Divergences de vues entre PLR et plusieurs Maires d'AQTA !
11/02/2017
La "pompe à finances" d'AQTA est réservée à la nouvelle Gare, et non à faciliter les investissements dans chaque commune !
Auray, Locoal-Mendon et Carnac estiment que les comptes communautaires sont loin d'être clairs et que les dépenses de personnel sont excessives. Le but d'une intercommunalité est, en regroupant des fonctions dispersées, de faire mieux, en dépensant moins.
Utiliser le terme d'excédent net consolidé est une façon "élégante" de masquer la réalité des comptes 2016, qui devraient être rapidement consultables par les citoyens sur le site d'AQTA.
Jean Dumoulin (Auray) et Olivier Lepick (Carnac) ont parfaitement raison d'appeler à la raison PLR, qui fait miroiter des projets mirifiques, comme la création d'une nouvelle gare à Auray, de jeter une passerelle au dessus des voies, pour desservir seulement les passagers de Brech, pour un coût tel, qu'il est obligatoire de le financer en empruntant ou augmentant les impôts !
La rentabilité d'un tel projet est aujourd'hui "très faible", compte tenu de la concurrence de la voiture personnelle et des cars Macron.
La liaison vers la presqu'île, n'étant pas envisagée, ce sont toutes les communes du Sud d'AQTA, qui sont pénalisées. Comme le disait récemment lors du dernier Conseil Bernard Hilliet, la réflexion sur le sujet est "intense"... mais une fois les capacités financières mobilisées pour la Gare, il n'y aura plus un sou pour cette liaison (même préoccupation que la fibre).
Quant à dire qu'il s'agit d'un investissement "structurant", PLR ignore les conclusions du SCOT du Pays d'Auray en matière de transport (l'axe Quimper Nantes à deux fois deux voies est prioritaire), ainsi que les statistiques du transport de marchandises, qui passent majoritairement par la route !
Alors que les syndicats mixtes, regroupés en AQTA, manquent de financement des investissements, il n'est pas sérieux d'ajouter un investissement "nouveau", qui rafle les fonds disponibles !
Un "bon" budget" mérite beaucoup d'humilité !
Aqta, des moyens mais avec plus de solidarité
Télégramme du 11 février 2017
« structurer l'organisation et l'offre touristique » autour de l'office de tourisme intercommunal.
La feuille de route de la communauté de communes, ébauchée lors des voeux, a été mise en débat, hier lors de l'examen des orientations budgétaires pour l'année 2017. Auray Quiberon Terre Atlantique veut continuer à investir. Mais sans se disperser et en répartissant les moyens, non pas à parts égales, mais dans une démarche plus solidaire.
- Un budget sain mais... « Notre communauté de communes a 3 ans. Auray Quiberon Terre Atlantique était la première à opérer une fusion de cette ampleur en Bretagne ce qui la place au septième rang des communautés de communes les plus peuplées... Aujourd'hui, nous sommes en phase de croisière et nous pouvons envisager la suite de façon plus sereine », a introduit hier le président Philippe Le Ray, devant une bonne partie des 56 conseillers rassemblés à Crac'h. Avant de se projeter dans l'année, les élus communautaires ont ausculté les comptes. Ils se veulent rassurants. « L'environnement financier ne présente pas de risque particulier et les comptes sont fiables », a rappelé le président avant de modérer l'enthousiasme : « Néanmoins, le poids des annexes " Eau " et " Assainissement " sont importants et même s'ils sont importants pour le territoire, nous devons tous être vigilants ». 2. Plus de solidarité financière et de mutualisation. Les moyens n'étant pas illimités, et les dotations de l'État programmées à la baisse (3,15 M€ contre 3,67 M€ en 2016), la communauté veut plancher sur un fonctionnement de répartition « plus juste », plus solidaire. Le règlement des fonds de concours devrait ainsi évoluer afin de porter les communes les moins « riches » et les moins pourvues. L'équilibre territorial a également été repensé, comme l'a expliqué Philippe Le Ray : « Contrairement à d'autres communautés voisines, nous avons une ville centre (Auray), certes importante, mais qui ne concentre pas l'essentiel de notre population ». Aqta veut donc fonctionner en six bassins de vie regroupant plusieurs communes. Autre mesure qui, pour le coup, n'est pas une nouveauté : la réaffirmation de la nécessité de mutualiser les moyens. Un schéma de mutualisation qui sollicitera, par exemple, les communes afin qu'elles s'occupent (à nouveau) de l'entretien des zones commerciales... « 90 % des emplois existent dans les communes, contre 10 % à la communauté de communes », a schématisé Philippe Le Ray... d'ailleurs trop facilement, pour certains (voir par ailleurs). 3. La fiscalité sans doute maintenue
