Rue "intelligente" au Petit Rohu...
26/02/2014
Le Père François est allé à Barcelone pour préparer son "programme" !
L'éclairage public de Saint Pierre Quiberon étant à refaire complètement, des solutions modernes existent et cumulent éclairage et réseaux...
Une bonne idée pour financer le progrès sur le dos des opérateurs !
Ericsson apporte de l'intelligence aux lampadaires Philips
Les Echos du 26 février 2014
Solveig Godeluck
A Barcelone, le PDG d'Ericsson a dévoilé lundi un partenariat avec Philips.
Dernier avatar en date de l'Internet des objets, les réverbères intelligents. A Barcelone, le Pdg d'Ericsson, Hans Vestberg, a dévoilé un partenariat avec Philips, le leader mondial de l'éclairage public, afin de connecter ses lampadaires. Objectif pour le vendeur de lumière : réduire les coûts d'entretien du réseau urbain, en diminuant la consommation d'énergie.
Les nouveaux lampadaires, déjà en test dans plusieurs villes américaines, notamment avec l'opérateur Verizon, fonctionnent avec des LED, une technologie qui permet déjà d'améliorer l'efficacité énergétique de 50 %. « En les connectant à Internet, les économies d'énergie peuvent atteindre 80 % », explique Neil Pattie, un porte-parole de Philips. Le groupe mène déjà une expérimentation dans les parkings publics de Washington. Quand il n'y a pas âme qui vive - ce que l'on sait grâce à des capteurs -, l'intensité lumineuse diminue. Les zones où un mouvement a été détecté se rallument progressivement.
Mais l'interaction avec un opérateur télécoms permet d'aller encore plus loin. « Nous pourrons diriger les automobilistes directement vers les places de parking disponibles en les guidant avec la lumière », explique le patron de Philips, Frans Van Houten, qui imagine de nombreux développements dans les services de géolocalisation et de navigation assistée. Les mâts ainsi équipés pourront également fournir des services de vidéosurveillance, ou constituer un réseau pour mesurer la pollution urbaine.
Vers la ville du futur
Pour y parvenir, les lampadaires vont devenir de véritables stations de base. Un emplacement est prévu dans le haut du pylône, comme une large collerette, pour intégrer des petites cellules : 2G, 3G, 4G, wi-fi, cela dépendra du commanditaire, c'est-à-dire de la municipalité. Quant au réseau de collecte, il sera soit mobile (micro-ondes), soit filaire : « Si la ville veut que nous mettions de la fibre optique dans les trottoirs, nous pouvons le faire », dit Frans Van Houten.
Pour Ericsson, c'est l'occasion de tester de nouveaux modèles économiques. « Ce n'est pas un objectif en soi, mais effectivement avec les petites cellules et surtout le cloud nous devons être ouverts à toutes sortes de configurations », confirme Franck Bouetard, le patron France d'Ericsson. L'équipementier suédois compte vendre de l'accès mobile à la demande dans les villes, lors des pics de consommation, par exemple lors des matchs de foot les plus importants. Cette offre « small cells as a service » nécessite de déployer des petites cellules pour densifier le réseau urbain. Suivant les modèles choisis par les opérateurs télécoms, Ericsson pourra se contenter de fournir des équipements, ou bien opérer le réseau pour leur compte, comme il le fait déjà dans de nombreux pays. La rue intelligente n'en est qu'à ses débuts.
Solveig Godeluck, Les Echos
A Barcelone
3 commentaires
Un peu plus d'intelligence au Rohu, qui ne serait pas pour? Il en manque terriblement!
il divague de plus en plus le bonhomme, c'est pas possible il veut que Monsieur Dubois soit réélu ou quoi ?car une opposition aux arguments absurdes et quasiment pathologiques devient une vraie publicité.
Je vous en prie, oh lecteurs de ce blog, même si JBH est contre la liste Dubois, ne votez pas pour elle !!!
Ni pour l'autre. C'est dramatique pour St-Pierre.
Heureusement qu'il y aura l'intercommunalité pour
imposer ses choix et que le préfet veille.
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