Le sabre et le goupillon ! Le "sacre" au Puy du Fou devient un passage obligé !
24/08/2016
Le retour aux valeurs "royales, paysannes et chrétiennes" paye nettement plus que la visite d'usines...
Le Parc du Puy du Fou est un conglomérat de "spectacles", parfaitement montés... loin des précisions historiques habituelles, Philippe de Villiers donne à cet ensemble une couleur "vendéenne", teintée de religiosité chrétienne primaire et d'attachement au "Royaume", dont la République est l'ennemi numéro un !
Le retour à l'an 1000, le bonheur paysan, est le leitmotiv, qui revient sans cesse dans les scènes les plus diverses. Dans le "dernier panache", Athanase de Charrette est le héros des combats marins "des Saintes", puis des paysans vendéens, qui luttent contre les forces de la République révolutionnaire...
Les femmes, fragiles et dansantes, tiennent tête aux soudards les plus féroces, les vikings, les bourguignons, les romains décadents...
Les mises en scène s'accompagnent d'effets de lance-flamme, dont le sommet est atteint dans un orgue en carton-pâte, qui accompagne la célèbre toccata de Bach !
Philippe de Villiers réussit ainsi superbement à passer son message !
Emmanuel Macron au Puy du Fou, je ne suis pas socialiste
Challenge du 20 août 2016
Le ministre de l'Economie était auprès de Philippe de Villiers au Puy du Fou. Une drôle de rencontre pour d'étonnantes déclarations.
Emmanuel Macron au Puy du Fou (c) AFP
Bottom of Form 1
Le ministre de l'Economie s'est rendu vendredi 19 août en fin de journée dans le parc d'attractions du Puy du Fou, à l'invitation de Philippe de Villiers en qui il a salué un "entrepreneur culturel".
"Je viens saluer ici l'entrepreneur culturel" en la personne de Philippe de Villiers. "Le Puy du Fou, c'est un fleuron français, c'est une formidable réussite culturelle, une réussite économique avec 1.500 emplois directs, plus de 3.000 emplois indirects et des milliers de bénévoles", a déclaré le ministre de l'Economie, accompagné de son épouse Brigitte.
"C'est le 2e parc d'attractions de France, juste derrière Eurodisney", a rappelé Emmanuel Macron. "Il y a eu l'engagement, la volonté d'un responsable politique qui est aussi véritablement un engagé de cette économie culturelle", a-t-il souligné à propos de Philippe de Villers.
Une espèce de sectarisme
Interrogé par des journalistes qui s'étonnaient de sa présence aux côtés de M. De Villiers, fondateur du mouvement pour la France (MPF) et créateur du parc où jamais un ministre socialiste n'est venu, Emmanuel Macron a répondu: "Pourquoi c'est étonnant? (...) L'honnêteté m'oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste (...). Mais quelle importance? Quand vous êtes ministre, vous êtes ministre de la République et, donc, vous servez l'intérêt général".
"Notre pays est paralysé parfois par une espèce de sectarisme, par des oppositions stériles qu'on voudrait créer. Il y a des divergences, elles sont réelles", a poursuivi le ministre. "C'est normal, c'est la vie politique. Philippe de Villiers a ses convictions que je respecte, j'ai les miennes, sur l'Europe, sans doute sur la société française. Nous appartenons à un même pays".
"Je considère que c'est tout à fait mon rôle" de "rendre hommage au travail qui a été fait", a-t-il ajouté. "Ma présence ici, en tant que ministre de l'Economie, de l'Industrie, et toute la soirée que nous passons ensemble, a pour but de saluer le travail du Puy du Fou, cette formidable réussite et cette aventure commencée en 1978".
"On est aujourd'hui en train de traverser des temps difficiles, il y a eu beaucoup d'interrogations sur notre capacité à attirer les touristes. L'année en cours s'annonce être une année excellente à nouveau" pour le parc du Puy du Fou, a-t-il insisté.
Le Puy du Fou, sur la commune Les Epesses, a accueilli plus de 2 millions de visiteurs en 2015.
Macron sur un char romain
Le ministre de l'Economie a été accueilli à l'entrée de l'arène par Philippe de Villiers et son fils Nicolas, actuel directeur. Il a assisté avec son épouse à un spectacle, "Le Signe du triomphe", mêlant combat de gladiateurs, fauves (lion, tigres ...). Il a terminé le pouce levé pour épargner la vie d'un prisonnier gaulois.
