Coupure d'électricité ?
20/04/2012
Une réalité à Saint Pierre Quiberon, sauf en Centre-ville !
Les efforts, concentrés sur le Centre-Ville, masquent une situation "fortement dégradée" des réseaux électriques des villages, qui pour beaucoup ne disposent que de lignes "non isolées"...
En zone, affectée par de nombreux coups de vent, cette technologie des années 60 est en fin de vie et doit être remplacée soit par des lignes "isolées", soit par des lignes "enfouies".
C'est ainsi que rue du Parco une coupure d'électricité de fin 2010 n'est toujours pas solutionnée définitivement aujourd'hui, en raison des réticences de notre premier adjoint, qui voulait, au même endroit, disposer des "ralentisseurs", type joujou en Lego.
Son attention est retenue par les projets (gratuits) du nouveau giratoire du Rohu, principal accès à l'Ecole Nationale de Voile, chère à Madame G !
Il est bien évident qu'il est plus facile de s'attaquer à la propriété "privée" avec l'argent des contribuables, que de financer des projets d'infrastructure.
Saint Pierre Quiberon est "en retard" sur la technique d'enfouissement et donc sur l'avènement de la fibre optique pour tous ! Comment peut-on délivrer ici des "autorisations de construire" alors que les réseaux électriques sont inadaptés ?
Le PADD n'apporte aucune indication objective sur la longueur des réseaux électriques à modifier ! Les "experts" n'ont repéré à Saint Pierre que la ligne à Haute Tension !
ELECTRICITE - Le coût économique d'une coupure supérieure à trois minutes revient à environ 200 fois le prix de la fourniture de cette même énergie...
20 minutes du 19 avril 2012
Après une première étude en 1994, Réseau de transport d’électricité (RTE), la filiale d’EDF, a cherché de nouveau à mesurer les conséquences des coupures de courant sur le portefeuille des ménages et des entreprises en interrogeant 1.550 d’entre eux, représentatifs de tous les consommateurs. Résultat, les pannes supérieures à trois minutes coûtent en moyenne 26 euros par kilowattheure, soit environ 200 fois plus que le prix de l’électricité. Pour les particuliers, elles ne s’élèvent qu’à 19 euros contre 34 euros le kilowattheure pour les entreprises.
Perte d’aliments au congélateur
Dans le détail, une coupure de trois à 30 minutes coûte 30 euros aux particuliers, 27 euros d’une heure à trois heures sans courant, 42 euros de quatre à six heures et 140 euros au-delà de six heures. En effet, dans ce dernier cas, «la valeur des aliments placés au congélateur et qu’il faut jeter peut s’élever jusqu’à 350 euros (120 euros en moyenne) et les dommages causés aux équipements informatiques peuvent atteindre 2.800 euros (350 euros en moyenne)», analyse RTE.
Des sommes importantes qui vont bien au-delà des gênes les plus couramment constatées par les ménages comme l’absence d’éclairage et de moyens de communication (Internet et téléphone).
En plus du coût économique, RTE a mesuré l’impact social d’une coupure. Et il est très élevé, par exemple, dans le transport ferroviaire. Ainsi, le temps perdu par les voyageurs représente un coût de 137 euros par kilowattheure.
Défi à venir
Pour éviter la multiplication des interruptions de courant dans les années à venir, le défi est de taille, notamment en région parisienne. «Le Grand Paris à l’horizon 2025 devrait se traduire par une croissance de la puissance électrique de 3.000 MW, ce qui est supérieur à la puissance appelée par la ville de Paris en hiver. La consommation en période de pointe, source de tension sur le réseau, comme la récente vague de froid l’a montré, risque elle aussi de s’amplifier. Il sera donc nécessaire de mettre en œuvre de nouvelles technologies et de nouveaux services énergétiques pour maîtriser ces évolutions», avertit la Préfecture d’Ile-de-France, citée dans le rapport RTE.
Mathieu Bruckmüller
4 commentaires
ont peut toujours s'éclairer à la bougie,comme autrefois,et la plus de probléme d'internet,de fibre optique,de télévisision ou les programmes sont nul.Normal que Mme "Le maire" se préocupe du rond point du "Rohu'qui est trés dangereux,quand à la zone des 100 métres,c'est du pipo,à ce moment la il faut tous raser,et çe n'est pas quelques caravanes,camping'cars,ou mobils homs qui nous dérange beaucoups vue qu'ils ne reste que deux mois,les gens qui ont acheter des terrains dans les années 60,normal qu'il s profitent eux aussi de la vue sur la mer et de la plage,seuls les derniers arrivants sur la Presqu'ile,les écolos sont contres,mais ils n'y connaissent rien,et pour moi les plus génés sans vont et "Basta"
On ne solutionne pas un problème, on le résout.
Et l'article qui sert de prétexte à ton billet d'humeur ne me semble pas concerner notre commune. A moins qu'en lisant entre les lignes...
toujours cette hargne gratuite nichee dans un commentaire absurde assorti d un article servant de pretexte illogique aux 2 premiers
Aux commentateurs:vous n'avez rien compris tout comme moi.La finesse de l'analyse se cache dans les mots entre guillemets.Maintenant chantez avec moi "j'ai bien mangé et j'ai bien bu/j'ai la peau du ventre bien tendue"Ça n'a rien à voir mais ce n'est pas grave.C'est raccord avec la prose du sieur Hennel.
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