Cheminer les pieds dans l'eau ?
05/09/2013
Saint Pierre Quiberon, dernier de la classe ?
Malgré les coups de menton de Madame G devant des conseillers municipaux endormis, la Commune de Saint Pierre, dont le tourisme est pour l'instant la priorité, ne fait rien pour les "marcheurs" aussi bien dans la commune et les villages, qu'en bord de mer...
Le sentier côtier, fort joliment réalisé à Quiberon entre le Rohu et Port Haliguen, se heurte à "un mur en béton" à Beg Rohu ! Rien non plus entre Kerbourgnec et le Port d'Orange, où la "marée basse" permet d'utiliser la plage ! De nombreuses propriétés privées défendent leur terrain "sur la plage" avec des excroissances juridiquement contestables et des arguments du 17ème siècle, au mépris de la loi "littoral", nettement plus récente.
Des connivences entre propriétaires privés et la Mairie existent (Conseil des Sages et Cocon de la Baie)... "je te tiens par la barbichette..."
Quant à l'intérieur de la Commune, le service de l'urbanisme laisse aux "lotisseurs" la liberté de supprimer les cheminements existants, rendant impossible la liaison "à pied" entre le Bourg et les Villages. C'est ainsi qu'après le chemin de Madame G (Monument aux morts), il faut emprunter le cimetière pour rejoindre les alignements ! Ensuite il est impossible de rejoindre l'étang de Kerbourgnec sans longer la départementale... un calvaire stupide et dangereux... et pourtant la Commune a investi à deux pas dans la réfection du lavoir de Kerbourgnec, accessible par un chemin invisible, non signalé et mal entretenu !
Il est vrai qu'on ne rencontre pas souvent les membres du Conseil municipal "à pied" dans la commune...
Les "amis des chemins de ronde" devraient s'intéresser à Saint Pierre Quiberon ! Un très gros travail reste à faire pour "privilégier" la marche à pied !
Arradon, les Amis des chemins de ronde obtiennent gain de cause
Télégramme du 5 septembre 2013
Par jugement du 14 août 2013, le tribunal administratif de Rennes a annulé le permis de construire délivré par le maire d'Arradon à un particulier en vue de la réfection, au lieu-dit Le Moustoir, d'un abri de jardin à l'identique à la suite d'un incendie. Ce faisant, il a donné raison à l'association des Amis des chemins de ronde qui soutenait que la construction (abri de jardin comprenant des pièces à vivre) n'avait pas été édifiée régulièrement et qu'elle ne pouvait donc être reconstruite dans la bande des 100 m inconstructible. D'une manière générale, les Amis des chemins de ronde déplorent « l'obligation de cheminer les pieds dans l'eau au Moustoir, en Arradon, faute de sentier côtier longeant la mer ».
6 commentaires
Comment privilégier la marche sans pieds? C'est la question qu'on se pose après ta conclusion pour unijambiste!
moi ,je trouve scandaleux les gens qui empruntes le cimetiére pour rejoindre Kerbourgnec,aucun respect pour les morts,tout sa pour marcher un peut moins ,qu'elle bande de cons avec les gamins en vélos,lieux appropriés pour des jeunes ?
Jeanzy, c'est le résultat de ton vote aux élections municipales précédentes !
As-tu vraiment l'esprit assez étroit pour réduire un choix électoral, donc politique, à une action si ponctuelle?
Moi je trouve très bien que le cimetière fasse partie de la commune, que ce soit un endroit dont les occupants sont encore membres de la communauté, avec le respect qui leur est dû comme à tout être humain.
Après tout, on se ballade bien dans un champ de menhirs dont nul ne sait quelle était la destination!
As-tu vraiment l'esprit assez étroit pour réduire un choix électoral, donc politique, à une action si ponctuelle?
Moi je trouve très bien que le cimetière fasse partie de la commune, que ce soit un endroit dont les occupants sont encore membres de la communauté, avec le respect qui leur est dû comme à tout être humain.
Après tout, on se ballade bien dans un champ de menhirs dont nul ne sait quelle était la destination!
vous êtes de mauvaise foi. Il vous a été expliqué plusieurs fois lors de commentaires à d'autres de vos billets doux pour madame Marchand, pourquoi le manque de chemin cotier était légal.
Et à chaque fois, vous n'avez eu aucun argument à opposer.
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