Emmanuel Macron a ensuite salué les spectateurs et rencontré des saisonniers du parc d'attractions, avant de prendre les rênes d'un char, conduit par quatre chevaux.
"C'est la première fois que je vois un ministre conduire un char avec autant d'audace et surtout cette capacité à apprendre", a réagi Philippe de Villiers à la prestation d'Emmanuel Macron. Le ministre "a écouté le conducteur. Il a fait un premier tour qui était de bonne qualité et un deuxième tour fulgurant. (...) Je pense qu'il y a pour M. Macron, devant lui, un avenir pour conduire toute sorte de char", a poursuivi le fondateur du MPF.
Emmanuel Macron, "c'est quelqu'un qui est ouvert au monde de l'entreprise (...) et doté d'une qualité de plus en plus rare, c'est la curiosité", a estimé Philippe de Villiers. "Ce qui nous réunit, c'est qu'on est tous Français. C'est une belle rencontre aujourd'hui, un ministre de la France qui vient à la rencontre du parc de l'histoire de France", a fait valoir l'homme politique vendéen, en précisant avoir invité Emmanuel Macron alors qu'ils s'étaient retrouvés "voisins de table dans un restaurant à Paris".
Après l'épisode du char, Emmanuel Macron est ensuite passé par la cité médiévale puis par une tranchée de la guerre 14-18. Le ministre devait poursuivre en assistant à un ou plusieurs spectacles.
(Ave AFP)
Au Puy du Fou, Macron salue de Villiers, un entrepreneur culturel
Les Echos du 20 août 2016
Philippe De Villiers est le fondateur du mouvement pour la France (MPF) et créateur du parc où jamais un ministre socialiste n'est venu. - AFP
Le ministre de l'Economie s'est rendu vendredi en fin de journée dans le parc d'attractions du Puy du Fou, à l'invitation de Philippe de Villiers en qui il a salué un "entrepreneur culturel".
"Je viens saluer ici l'entrepreneur culturel" en la personne de Philippe de Villiers. "Le Puy du Fou, c'est un fleuron français, c'est une formidable réussite culturelle, une réussite économique avec 1.500 emplois directs, plus de 3.000 emplois indirects et des milliers de bénévoles", a déclaré le ministre de l'Economie, accompagné de son épouse Brigitte.
"C'est le 2e parc d'attractions de France, juste derrière Eurodisney", a rappelé Emmanuel Macron. "Il y a eu l'engagement, la volonté d'un responsable politique qui est aussi véritablement un engagé de cette économie culturelle", a-t-il souligné à propos de Philippe de Villers.
Interrogé par des journalistes qui s'étonnaient de sa présence aux côtés de M. De Villiers, fondateur du mouvement pour la France (MPF) et créateur du parc où jamais un ministre socialiste n'est venu, M. Macron a répondu: "Pourquoi c'est étonnant? (...) L'honnêteté m'oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste (...). Mais quelle importance? Quand vous êtes ministre, vous êtes ministre de la République et, donc, vous servez l'intérêt général".
"Notre pays est paralysé parfois par une espèce de sectarisme, par des oppositions stériles qu'on voudrait créer. Il y a des divergences, elles sont réelles", a poursuivi le ministre. "C'est normal, c'est la vie politique. Philippe de Villiers a ses convictions que je respecte, j'ai les miennes, sur l'Europe, sans doute sur la société française. Nous appartenons à un même pays".
"Je considère que c'est tout à fait mon rôle" de "rendre hommage au travail qui a été fait", a-t-il ajouté. "Ma présence ici, en tant que ministre de l'Economie, de l'Industrie, et toute la soirée que nous passons ensemble, a pour but de saluer le travail du Puy du Fou, cette formidable réussite et cette aventure commencée en 1978".
"On est aujourd'hui en train de traverser des temps difficiles, il y a eu beaucoup d'interrogations sur notre capacité à attirer les touristes. L'année en cours s'annonce être une année excellente à nouveau" pour le parc du Puy du Fou, a-t-il insisté.
Le Puy du Fou, sur la commune Les Epesses, a accueilli plus de 2 millions de visiteurs en 2015.
Le ministre de l'Economie a été accueilli à l'entrée de l'arène par Philippe de Villiers et son fils Nicolas, actuel directeur. Il a assisté avec son épouse à un spectacle, "Le Signe du triomphe", mêlant combat de gladiateurs, fauves (lion, tigres ...). Il a terminé le pouce levé pour épargner la vie d'un prisonnier gaulois.
