La "gastro" PLR ou la "police de l'eau pure" !
23/04/2016
Le choix politique en Bretagne est simple : éliminer les incapables !
Après l'inauguration d'une station d'épuration, PLR "fait" les chantiers ostréicoles...dans la galerie de "portrait" du parfait député, il bat certainement tous les futurs candidats aux postes politiques de Bretagne.
Avec un bilan calamiteux à la tête d'AQTA, une gestion "familiale" désastreuse, une bronca de la majorité de ses Vice-Présidents, il se retrouve bien seul, à clamer le "succès" de sa mandature !
David Robo, moins extraverti que PLR, ayant une expérience confirmée de la gestion de Vannes, un pied dans le Conseil Régional de Bretagne pourrait être le chef de file d'une "majorité gestionnaire" dans le Morbihan.
Le député PLR, élu par défaut à l'époque, a fait son temps ! Le temps de la retraite, dans ses champs, est venu !
Politique, qui va prendre la relève en Bretagne ?
Le Télégramme du 23 avril 2016
Yvon Le Corre
Une glorieuse génération, celle des années 1970-1980, quitte peu à peu le devant de la scène. Plus « techno », la nouvelle génération semble avoir plus de mal à affirmer son leadership.
Il y a eu la génération des Louis Le Pensec, Charles Josselin, Edmond Hervé, Ambroise Guellec, Pierre Méhaignerie... Ils ne se sont pas contentés de leurs fiefs locaux mais ont su investir les palais de la République. Dans leurs pas, tout près, ont suivi Marylise Lebranchu, Bernard Poignant... Une génération que l'on pourrait qualifier d'intermédiaire et dont les figures les plus emblématiques sont, sans conteste, Jean-Yves Le Drian et Jean-Jacques Urvoas.
Des femmes et des hommes souvent venus à la politique par le militantisme syndical ou associatif. Longtemps, ils ont occupé le terrain, laissant peu de place à leurs cadets. Mais, peu à peu, de nouvelles figures émergent. Des quadras dont le profil n'a plus grand-chose à voir avec leurs aînés. On commence à les entendre même si leur notoriété ne dépasse guère souvent leur pré carré local. « Héritiers » pour certains, ils n'ont pas forcément eu à livrer des combats électoraux mémorables comme ce fut le cas de ceux de la précédente génération.
« Très techno »
Au-delà des positionnements partisans, quel est le dénominateur commun de cette nouvelle génération ? « Ce sont quand même des gens, sans que ça soit péjoratif, très techno », remarque le politologue Thomas Frinault. En clair, des hommes et des femmes de dossiers qui construisent la politique comme une carrière. Des profils que d'aucuns qualifient d'apparatchiks.
« Les bébés Hervé »
Leurs trajectoires se ressemblent beaucoup. Le politologue rennais donne en exemple ceux qu'on appelle « les bébés Hervé », du nom de l'ancien et emblématique maire de Rennes, Edmond Hervé. Au premier rang desquels figure Nathalie Appéré, la maire de Rennes, dont on dit qu'elle a la « carrure » pour devenir un jour ministre. « Ils n'ont connu que la politique dans leur vie », observe le politologue Romain Pasquier.
Des espoirs
La liste est longue des espoirs de la politique bretonne qui sont issus des cabinets départementaux ou régionaux dont le nombre de membres a enflé avec la décentralisation. On citera, sans pouvoir être exhaustif, Sébastien Miossec, le maire de Riec-sur-Bélon (29) et président de Quimperlé Communauté, qui fut le conseiller de Pierre Maille ; Michaël Quernez, le maire de Quimperlé et vice-président du conseil départemental, ancien assistant parlementaire de Louis Le Pensec et de Gilbert Le Bris ; Gwenegan Bui, suppléant de Marylise Lebranchu et ancien chargé de mission au cabinet de Jean-Yves Le Drian ; Gwendal Rouillard, député de Lorient et également ancien collaborateur parlementaire de Jean-Yves Le Drian.
