Le "déclin" de Carnac...
05/02/2014
Olivier Lepick est un "guerrier" ! Il dit ce que ne dit pas "Laurence" à Saint Pierre...
Aujourd'hui, encore le blog "Cœur de Presqu'île" publie un article sur les pièces à présenter lors du prochain vote ! Ce blog est totalement vide, d'un bilan sérieux et d'un début de proposition...
La communication de l'équipe de Lolo est lamentable, et après le départ de l'émir de Kerhostin on sent un grand "flottement" dans l'équipe...
A Carnac, comme à Saint Pierre, la population est en déclin... elle vieillit, avec les conséquences funestes sur la vie économique. Une politique "dite de gauche" à SPQ trompe les électeurs et les contribuables depuis 12 ans, avec des investissements "stupides" et donc un endettement, qui n'est pas gagé sur des réalisations d'avenir !
La gestion, d'abord de la zone de Kergroix, puis maintenant du "Champ de tir" a découragé tous les entrepreneurs, qui sont partis s'installer à Quiberon... La gestion des accès à ces zones est ubuesque et refroidit plus d'un chauffeur de 38 tonnes !
Aujourd'hui les projets d'un gratte-ciel "social" en Centre-ville ressemblent à ceux de la gare d'Amiens... Madame G exerce ici un pouvoir, qui vise à priver ses successeurs des terrains, acquis dans le passé par l'argent des contribuables... en 12 ans elle fait disparaître au profit de "promoteurs sociaux" des valeurs foncières, qui représentent trois années d'investissement à Saint Pierre... Au fond, l'économie à l'envers !
Halte aux pouvoirs solitaires des "petits maires" ! Un plan Marshall pour Saint Pierre !
Olivier Lepick, il faut un plan Marshall
Télégramme du 5 février 2014
Olivier Lepick veut « enrayer le déclin » de Carnac..
Il est prêt depuis un moment. Sa liste était bouclée au printemps, ses intentions, claires depuis des mois. Olivier Lepick est parti tôt pour atteindre son but : la mairie de Carnac. Il mène campagne auprès des Carnacois pour présenter le projet de son équipe. Entretien.
Chaque jour, vous dévoilez sur votre site l'un de vos colistiers. Vous êtes parti très tôt dans cette campagne. Top tôt ?
On est prêt depuis longtemps. Le programme n'a pas été élaboré sur un coin de table, ça fait plus de six mois qu'on travaille avec un groupe de 27, plus d'autres personnes qui nous apportent des compétences supplémentaires. Nous avons une trentaine de propositions qui seront présentées aux Carnacois au cours du mois de février. Alors, certes, on est parti au printemps. Mais personne n'a quitté l'équipe en claquant la porte. Tout se passe bien chez nous.
Comment jugez-vous Carnac aujourd'hui ?
C'est une commune en déclin. Et c'est le ressenti des Carnacois, celui qu'on retrouve lors des réunions que nous menons sur le terrain. Je parle d'un déclin démographique - c'est l'une des rares communes de la circonscription dont la population baisse -, mais aussi d'un déclin au niveau urbanistique - ces infrastructures vieillissent : le boulevard de la plage n'a pas changé depuis 50 ans et le bourg connaît d'importantes difficultés économiques - et encore d'un déclin touristique, avec des saisons de plus en plus courtes et de moins en moins florissantes. Carnac qui souffre, ce n'est bon, ni pour le département, ni pour le pays d'Auray. Notre gros dossier, ce sera de restaurer l'attractivité de Carnac.
Et par quoi cela passe-t-il, selon vous ?
Ça passe par une rénovation urbaine majeure à Carnac plage et dans le bourg... Pas du saupoudrage, comme a tenté de le faire la dernière municipalité. Le bourg est en réanimation cardiaque. « L'ambiance d'achat », comme on dit, n'y est pas satisfaisante, et le plan de circulation, qui a fait l'unanimité contre lui, est à revoir. Il faut un plan Marshall pour Carnac.
Mais les Carnacois sont-ils prêts à accepter de lourds travaux dans leurs rues ?
Si c'est bien géré, je le pense, oui. On ne va pas faire des travaux le 15 août, mais il y a de longs mois creux à Carnac. Tout ça se prépare, s'explique.
