"Musicales" de Quiberon contre "Rencontres Classiques" à Saint Pierre ?
24/08/2016
Comment le pauvre "Debussy" est-il l'enjeu d'une concurrence culturelle stérile ?
Quiberon a de l'argent, Saint Pierre n'en pas !
Sous l'influence tenace d'une adjointe, le Conseil de Quiberon monopolise pour la musique, chère à Monsieur Gallois, une somme rondelette...dans la commune d'à côté, le gotha du "béton" aurait donné sans aucune contrepartie !
Ce qui cloche à Quiberon, ce sont les dates (samedi et dimanche sur deux fins de semaine), après la rentrée scolaire...probablement l'influence du piano à Biarritz pendant l'été indien...
Au fond, raccommoder les deux Maires sur une petite musique "commune" serait un bel objectif ! en ce moment les "tomates" ont pris de la valeur !
A vos poches …
KIBEREN ARC'HOAZH du 21 Août 2016
Quiberon demain. Billets d'humeur relatifs aux affaires municipales.
Il nous est annoncé l’ouverture de la billetterie des «Musicales de Quiberon»
Cette annonce nous est faite dans la presse locale par le directeur artistique et chef d’orchestre de l’association éponyme qui a réussi à obtenir la modique somme de 110 000 € des contribuables quiberonnais.
Mr Gallois fait-il aussi fonction de directeur financier, directeur commercial, directeur administratif de ladite association ?
Mr Gallois jouera-t-il les ouvreuses à chaque concert et fera-t-il le ménage de la salle Louison bobet après ceux-ci ?
La disparue du conseil réapparaitra-t-elle pour vendre des glaces à l’entracte ?
Les « Rendez-vous classiques » de Saint Pierre Quiberon viennent de publier leur bilan de fréquentation pour l’été 2016, soient 2 300 auditeurs et donc 5,6 fois plus que les 413 malheureux spectateurs des «Musicales» de l’an passé à Quiberon, sans que cela ne coûte au contribuable St-Pierrois la somme extravagante prise dans les poches du contribuable quiberonnais.
La subvention accordée par la commune à l’association des «Musicales» n’est pas que scandaleusement élevée, elle est aussi, faut-il le rappeler, illégale dans son principe puisqu’il est d’évidence que le projet n’a pas été proposé à la municipalité mais initié par elle l’an passé.
Dès lors que la municipalité souhaitait sous-traiter cette manifestation, une mise en concurrence pour son organisation aurait dû être faite.
Dès qu’il s’agit de prestations sollicitées par une municipalité à son initiative, la règle de droit est celle d’une mise en concurrence :
L’illégalité est donc patente mais, comme pour la voile scolaire, nul au conseil ne s’en préoccupe. La minorité du camp de l’ancien maire faisait la même chose et n’a donc aucune autorité morale à s’y opposer ; l’autre minorité est comme toujours velléitaire et se tait après avoir laissé entendre que … au sujet de cette subvention.
Quant aux appels de certains à une réaction du sous-préfet, supposé procéder au contrôle de légalité des décisions municipales, ce ne sont que des vœux pieux tant la mise en œuvre de ce contrôle est généralement défaillante (http://www.anticor.org/2016/02/17/et-si-les-citoyens-semparaient-du-controle-de-legalite-et-budgetaire/)
Lors du conseil municipal du 28 septembre 2015, la municipalité et la Ministre de la culture avaient qualifié de magnifique succès « Les Musicales de Quiberon » (malgré une fréquentation squelettique et le gouffre financier de cette opération soldée par un résultat catastrophique de 2 900 € de recettes pour 120 000 € de dépenses).
En 2015, Mr le Maire avait insisté sur le « caractère exceptionnel de l’évènement » sans que l’on ne sache s’il faisait référence à sa qualité culturelle, à son coût exorbitant ou à sa fréquentation minimaliste.
La menteuse du conseil avait expliqué la faiblesse de la recette de ces 5 concerts par le fait que « la première édition des musicales avait vocation à être gratuite ».
« Cette année, on a poursuivi notre politique de prix accessible à tous, déclare Pascal Gallois, le directeur artistique du festival. Les tarifs n'ont pas augmenté par rapport à l'année dernière … »
Mauvaise nouvelle donc pour le Quiberonnais, il va lui falloir de nouveau mettre la main à la poche : 110 000 € pour les Musicales, 45 000 € pour une fontaine au rond-point de la gendarmerie qui n’a fonctionné qu’une ½ journée, 350 000 € pour un fonds de commerce de cinéma dont personne ne voulait, 150 000 € bientôt pour une boîte de nuit …
L’addition s’alourdit chaque jour et son montant est loin d’être négligeable qu’il soit financé par l’impôt local ou l’emprunt (qui n’est qu’un impôt différé).
Pas loin de 300 € par foyer fiscal pour ces seules dépenses aussi somptuaires qu'inutiles !
Jo Le Tacaud
PS
Il ne fait aucun doute que seront allégués après cette édition 2016 des «Musicales»des chiffres de fréquentation témoignant d'un vif succès.