Des parcours très différents
À droite, Isabelle Le Callennec fut l'assistante parlementaire de Pierre Méhaignerie avant qu'il ne lui cède sa circonscription. Parcours similaire de David Robo, le maire de Vannes qui, avant d'occuper le fauteuil de François Goulard, fut son chef de cabinet. Ce sont, en tout cas, des parcours très différents de leurs prédécesseurs. « À notre époque, il n'y avait pas d'assistant parlementaire. L'idée de devenir assistant pour devenir député n'existait donc pas », remarque Charles Josselin. Peu nombreux sont ceux qui peuvent se prévaloir d'une solide expérience dans le privé ou qui, à l'instar de Jean-Yves de Chaisemartin, ont, avant de se lancer en politique, créé leur entreprise.
Une autre planète
À l'arrivée, cela donne des politiques très différents de leurs aînés. Peut-être plus frileux. « Nous avions moins peur de l'avenir et étions donc plus audacieux. Nous ne craignions pas de nous affirmer, d'apparaître ainsi plus authentiques », analyse Louis Le Pensec. « Nous, on était dans la conquête, on ne savait pas trop ce qui allait nous arriver, le pouvoir ne nous obsédait pas », remarque Bernard Poignant, l'ancien maire de Quimper. Faut-il s'étonner de cette différence ? Pas vraiment pour Louis Le Pensec qui leur reconnaît des circonstances très atténuantes. « C'est dans une autre planète que la nouvelle génération d'hommes et de femmes politiques bretons exerce ». Sont passés par là le non-cumul des mandats, la parité, le quinquennat, le numérique et la pression médiatique. Charles Josselin fait le même constat : « Ils exercent leur talent dans un contexte beaucoup plus difficile ».
Décalage
Cette professionnalisation explique-t-elle ce décalage grandissant entre l'opinion et ses représentants ? « Je ne dis pas que ça l'explique mais cela y contribue », répond Charles Josselin. Même réponse ou à peu près de Bernard Poignant : « C'est un personnel politique compétent mais qui peut se trouver en décalage par rapport à la société ».
En complément
Nathalie Appéré. L'ascension d'un « bébé Hervé »
Elle fait partie comme on dit des « bébés Hervé ». Une filiation que Nathalie Appéré revendique sans pour autant se considérer comme une héritière. « J'ai appris aux côtés d'Edmond Hervé (ancien maire de Rennes) mais je ne suis pas très attachée à ce mot d'héritage qui laisserait penser qu'il suffirait de se glisser dans le sillage. Un parcours, on le construit avec sa propre personnalité et la mienne est différente de celle d'Edmond Hervé ». Voilà qui est dit. Venue à Rennes pour faire Sciences Po, elle rejoint, à 20 ans, le Parti socialiste. Élevée dans le catholicisme social, la jeune Morbihannaise a très tôt choisi la politique. « J'ai toujours été révoltée par les inégalités et les injustices. Ça me donne envie d'agir ».
« La confiance se conquiert »
Elle n'a que 25 ans quand Edmond Hervé lui fait confiance en la nommant adjointe à la vie associative. Un quasi-record pour une grande ville. Dès lors, son ascension sera régulière. En 2008, elle devient première adjointe de Daniel Delaveau et puis en 2012, elle est élue députée avant donc de devenir maire de Rennes deux ans plus tard. Un parcours sans faute qui fait incontestablement de Nathalie Appéré une des jeunes figures des plus en vue de la politique bretonne. Mais qui l'expose aussi à un certain nombre de critiques. Celle en particulier de carriérisme. La maire de Rennes ne les méconnaît pas. « ll faudrait être sourd pour ne pas les entendre », reconnaît-elle. Mais pas de quoi la déstabiliser. « Je sais à qui je dois ma légitimité. Elle est liée aux électeurs qui me font confiance. Et cette confiance, elle ne s'hérite pas, elle se conquiert ». De la même manière, si elle ne conteste pas le rejet dont font l'objet les politiques, elle refuse l'explication selon laquelle c'est parce qu'ils vivraient en vase clos. « Quand on est responsable politique, on n'en est pas moins inscrit dans une réalité personnelle. Je suis aussi mère de famille, dans le concret du quotidien ». Très portée sur les questions de l'habitat, Nathalie Appéré est depuis 2015 présidente de l'Anah (Agence nationale de l'habitat). On dit que ses compétences dans ce domaine n'ont pas été loin de faire d'elle, lors du dernier remaniement, une ministre du Logement. Mais des raisons d'équilibre gouvernemental l'auraient privée du poste. Ministre un jour ? « Ce n'est pas une question que je me pose et ce n'est pas ce qui me fait avancer ». Mais en même temps, elle se dit très attachée au lien national-local. « Le pays a besoin de s'appuyer sur des expériences en région qui fonctionnent. Je ne me tiens pas en dehors des débats nationaux ».