La place de Carnac dans la grande intercommunalité ?
C'est un échec majeur de cette municipalité. Carnac, c'est 14 % de la fiscalité du pays d'Auray. Et deux représentants à Aqta, aucun vice-président... C'est un drame pour Carnac. Si je deviens maire, je me battrai pour que notre commune soit représentée par rapport à son juste poids économique dans cette intercommunalité avec, au moins, une vice-présidence.
Pensez-vous pouvoir vous rendre disponible pour les Carnacois (Olivier Lepick est secrétaire général de Sogeti, groupe de plus de 20.000 personnes). Le précédent, encore dans les esprits, de Michel Grall ne risque-t-il pas de vous porter préjudice ?
Je passe trois jours en moyenne à Paris. Et j'ai négocié une très grande liberté de manoeuvre auprès de mon employeur. J'ai une responsabilité, j'en parle aux Carnacois très ouvertement. Mais ils n'élisent pas un homme ou une femme, mais une équipe. Il y a un premier adjoint, un directeur général des services... La différence avec Michel Grall, c'est que j'habite Carnac, mes enfants y sont scolarisés. Et je pense que les Carnacois veulent avant tout un projet pour Carnac.
En complément
PPRL : « Une épée de Damoclès »
Sujet d'actualité, le Plan de prévention des risques littoraux et d'inondation (PPRL) sera, selon Olivier Lepick, l'un des combats à venir sur la commune. Il livre sa position. « Le PPRL est vraiment une épée de Damoclès au-dessus de la tête de Carnac, et de Carnac plage en particulier. On a entendu Marc Le Rouzic, qui est dans la majorité depuis quatre ans, s'exprimer sur le sujet en disant qu'il ne laisserait pas faire, s'il était élu. Mais pourquoi ne s'est-il pas battu avant ? » Il poursuit : « Pour moi, il est hors de question de se laisser imposer pour Carnac un PPRL vitrifiant. Il faut, comme d'autres mairies, se battre pour supprimer cette sécurité supplémentaire qui a été prise au-dessus du calcul de l'aléa : ces 25 cm (25 + 30) qui font basculer Carnac plage du jaune orange, qui est gérable, au rouge noir qui est vraiment handicapant sur l'économie
10 commentaires
S'il te plait , mais le peux-tu, sois plus précis sur cette histoire de terrains acquis dans le passé (quand, par qui, pour combien?) que la municipalité sortante aurait galvaudés?
Pour une fois, sors des affirmations sans preuves et étaies ton argumentation sur des faits!
Mais le peux-tu?
Il suffit de consulter les compte-rendu des conseils municipaux sur le site de la commune...
Si tu parles des différents logements sociaux la plupart sont habités par des gens dont les impôts des parents ou des grands-parents ont servi à payer ces terrains...juste retour des choses.
Sinon JPD a parfaitement raison, sois précis pour une fois.
Neicco ! Tu sais lire, j'espère... sais-tu ce qu'est un bail emphytéotique de 52 ans ?
Dois-je comprendre que les compte-rendus de conseils municipaux relatent des acquisitions qui ont eu lieu sous l'ancienne majorité il y a plus de 12 ans.
Pourquoi ne me proposes-tu pas d'aller consulter le cadastre, ou les Archives départementales, ou le catalogue de Manufrance?
C'est toi qui accuses, c'est à toi d'apporter des preuves, sans te réfugier derrière des grands mots, en termes compréhensibles par des gens comme moi, moins doués que toi.
Alors, t'accouches?
ben dis donc patate, tu ne sais même pas ce que tu mets en ligne, où dans ton texte ou dans l'article parle-t-on de bail emphytéotique quelle que soit sa durée ?
Un petit conseil ! relisez mes 2000 articles de ce blog et faîtes vous aider pour la compréhension...
si je comprends bien pour peut-être comprendre une de vos minables interventions, il faut d'abord lire les 1999 autres !!!
MDR
2000 articles de conneries,"Mr jeanbart "nous prends pour des cons:tous des articles piqués dans le télégramme et ouest -france! il devrait se présenter comme,maire sur l'ilot de téviéc,serait élus par les lapins qui on la maximatoses!
kénavo
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