Les "liaisons dangereuses" à Quiberon !
07/11/2016
Le patrimoine "historique" de Quiberon détruit par Nexity et un architecte "aux ordres" !
Quiberon est aujourd'hui en grand danger, sous la direction de son Maire, le roi de la boite de sardine...
Alors que l'on ne compte pas les "sous" pour partager en 4 concerts la musique de Debussy, on s'apprête à transformer complètement une rue charmante en "immeubles de logements sociaux", dans l'intérêt d'un promoteur aux dents longues, Nexity ! Sérine Barbin, la première concernée par la riche histoire de Quiberon, est aux abonnés absents !
Et ce premier pas dans "l'horreur du béton" précède le futur "Briellec 3", la résidence de vacances 5 étoiles et le complexe hôtelier avec piscine sur les terrains "Louison Bobet"...
Si j'étais Anatole France, je ne viendrais plus me détendre à Quiberon !
Ils se mobilisent pour préserver leur rue
Ouest France du 7 novembre 2016
Des résidents ont lancé, début octobre, une pétition contre le projet actuel de construction de logements sociaux, dans la rue de Kermorvan. L’écrivain Anatole France y a séjourné.
La mobilisation
La modification simplifiée du Plu (Plan local d’urbanisme) pour le projet de l’OAP (Orientation d’aménagement et de programmation) n° 13, tranche 2, de la rue de Kermorvan, présentée en réunion publique le 24 octobre, a du mal à passer auprès des riverains.
Mauvaise insertion
Deux villas sont fortement impactées par le projet de Bretagne Sud Habitat et Nexity : une construction de trente logements sociaux en face d’elles. Les propriétaires de la villa Les Coccinelles , située au numéro 17 de la rue, contestent son insertion dans l’environnement. « Comme je l’ai dit lors de la réunion, je ne nie pas la qualité architecturale du projet, mais elle n’a rien à voir avec l’environnement. Dans cette rue étroite, les maisons individuelles sont généralement éloignées de la rue par leur jardin. La nôtre ,par exemple, se situe à 11 m de la rue, tandis que la résidence envisagée ne sera qu’à 3 m. » Pour cet habitant, les deux bâtiments de 10 à 13 m de hauteur, sur une surface de 2 950 m², par leur côté massif, sont agressifs. Il soutient que l’article 11 du Plu n’est pas respecté, et qu’il y a une mauvaise insertion dans ce quartier résidentiel.
Patrimoine quiberonnais
« Quand nous avons acheté la maison en 2001, elle n’était qu’une ruine. Personne n’en voulait, excepté un promoteur qui l’aurait sans doute rasée, raconte Claude Godrèche, qui souhaiterait un allégement du projet, sur la hauteur, la superficie, et le nombre de logements. Nous avons fait beaucoup de rénovations, par une trentaine d’artisans et d’entreprises. C’était pour moi une petite fierté de participer à la préservation du patrimoine, d’autant plus qu’Anatole France y a séjourné dans les années 1920. Il reste peu de villas de ce cachet dans la commune. » De plus, il s’interroge sur l’argument de la densification de zones dites dents creuses, avançant qu’on ne peut pas faire n’importe quoi. Les trente logements et leur cinquantaine de voitures induiront, en outre, des problèmes de circulation et de stationnement. Pour Claude Godrèche, la Ville aurait pu faire de ce terrain arboré un petit parc pour les enfants et leur famille, d’autant plus qu’il borde l’école et sa chapelle.
Contact :
le site d’informations difennkermorvan.fr sera en ligne à partir de ce mercredi.
À Quiberon, ils veulent préserver la rue où Anatole France a séjourné
Ouest France du 7 novembre 2016
pprète
Les riverains de la rue de Kermorvan, à Quiberon, se mobilisent contre un projet d’une trentaine de logements sociaux mené par Bretagne Sud Habitat et Nexity. Cette résidence de deux bâtiments, de 10 et 13 mètres de hauteur, serait construite dans la rue, face à la villa Les Coccinelles , où l’écrivain Anatole France a séjourné dans les années 1920. Son propriétaire, Claude Godrèche, qui l’a entièrement rénovée, estiment que ces nouveaux bâtiments s’intégreront mal dans ce quartier résidentiel. « Quand nous avons acheté la maison en 2001, elle n’était qu’une ruine. Personne ne voulait l’acheter, excepté un promoteur qui l’aurait sans doute rasée, raconte Claude Godrèche, qui souhaite un allégement du projet, sur la hauteur, la superficie, et le nombre de logements. C’était pour moi une petite fierté de participer à la préservation du patrimoine. Il reste peu de villas de ce cachet dans la commune. » Les riverains de la rue de Kermorvan lancent une pétition en ligne sur difennkermorvan.fr dès mercredi 9 novembre.
5 commentaires
Votre démarche Relative au patrimoine est très intéressante et va dans le sens de la préservation de l'environnement et du patrimoine.
Face à l'adversité qui n'a pas d'état d'âmes , une seule solution s'impose ... C'est à dire prendre un avocat ...votre pétition ne suffira pas malheureusement ...
Il faut confronter ces elus ( mal elus) au droit pour qu'ils comprennent que le temps de l'expansion à tout va est terminé..
Bon courage.
et attaquer au penal sur le plan des divers abus... et surtout la collusion d'interets... (interaction entre un maire, un promoteur immobilier et un bureau d'etudes (imohep)). et que fait la Rozo la dedans?
que fait la Rozo? elle sert de couverture !
elle couvre son seigneur et maitre dans ses operations immobilières en le conseillant.
elle sert d'entremetteuse en fait...
Nos glorieux services d'information nous ont fait part d'un article traitant de votre presqu’île :
http://elections.quiberon.over-blog.com/2016/11/pauvrete-n-est-pas-vice.html
Un commentaire unanime de notre comité central : BRAVO ;
Bravo pour la maîtrise des techniques de captation pour le bien du leader suprême, du comité central et bien entendu des masses populaires ;
Bravo pour la propagande qui entoure cette opération, que vous appelez, je crois « techniques Marketing » en occident.
Humblement nous aimerions nous rapprocher de votre comité central pour qu'il puisse nous conseiller pour des projets similaires au sein de notre presqu’île,
Un conseiller Nord Coréen
Ça voudrait dire que Quiberon vous a dépassés?
En même pas 3 ans, nous sommes quand même bons!
On s'occupe d'eux d'abord et après nous vous les envoyons en aller simple. On vous joindra quelques conseillers généraux qui sont une pointure encore au dessus: fruit d'une trop longue expérience certainement.
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