Jean-Yves de Chaisemartin. Le trublion centriste
Ses coups d'éclat, son comportement iconoclaste en font une personnalité à part dans le monde politique costarmoricain et breton. Trublion, poil à gratter ? Jean-Yves de Chaisemartin ne récuse aucun de ses qualificatifs. Au contraire. « Il n'y en a pas assez des comme moi. Mon plus grand adversaire en politique, c'est le conservatisme et l'inertie ». Pourquoi la politique ? La réponse est à l'image du personnage, directe : « Juste la volonté de changer le monde. Si on n'a pas cette ambition-là en faisant de la politique à 30 ans, on passe à côté du sujet. C'est quand j'ai voté pour la première fois à 18 ans que je me suis dit qu'il faudrait peut-être y aller ».
Pas un « employé de la politique »
Né en 1978 à Neuilly-sur-Seine (92), Jean-Yves de Chaisemartin est du genre premier de la classe. Ingénieur en physique, il est aussi diplômé de Sciences Po Paris. Son parcours ne rassemble pourtant pas vraiment à celui de la nouvelle génération. « Je n'ai jamais été un employé de la politique », remarque-t-il. Il n'est pas ceux qui ont fait leurs armes dans un cabinet ou comme assistant d'un parlementaire. Avant de devenir maire de Paimpol en 2008, il crée en 2006, avec deux associés, une entreprise de culture d'algues, dont il devient le directeur général. Ce qui ne l'empêche pas, en 2007, de s'investir dans l'élection présidentielle en tant que président du mouvement des jeunes de l'UDF. « C'est mon grand moment militant », dit-il. Ensuite, il adhérera au MoDem puis à l'UDI. Centriste avant tout.
Faire bouger les lignes
Les dernières élections régionales seront l'occasion pour Jean-Yves de Chaisemartin de faire entendre une nouvelle fois sa différence en rompant spectaculairement avec Marc Le Fur. « Le centre n'est pas un paillasson », lâche-t-il, en pleine campagne. Un sacré pavé dans la mare de droite. Faire bouger les lignes, telle est sa devise. « On a besoin d'un profond renouvellement, il y a un enjeu de génération », explique-t-il, en regrettant le poids des retraités en politique. « Dans ce pays, il faut avoir 35 ans avant d'être pris au sérieux ». Aujourd'hui, une grande partie de son énergie, il la consacre à celle de la mer. En charge des questions maritimes au conseil départemental, il entend se battre contre le carcan administratif qui freine les initiatives dans ce domaine. Un combat qu'il a su parfaitement médiatiser en décidant d'emménager sur un voilier de 16 m. Tout le contraire d'une navigation à vue.
« La politique est devenue un vrai métier »
Romain Pasquier est chercheur au CNRS et enseignant en sciences politiques à Rennes.
Qu'est-ce qui caractérise cette nouvelle génération d'élus ?
Pour le moment, en tout cas, on a des profils d'élus moins flamboyants et moins charismatiques. La politique est devenue un vrai métier. Il y a une professionnalisation qui commence plus tôt. Ils se sont formés, au moins dans les grandes villes, dans les entourages des grands élus. La dimension technocratique a pris le pas sur la dimension militante, qui était en lien avec la société civile.
Comment expliquer cette évolution ?
La différence est que l'on a eu 30 ans de décentralisation entre les deux générations. ll y a 20 ou 30 ans, la politique locale n'avait pas développé d'officines qui permettent de faire carrière autour des enjeux de l'action publique territoriale. Les élus d'aujourd'hui sont issus de ce creuset de la décentralisation, qui permet de faire carrière au niveau local ou régional alors que pour la génération précédente, même si elle a conquis des positions locales, la dimension nationale était plus marquée.
Quels sont ceux qui, à gauche, vous semblent émerger aujourd'hui en Bretagne ?
De mon point de vue, celui qui émerge le plus fortement c'est Jean-Jacques Urvoas. Il me semble de très loin être le successeur potentiel d'un Jean-Yves Le Drian. Il est à la fois très positionné sur les enjeux régionaux et nationaux. Nathalie Appéré fait aussi partie de ceux qui me semblent en capacité d'articuler des ressources politiques locales et nationales fortes. En deuxième ligne, c'est plutôt des gens comme Gwenegan Bui, Sébastien Miossec ou Gwendal Rouillard mais ils sont encore un peu trop jeunes.