- Macron a ensuite salué les spectateurs et rencontré des saisonniers du parc d'attractions, avant de prendre les rênes d'un char, conduit par quatre chevaux.
"C'est la première fois que je vois un ministre conduire un char avec autant d'audace et surtout cette capacité à apprendre", a réagi Philippe de Villiers à la prestation de M. Macron. Le ministre "a écouté le conducteur. Il a fait un premier tour qui était de bonne qualité et un deuxième tour fulgurant. (...) Je pense qu'il y a pour M. Macron, devant lui, un avenir pour conduire toute sorte de char", a poursuivi le fondateur du MPF.
Emmanuel Macron, "c'est quelqu'un qui est ouvert au monde de l'entreprise (...) et doté d'une qualité de plus en plus rare, c'est la curiosité", a estimé Philippe de Villiers. "Ce qui nous réunit, c'est qu'on est tous Français. C'est une belle rencontre aujourd'hui, un ministre de la France qui vient à la rencontre du parc de l'histoire de France", a fait valoir l'homme politique vendéen, en précisant avoir invité M. Macron alors qu'ils s'étaient retrouvés "voisins de table dans un restaurant à Paris".
Après l'épisode du char, Emmanuel Macron est ensuite passé par la cité médiévale puis par une tranchée de la guerre 14-18. Le ministre devait poursuivre en assistant à un ou plusieurs spectacles.
Source AFP
Le Chouan de Villiers n'est plus le diable en politique
Le Figaro Premium du 24 août 2016
Au Puy du Fou, Emmanuel Macron a déclaré qu'il n'était pas socialiste. Pour Gilles-William Goldnadel, le monde politique a changé. Une telle déclaration aurait choqué il y a une décennie tandis que Philippe de Villiers n'est plus le diable.
Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain. Il est président de l'association France-Israël. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox.
La visite rendue par Emmanuel Macron à Philippe de Villiers est bien plus intéressante pour ce qu'elle ne dit pas que pour ce qui en a été dit.
Que le ministre au bord du Rubicon ait décidé de commettre un nouveau geste identitaire après sa visite à la pucelle en dit long sur ses ambitions.
Qu'il ait fait acte public de non - socialisme tient moins de l'honnêteté revendiquée que de l'instinct de conservation , à un moment où toute allégeance au parti de la rive gauche relève, selon les sondages, du masochisme le plus sauvage.
Au fond, l'anti-modèle du ministre s'appelle Cambadélis.
Au fond, l'anti-modèle du ministre s'appelle Cambadélis. Non seulement dans son pré carré économique réservé, mais encore par opposition aux imprécations antifascistes et antiracistes convenues, dont le premier secrétaire du parti s'est fait une spécialité obligée qui ne fait plus recette.
Nous verrons, par exemple, prochainement si les initiatives subliminales du non-socialiste gouvernemental s'avéreront plus commerciales que le discours plus concret en matière d'autorité et d'identité d'un Premier ministre qui, même s'il a raillé leur sur-moi marxiste, ne peut renier les camarades qui lui restent.
Mais, sous l'écume politicienne, en profondeur marine, dans le creux du non-dit, ce qui devrait intéresser bien davantage, c'est l'absence de toute véritable protestation à ce qui a été présenté brièvement comme une manière de transgression.
L'imagination est impuissante à décrire à quoi aurait ressemblé la réaction médiatique de la classe conformiste il y a encore une poignée de mois.
Eclatante revanche, Monsieur de Villiers ne fait plus peur ni rire, ni par son nom, ni par ses origines, ni par ses idées.
Mais, éclatante revanche, Monsieur de Villiers ne fait plus peur ni rire, ni par son nom, ni par ses origines, ni par ses idées.
Il y a encore une demie décennie, des marionnettes du bocal à la mode tenaient pour ridicule un patronyme à particules qui sentait trop le bocage local. On aurait ri à l'identique d'un nom juif ou arabe, que le rieur se serait retrouvé devant le tribunal. Aujourd'hui, ce sont les pantins ringardisés qui sentent le formol.
Il y a quelques lustres, l'actuel maire-adjoint de la maire de Paris et vice-président de SOS-Racisme faisait expulser manu militari ce fils de résistant, et l'une des rares personnalités politiques venues manifester son indignation après l'assassinat d'Ilan Halimi.
Aujourd'hui, c'est l'association subventionnée à but non lucratif et prétendument antiraciste qui inspire, dans le meilleur des cas, une franche hilarité.