Mr le Maire voyait 15 000 personnes à son feu d'artifice raté du 14 juillet. De la jetée Est de Port Maria au Casino, il y a 1 km (200m pour la Promenade de la Plage et 800 m pour le Bd Chanard) soit, à supposer 1 personne tous les 50 cm sur deux rangs 4 000 personnes, 6 000 sur trois rangs. En supposant qu'il y en ait eu au moins autant sur la grand plage l'on atteindrait 12 000 personnes mais chacun, ayant assisté à ce fiasco du 14 juillet, sait que l'assistance n'était pas du tout ce soir là d'une telle densité (4p/m2) mais plutôt proche de celle d'une manifestation habituelle (1 à 1,5 p/m2) soit de l'ordre de 6 000 personnes.
Comme les recettes des «Musicales» n'auront plus un caractère public du fait de leur encaissement par l'association, les Quiberonnais seront invités à croire sur parole les communiqués triomphants que ne manqueront pas de publier les pigistes serviles de la presse locale.
Pour sa part Jo Le Tacaud attend toujours communication par Mr le Maire des bordereaux de fréquentation du Cinéma municipal Le Paradis, documents administratifs qui, selon la loi, auraient du lui être fournis depuis plusieurs mois maintenant.
Se pourrait-il que les chiffres établis par ces bordereaux ne soient pas ceux évoqués par la municipalité ?
Les fruits et légumes n’ont jamais été aussi chers
Les Echos du 23 août 2016
Le prix des fraises a augmenté de 32 % par rapport à 2015. - SIPA
Le Baromètre annuel de Familles rurales fait état d’une hausse importante du prix des fruits et légumes en France.
18 %. C'est la progression du prix des fruits par rapport à 2015, selon le baromètre annuel de Familles rurales, publié ce mardi. La hausse des prix des légumes est également conséquente, puisqu'elle s'élève à 10 %. « Depuis le début de l'observatoire, les prix n'ont jamais été aussi élevés : 4,10 euros en moyenne pour un kilo de fruits et 2,30 euros pour 1 kilo de légumes », souligne l'association dans son dixième observatoire estival.
La pomme de terre est le légume dont le prix a le plus augmenté avec une hausse de 37 %. Elle est suivie de la fraise (+32 %), puis du melon, de la cerise et de la courgette, qui coûtent tous 17 % plus cher que l'année dernière. Les produits dont le prix est le plus élevé sont, sans surprise, les fruits issus de l'agriculture biologique, comme cela apparaît sur l'infographie réalisée par Statista , plus chers de 2,85 euros que leurs homologues « classiques ». Les légumes bio valent également 1,80 euro de plus que les autres.
« Si un ménage veut suivre les préconisations de l'Organisation mondiale de la santé, soit la consommation de 400g de fruits et de légumes par jour, le budget devient considérable », souligne le président des Familles rurales Dominique Marmier dans les colonnes de La Croix.
De mauvais rendements cette année
Le tableau n'est cependant pas tout noir, puisque les fruits et légumes français sont de plus en plus compétitifs. Neuf produits sur seize sont en moyenne moins chers en France qu'à l'étranger. L'association note également que l'écart s'amenuise entre les prix pratiqués par les grandes surfaces et les commerces hard-discounts.
La flambée des prix s'explique notamment par une année catastrophique en termes de récoltes . Les inondations de mai et juin dans certaines régions ont entraîné des pertes importantes pour les producteurs tout en réduisant l'offre de fruits et légumes. Familles rurales invite les consommateurs à limiter leur budget en n'achetant que des produits au moment de leur maturité.
Penthièvre, trop de déchets sur la plage
Télégramme du 22 août 2016
Une partie de la collecte effectuée mardi matin à Penthièvre. Comme en juillet, une opération Penthièvre plage propre s'est tenue mardi dernier grâce à l'Arep (Association des résidants de Penthièvre). C'était une nouvelle occasion de se retrouver alors que le vendredi précédent, le pique-nique des voisins avait été une vraie réussite. Rendez-vous avait été donné sur la place Neptune pour s'occuper de l'environnement. Le travail n'a pas manqué. La présidente, Marie Serrano, déplore : « Nous avons ramassé une quantité inhabituelle de fils en nylon et de cordages de pêche emmêlés dans les algues. Malheureusement, il y avait également encore beaucoup trop de déchets laissés par les estivants, avec des morceaux de film d'emballage en plastique ».
Vidéo-conférence ce soir au centre culturel
La mobilisation a été bonne car l'association avait su mobiliser lors du pique-nique organisé quelques jours avant et auquel 140 convives avaient participé : un record. « L'apéro a été aussi l'occasion de remettre les prix aux vainqueurs du tournoi de tennis de Penthièvre, qui s'est déroulé du 8 au 12 août, sur les nouveaux courts en bitume de Penthièvre », ajoute la présidente, qui ajoute : « Du côté des projets, nous avons invité les gens du Grand Site Gâvres-Quiberon à venir faire une vidéo-conférence, ce lundi 22 août, à 20 h, au centre culturel à l'occasion des 20 ans d'existence. Ils présenteront également le projet de labellisation ». Les résultats du tennis : vainqueur du simple homme, Damien Commeureuc (30-1) ; vainqueur du double : Jérôme et Valentin De Sèze (30-1).
© Le Télégramme
1 commentaire
http://www.bbc.com/news/uk-wales-35530106
Je pense que ce n est pas mentir mais réel
Nous aimons la culture n en déplaise à vous
Pourquoi etre tellement méchant
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