Et à droite ?
À droite, c'est plus compliqué mais quelqu'un comme Jean-Yves de Chaisemartin, s'il est capable de sortir de sa zone de Paimpol et de capter le vote breton, me semble être un profil intéressant. Tout peut aussi être bouleversé par 2017. Pourquoi pas Isabelle Le Callennec qui est présentée comme celle qui succède à Pierre Méhaignerie. Encore une fois, ceux qui auront le leadership le plus fort seront ceux qui seront capables d'articuler le national et le local.
53
C’est le nombre de nouveaux élus qui ont intégré le Conseil régional suite aux élections de décembre dernier. Les 30 autres occupaient déjà un siège au cours du précédent mandat. Les nouveaux sont-ils beaucoup plus jeunes ? Un peu. Leur moyenne d’âge s’établit à 48,5 ans contre 50,5 ans pour les sortants.
30
C’est l’âge du plus jeune maire breton. En réalité, ils sont trois à avoir 30 ans cette année. Au total, il y a trois maires qui viennent d’entrer dans la trentaine. Seuls 84 des 1.370 maires bretons ont moins de 45 ans. À quelques unités près, le même nombre que les édiles de plus de 70 ans.
55
C’est la moyenne d’âge des députés bretons. La parité n’est pas vraiment respectée au niveau du territoire puisque neuf femmes, âgées en moyenne de 54 ans, représentent aujourd’hui la région à l’Assemblée nationale contre 18 hommes âgés de 56 ans, toujours en moyenne. Les deux plus jeunes ont 40 ans. Il s’agit de Gwendal Rouillard et Nathalie Appéré.
© Le Télégramme
Rivière de Crac'h, les ostréiculteurs soulagés mais pas sereins
Télégramme du 23 avril 2016
Loïc Berthy
Philippe Le Ray a rencontré élus et ostréiculteurs, hier.
La préfecture a levé, hier, l'interdiction de pêche à pied et de commercialisation des huîtres sur la rivière de Crac'h. Une satisfaction pour des ostréiculteurs durement touchés. Aqta prévoit de mettre aux normes les installations qui ne le sont pas sur la frange littorale.
Après les ostréiculteurs de la rivière d'Etel mardi, c'est donc maintenant ceux de Crac'h qui peuvent recommencer à exploiter leur concession. C'est un soulagement, mais la sérénité n'est pas encore de mise. « Il va nous falloir reconquérir notre clientèle locale, car tout le monde nous a fuis. La suspicion est là », souligne Christian Ducos, vice-président du syndicat des deux rivières, qui rassemble les ostréiculteurs de Crac'h et de Saint-Philibert (ces derniers n'ont pas été concernés par l'arrêté préfectoral), soit une soixantaine d'entreprises. Sur la rivière d'Etel, ce sont 97 professionnels qui ont été touchés. Outre l'impact sur l'image, il y a le déficit d'exploitation. L'activité a été stoppée pendant huit semaines, intégralement pour certains, quand d'autres ont fait le choix de revendre des huîtres élevées sur des concessions non touchées par le norovirus, responsable de gastro-entérites. Christian Ducos estime à 500.000 € la perte cumulée par la profession sur la rivière de Crac'h. « Personnellement, j'ai perdu 30.000 €. C'est difficile. Imaginez les conséquences si cela s'était produit en décembre ! ». De son côté, Jean Mahéo, président du syndicat de la ria d'Etel, détourne une formule consacrée en parlant de « pollués, payeurs ». L'amertume vient aussi du fait que, selon eux, rien ne prouve que la contamination est consécutive à la consommation d'huîtres. Il existe un fonds national de gestion des risques en agriculture, mais rien ne dit qu'il est susceptible de s'appliquer à l'ostréiculture.
« Nous allons nous rapprocher du gouvernement pour voir s'il y a quelque chose à faire sur ce terrain-là », souligne le président d'Aqta, Philippe Le Ray.