Il y a quelques années, on aurait moqué encore le Chouan avec ses gros sabots. J'ai eu l'honneur de préfacer l'ouvrage irremplaçable de Reynald Seycher, consacré au génocide du peuple vendéen. J'expliquais les réticences de l'idéologie dominante à la reconnaissance de ce que Babeuf lui-même nomma un «populicide» délibéré: non seulement le fait que l'horreur ait pu être accomplie par la république, mais plus encore parce qu'un peuple catholique et blanc ne correspondait pas à l'idéal du peuple victime dans l'inconscient collectif des années 2000.
Quant aux critiques de l'Europe multiculturaliste par l'ancien responsable du MPF, elles passeraient aujourd'hui pour des évidences publiques et des lieux trop communs.
Nous n'en sommes plus là, et nous savons bien que les chrétiens peuvent être les victimes du fanatisme politique ou religieux.
À ce sujet encore, l'homme du Puy-du-Fou fut moqué ou morigéné par des journalistes très intelligents et très bien informés pour avoir osé le premier attiré l'attention du public sur les risques de la présence dans les aéroports de nombreux bagagistes islamistes.
Après les premiers attentats, légèrement penaud, monsieur Martinez était obligé de convenir qu'il avait été contraint de retirer leurs cartes syndicales à des centaines de cégétistes barbus et badgés de Roissy et d'Orly….
Quant aux critiques de l'Europe multiculturaliste par l'ancien responsable du Mouvement Pour la France, inutile de les répéter, elles passeraient aujourd'hui pour des évidences publiques et des lieux trop communs.
Mais au-delà encore de la justice rendue à un homme vilipendé par les sots et les cuistres, ainsi qu'à tous ceux qui n'ont jamais craint de célébrer leurs racines tout en sachant regarder vers le ciel, la visite faite à Philippe en dit long sur le déplacement du curseur politique.
J'ai toujours en effet pensé et écrit que l'extrême gauchisation du spectre politique résultait en premier lieu de l'appropriation par l'idéologie dominante des instruments médiatiques de qualification et d'appellation des acteurs du monde politique et intellectuel.
Les coups de boutoir de la réalité ont enfoncé les murs du ghetto, et déplacé le curseur vers la droite.
Dans ce qui ne fut qu'un jeu de rôle, ceux qui s'opposaient extrêmement à l'extrême gauche, à son multiculturalisme opposé à l'application de la loi sur les flux migratoires, à sa xénophilie opposée à toute critique de l'immigration ou de l'islam radical, à son laxisme opposé à la répression étatique par l'incarcération ou l'expulsion, étaient étiquetés «d'extrême droite» pour être parqués dans un zoo et être moqués par les petits enfants.
J'ai évoqué un jeu de rôle, parce qu'au fond, les excluant ne croyaient pas sérieusement que les exclus du débat démocratique étaient des dangereux racistes. Ils préféraient dire «fachos» qu'oser «fascistes», comme le faisaient les communistes lorsqu'il s'agissait de qualifier le général De Gaulle. Ils ne croyaient pas à ce qu'ils disaient, mais le système à exclure, à excommunier, à ridiculiser aura bien fonctionné pendant 40 ans.
Les coups de boutoir de la réalité ont enfoncé les murs du ghetto, et déplacé le curseur vers la droite. Le réalisme vient bousculer l'idéologie dictatoriale quarantenaire. Quelqu'un qui soutient que les migrations islamiques illégales présentent un danger pour la sécurité et l'identité n'est plus forcément classé à l'extrême droite. Quelqu'un qui soutient qu'aujourd'hui, il convient de ne pas expulser un migrant non éligible au droit d'asile, hier au centre gauche du curseur manipulé idéologiquement , sera très certainement classé à l'extrême gauche. Et c'est de lui dont on se moque sans l'exclure. Mais il ne passera pas avant longtemps pour clairvoyant , généreux ou intelligent.
Monsieur Cambadélis et ses amis , peuvent bien poursuivre leurs imprécations, plus personne n'écoute. Pas même Monsieur Macron.
15 commentaires
c'est certain que les valeurs traditionnelles ont toutes leur intérêt; ce sont celles qui ont bâti la France et la Bretagne. Ce sont nos rois qui ont construit la France. Par la république! qui n'est en fait qu'un système politique comme un autre actuellement battu en brèche par une ideologie politico religieuse venue du moyen âge de l'Orient, et qui est en train de s'imposer peu à peu à cause des incoherences et de la pusillanimité des politiques (politiciens!).
