ENVSN pour la période estivale sur ces "spots" réputés !
Fauteuil roulant et déambulateur, les deux mamelles de la Commune ?
2 commentaires
il n'y a pas de plage à baignade à la côte sauvage les baignades y sont interdites depuis des années et s'il y a des xxx?#! nageurs qui s'y noient c'est de leur faute !!!!
On a déja eu le décès de 2 sauveteurs ça suffit comme ça !
quand on dit a des gens de ne pas y aller se baigner, surtout avec leurs enfants, dans le meilleur des cas on se fait engu--ler .
il y a plus de 20 ans déja, les gendarme qui disaient aux gens de ne pas aller à l'eau à Port Blanc se faisaient presque agresser.
Il y a des panneaux partout en plusieurs langues
Quant aux surfeurs c'est une autre chose. ils prennent leurs risques comme les montagnards qui font de l'escalade et nous n'avons pas à payer pour eux
il y a des mesures de sécurité ou de prudence à suivre en plongeant ou en se baignant il faut que les gens se responsabilisent aussi
Es tu prêt a voir tes impots augmenter pour fliquer toutes les plages ?
moi pas.
Ras le bol le yaka faukon les gens doivent aussi se prendre en main et respecter les consignes.
Moi quand je vais me baigner sur une plage non surveillée, je le fais à mes propres risques et je n'en voudrais à personne si mes filles y allant avaient un problème.
Je vous engage à lire d’ici peu l’article intéressant (comme tous les autres du reste) du Homard Déchainé N°11 intitulé : « Côte Sauvage : la prudence est « mer » de sureté ».
Par ailleurs, comment pouvez-vous plaider pour un développement de la surveillance, vous qui prônez (parfois à juste titre) la diminution des emplois non productifs et l’avènement d’une société responsabilisée ?
Comme le fait remarquer Fran, il est indiqué, connu, établi j’en passe et des meilleures que les baignades sur la Côte Sauvage sont interdites car dangereuses.
Autre phénomène. Il m’a été donné d’observer à de très nombreuses reprises au cours de sorties en mer à plus d’un un quart de mile de la Teignouse, de joyeuses familles genre le papa Capitaine en Tongues, la maman Figure de Proue Bronzante, les deux sans gilet de sauvetage bien sûr, plus un ou deux gamins disparaissant dans des gilets de sauvetage inappropriés car de taille adulte, voguant sur des pneumatiques d’à peine quatre mètres poussé par un moteur de quelques chevaux.
Doubler, tripler, quadrupler les équipes de surveillance pour des individus aussi irresponsables me semble surréaliste d’autant qu’en cas de tragédie, l’émoi retombé, les mêmes remettrons le cap sur le large dans leur coquille de noix…
Sans parler de la vie des sauveteurs… Qui ont déjà suffisamment de sorties motivées par des fortunes de mer où ils prennent des risques très sérieux pour sauver des personnes qui n’ont pas, à l’inverse de ceux que vous défendez, mis sciemment leur vie en danger.
P.S. : sortie en mer... sur un voilier...
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