Mettre le paquet sur les communes littorales
Avec des élus des communes concernées, il a rencontré, hier, les ostréiculteurs au siège d'Aqta. Une réunion bien ressentie du côté de ces derniers, qui ont clairement dénoncé un manque de communication de la part de la collectivité. « On a fait notre mea culpa. On n'a pas mesuré à quel point ils ne savaient pas suffisamment le travail qui était engagé pour résoudre les problèmes liés à des défauts d'assainissement », explique Philippe Le Ray. Sur le territoire, plus d'un millier d'assainissements individuels ne seraient pas conformes. « Nous allons mettre le paquet, en priorité sur les zones les plus sensibles, à savoir les communes littorales. D'ici un an, tout devra être remis aux normes. Les communes concernées ont un pouvoir de police. S'il y a des particuliers récalcitrants, on n'hésitera pas à faire intervenir la police de l'eau », prévient Philippe Le Ray. Aqta a investi 7,2 M € en 2014-2015 pour réhabiliter son réseau d'eau. Un accord de programmation, actuellement en cours de signature, permettra l'élaboration d'un programme d'investissement sur trois ans de 5 à 8 M € par an. Les travaux peuvent être subventionnés jusqu'à 60 %. En attendant, la crainte des ostréiculteurs est qu'un épisode similaire puisse de nouveau se produire. « Le problème, c'est le temps qu'il va falloir pour corriger tout ce qui ne va pas. On a peur que ça recommence », résume Christian Ducos.
© Le Télégramme
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10 commentaires
Qu'est-ce qu'il fait que depuis le depart de christian Bonnet, on elit dans le pays d'Auray n'importe quel imbécile de passage, qu'il soit maire ou député? Le ray le caqueteur ne sera probablement pas le dernier...
C'est probablement un effet de la propagande délétère et nauséabonde instillée à petites doses chaque jour par des des journaux locaux comme ouest France et le telegrame? A laquelle on peut ajouter l'arrivée de populations etrangères peu au fait des us et coutumes locaux, et privilegiant ce qui les rassemble sachant que pour ces arrivants , les locaux ne peuvent etre que des nuls, des moins que rien.. C'est comme cela que notre environnement et notre patrimoine sont saccagés irrémédiablement.
Le bonjour d'Alfred!
Les "populations étrangères", que vous n'aimez pas, ne sont que l'application d'un principe de la loi de l'évolution ! L'hybridation sauve de la dégénérescence les incapables locaux !
Bravo Jean Bart pour votre réponse. Mais les "étrangers" ne sont pas assez nombreux devant autant de dégénérés.
Oui des dénérés, des nuls, il n'y a rien à en tirer. il suffit d'observer ce qu'il se passe ici dans la presqu'ile. Qui dans ces lignes disait recemment que c'était le produit de l'alcoolisme atavique des bretons et de la syphilis? Ce n'était pas Jean louis "X"?
Des quoi? Des dénérés?
C'est çui qui le dit qu'il y est, qu'on disait quand j'étais petit.
Hé Risset!
tu commences à nous pomper le dard avec tes insultes, abruti que tu es!. Tu es étranger au pays et tu nous insultes en permanence chez nous. Commence donc par arrêter de chier dans nos eaux: à cause de toi on ne peut même plus manger huitres et rigados. tu es tellement malsain que tu es le plus gros pollueur du coin! tu as tout pourri ici. Un de ces jours tu vas finir en strouille pour les crabes! Gros con!
herisset de porthal?, lhomme qui marche à coups de pourliches ou de gueuletons à paris tous frais payes? C'est celui là?
c'est ce qui explique l'attitude imbécile des elus locaux! dont celui qui caquete ou l'autre, l'abruti du bego.
En parlant de gastro, la pêche à pied est interdite à Belle Ile. Il y a au moins 4 cas d’hépatite A . Il est temps de faire quelque chose pour rendre notre mer propre. Il faut surveiller les chasses d'Arzal et leur nitrate et autres merdes, les réseaux d'eaux usées, les ports de plaisance qui sont des hôtels maintenant etc....
Bientôt on ne pourra plus aller à la côte. C'est un monde de voir cela
Entièrement d'accord avec toi l'ami
Un petit lien pour dire aux presqu'iliens ce qu'est notre vie d'ilien.
Vous avez peut-être mis 3 heures pour faire Auray-Quiberon hier mais nous nous avons passé une très mauvaise nuit sur votre grande plage et dans Port-Maria en attente d'un bateau.
https://lekiosquejaune.wordpress.com/2016/05/06/le-grain-dsable-n5-mai-2016/
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