M. Macron a bien senti en homme avisé qu'il ne fallait plus se referer à cette ideologie maudite et pernicieuse qu'est le marxisme à la sauce socialiste qui sous ses differentes déclinaisons: communisme, national socialisme, socialisme, et democratie sociale, n'a fait qu'apporter le malheur et la pauvreté.
Par ici, on voit bien ce que cela a apporté : destructuration d'une ancienne société traditionnelle, deculturation, perte des repères, drogue , pornographie, jalousie sociale, enfermement, et pauvreté.
Les politiciens professionnls ont coupables de tout cela. ils sont bons à être jetés aux chiens...
jean rohu, je ne peux qu'etre d'accord avec vous quand je vois dans quel état est saint pierre quiberon ; tout cela à cause de l'inperitie de Kervadec, de "la" Marchand et avec la petite nouvelle et sa clique cà empire!... SPQ tourne à la ruine et au désastre... Quant à l'opposition ce n'est guere mieux! on ne peut plus rien faire. on est fliqué et gêné en permanence. les rues sont degueulasses et les paysages sont degradés par le beton qui gagne peu à peu partout. les libertés d'accès libre à la mer sont bafouées chaque jour : ce sont taxes barrières et harcèlement. d'un pays de re on est en train de nous faire un enfer...
Jean Rohu dans votre liste vous avez oublié le népotisme présent partout et adopté par la population qui laisse faire.
On pourrait espérer être correctement informé par le représentant de l'Etat dans le Morbihan de ce qu'il se trame au travers d'arrêtés préfectoraux qui parfois engagent l'avenir d'une partie de notre commune à l'exemple de:
http://www.morbihan.gouv.fr/content/download/21626/173432/file/arrete_prefectoral_061115.pdf
Cet arrêté signé par le secrétaire général sans que l'on connaisse le nom du préfet: bon courage aux citoyens qui rechercheront dans quelques années les responsables de telle ou telle situation.
Etant donné la valse des préfets dans notre beau département, seules les décorations permettent à un œil averti de mettre un nom. Il lui suffit de consulter d'autres arrêtés ne prêtant pas à conséquence tels que ceux relatifs à l'exercice de la chasse pour la campagne 2015-2016 pour éclairer sa lanterne.
A cette date- pour un arrêté paru le 19 juillet 2016, arrivé et affiché en mairie le 29 juillet 2016- je suis toujours en attente pour consulter le dossier N°56-2016-00134 en mairie comme me l'invite monsieur le préfet dans l'article 10: publicité.
Les articles 10 et 11, véritables parapluies,feraient penser qu'il y a matière à contester.
Pourquoi, conformément à l'article 12 n'y a-t-il pas une copie du fameux dossier en mairie visiblement inconnu de nos élus?
Dans notre association, nous avons institué une sorte de jeu des 14 (7x2) erreurs dans tout ce qui touche au sujet de réaménagement du port mais aussi du quartier de Port Haliguen.
Lorsque nous aurons accès à ce dernier dossier, peut-être arriverons- nous au 15ème?
Vous avez noté qu'il aura fallu 10 jours entre Vannes et Quiberon pour avoir le fameux arrêté.
En 10 jours, combien de voyages à pied entre Quiberon et Sainte Anne d' Auray aurions nous pu faire pour nous en remettre à notre mère patronne des bretons?
Je ne plaisante pas et je crois aux miracles. Vous voulez un exemple:
depuis la réunion du quartier de Port-Haliguen du 21 juillet 2016 où nous nous inquiétions de la persistance du trait rouge entre la pointe de Conguel et Saint Pierre Quiberon toutes les cartes sanitaires du 28 juillet au 25 août sont "clean" même la baie de la Vilaine et ses 30 millions minimum de m3 de vase s'en tire. Il ne reste plus que la zone Gâvres-Penthièvre dans le rouge et on se demande pourquoi.
Il reste quand même un trait noir à Port Kerné dit l'usine à mousse ou à écume. Mais ceci est une autre histoire soigneusement ignorée mais jusqu'à quand?
Il y a sûrement d'autres choses à dire qui m'auront échappées car n'oubliez pas je fais partie des quiberonnais alcooliques et syphilitiques aux dires d'une certaine caste qui voudrait nous foutre dehors.
Au maire de Quiberon je demanderais de nous sortir un arrêté municipal qui dirait en quelques mots d'arrêter de prendre ses citoyens pour des c... ou de billes
Avant d'écrire ces mots j'ai relu une phrase de Churchill:
" Si nous sommes maîtres des mots que nous n'avons pas prononcés, nous devenons esclaves de ceux que nous avons laissé échapper "
Dans cet article je ne me sens en rien concerné puisque tout est vérifiable quand à vous monsieur le maire tâchez de respecter ce que vous avez écrit et dit lors de la campagne électorale. Là je crois que nous serons encore obligés de faire un pélérinage Quiberon-Sainte Anne d'Auray!
L'arrêté que je vous ai mis en ligne n'est pas tout à fait complet.
Il manque en effet au dessus de Le Préfet......
dossier N°56-2016-00134 (dossier initial N°56-2014-00268)
BELZEBUT aurait-il déjà mangé Sainte Anne?
encore un qui pisse dans sa cornemuse et qui crois qu'il fait de la musique
Suite à une erreur, je vous prie de trouver ci-joint l'arrêté du 19 juillet 2016
http://www.morbihan.gouv.fr/content/download/25020/195932/file/arr%C3%AAt%C3%A9_sign%C3%A9.pdf
Vous retrouverez donc les articles 10, 11 et 12 auxquels je fais référence et constaterez que le numéro du dossier(56-2016-00134) figure bien.
Pour mon propre texte je ne change rien
jclg entièrement d'accord, les arrêtés importants devraient être signés par le préfet ou du moins le citoyen devrait en connaître le nom.
Saviez-vous que: Par décret du Président de la République en date du 1er septembre 2016, il est mis fin, sur sa demande, aux fonctions de secrétaire général de la préfecture du Morbihan (classe III) exercées par Jean-Marc Galland?
Toutes les supputations sont permises.
Vos remarques pertinentes concernant les cartes sanitaires hebdomadaires émises par la DDTM 56 semblent avoir fait leur effet:
http://www.morbihan.gouv.fr/content/download/25338/198163/file/Carte%20sanitaire%20au%2001%20septembre%202016.pdf
Le dernier trait rouge entre Gâvres et Penthièvre a aussi disparu.
Après 3 semaines de canicule cela semble étonnant n'est-ce-pas?
Il semblerait que les représentants de l'Etat et les Politiques soient tombés dans le piège de leurs mensonges. Avec un mensonge on ne va pas déjà pas loin. Que dire alors d'un chapelet de mensonges?
Tegol, un peu de tenue !
TEGOL ce monsieur ne semble pas pisser dans sa cornemuse mais a raison de demander un dossier où effectivement il y a des choses à éclaircir. Quand vous lisez "VU le projet d'arrêté transmis à la Compagnie des ports du Morbihan" les citoyens ont le devoir de chercher pourquoi un préfet prend il tant de gants vis à vis d'un tel organisme qui est en fait une société de droit privé dirigé par un politique.
Puisque l'on parle d'instruments de musique peut-être qu'en fin de compte certains auront leurs binious et que d'autres se retrouveront au violon.Ainsi va la vie.
la Societé des Ports du Morbihan est l'equivalent morbihannais du célèbre "Carrefour du développement" d'un certain Christian Nucci dont le rôle est ici joué par Goulard Francois. C'est une pompe à fric qui sert pour alimenter des microparti politiques et des campagnes electorales. on y pratique le népotisme, la surfacturation des prestations imaginaires, les facturations croisées et autres entouloupes! tout ca au vu de l'Administration qui file doux par opportunisme et carierisme...
job et KAP c'est rien de le dire!
Tout le monde va à la soupe. Il faut quand même que quelqu'un paie et c'est nous
KAP Edouard Herriot écrivait
" La POLITIQUE c'est comme l'andouillette. Çà doit sentir un peu la merde, mais pas trop "
Rien que dans le Morbihan et à Quiberon en particulier ce stade est dépassé. Il y a longtemps que les boyaux du "fest-morc'h" ne sont plus lavés dans les mares d'eau salée de la côte sauvage ou de la baie.
D'ailleurs nos ancêtres s'ils revenaient sur terre ne pourraient s'y rendre tant les chemins communaux ont été volés et intégrés dans des propriétés privées. D'autres sont passés de chemins pour charrettes à chemin pour brouettes.
Alors effectivement ça pue et le citoyen faute de pince-nez s'en accommode mais sans doute plus pour longtemps. Les mensonges sont vraiment trop gros.
mort de rire jclg c'est du vent tes histoires depuis le temps que tu braille y se passe toujours rien.
Il faut savoir attendre
Attendre quoi? Cause toujours
on est morts de rire tout ca c'est du vent, tu délires et il ne se passera rien car tu es rien
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