. Dans le détail rendu public par le vice-président Dominique Riguidel, en charge du budget, la bonne santé financière se traduit par « un autofinancement de 12,2 M€ dégagé, qui représente un taux d'épargne brute de 19,9 % des recettes de fonctionnement ». L'excédent net consolidé s'élève à 13,8 M€ contre 10,4 M€ l'année précédente. L'autofinancement brut dégagé (12,2 M€) doit permettre à la fois de rembourser le capital des emprunts (4,8 M€) et de conserver des marges de manoeuvre pour financer de nouveaux investissements (7,4 M€). La fiscalité devrait être maintenue en 2017. « Il est à noter que la capacité de désendettement d'Auray Quiberon Terre Atlantique est de 3,3 ans, bien en dessous de la norme de référence qui doit être inférieure à 8 ans ». 4. Renforcer le développement économique. Les vice-présidents ont ensuite dévoilé les stratégies d'Aqta pour l'année à venir, sur les diverses compétences exercées. Pour le développement économique, il s'agira d'améliorer les conditions d'accueil et de développement des entreprises et de « développer un outil de suivi des locaux d'activités et de disponibilités foncières... Nous avons quatre hectares à commercialiser et la déperdition de foncier. Il y a également des disponibilités de locaux », a résumé Ronan Allain. Nouveauté également envisagée : Aqta veut se donner les moyens d'accompagner certaines installations du secteur primaire comme la pêche, la conchyliculture et l'agriculture. 5. Vers une maison des services. La communauté souhaiterait soumettre au vote son aide à la création (sans doute Porte Océane) d'une Maison des services publics. Cette structure, recevant également des services clientèles, permettrait de rapprocher les acteurs (l'assurance retraite, l'assurance-maladie, la Caf, la Mission locale, la Maison de l'emploi...), « dans un souci d'optimisation du fonctionnement des services publics, d'information et d'accompagnement des usagers dans leurs démarches de la vie quotidienne ». Le dossier devrait être financé pour la fin 2017. Un autre gros morceau consistera à développer le quartier du Pôle d'échanges multimodal comme pôle urbain structurant, mais nous y reviendrons... © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/aqta-des-moyens-mais-avec-plus-de-solidarite-11-02-2017-11397351.php#Tl7CBLoO4Jz7OcaC.99
Future gare d’Auray, les habitants seront consultés
Ouest France du 11 février 2017
Hier, Auray Quiberon Terre Atlantique a présenté ses orientations budgétaires pour l’année à venir. Une concertation est prévue autour de la future gare.
La communauté de communes veut associer les citoyens sur le projet du pôle d’échanges multimodal à la gare. Ainsi, du 1er mars au 15 avril, plusieurs actions sont prévues : une présentation du projet sera déployée au siège de la communauté de communes. Un registre de d’observation y sera mis à disposition. Par ailleurs, un site Internet dédié au projet sera mis en ligne. Une réunion d’information (et peut-être d’autres) sera organisée pour le public. « C’est le projet de la décennie, s’est réjoui Philippe Le Ray hier, à l’espace des Chênes, où se tenait le premier conseil communautaire de l’année. Il faut y aller avec enthousiasme et volonté. » Fabrice Robelet, premier vice-président chargé du pôle d’échanges multimodal, a tenu à rassurer les élus, en précisant que les études se poursuivent sur l’accès à la passerelle (escaliers avec escalators ou pas), la signalétique pour se garer… Il a précisé que le bâtiment de la SNCF sera en grande partie payé par Aqta et que la passerelle appartiendra à la communauté de communes.
Un budget sans chiffre…
Le budget n’a pas été présenté de façon chiffrée, mais ses grandes lignes ont été présentées hier. Il sera voté au prochain conseil communautaire, le 31 mars. Le maire d’Auray, Jean Dumoulin, l’a fait remarquer : « Dans ce débat, nous n’avons aucun chiffre sur l’année, aucun chiffre sur les investissements proposés. Le vrai débat consiste à prioriser dans le temps. Il faudrait aller vers une programmation pluriannuelle. » Le président de l’intercommunalité Philippe Le Ray lui a répondu que « le pôle d’échanges multimodal est le projet essentiel de l’investissement. » À noter tout de même que le budget 2016 était de 139,5 millions d’euros. La communauté de communes dégage un autofinancement de 12,2 millions d’euros et l’excédent net consolidé 2016 se monte à 13,8 millions d’euros (contre 10,4 millions d’euros en 2015). Les dotations de l’État devraient être de 3,15 millions d’euros contre 3,67 millions d’euros en 2016. « Malgré cette baisse et l’augmentation de la contribution au redressement des finances publiques, la situation financière est saine et permet d’assurer les investissements structurants », a ajouté Philippe Le Ray. Jean-Maurice Majou, le maire de Locoal-Mendon a estimé que « l’excédent de 13 millions d’euros ne veut pas dire grand-chose car il y a 11 millions d’euros de reprise d’excédents des années antérieures. J’avais fait la remarque l’an passé, je m’étonne que l’on représente les choses de la même manière. »
« Climat de suspicion »
Philippe Le Ray n’a guère apprécié « le climat de suspicion » engendré par ces propos. Pour sa part, le maire de Carnac, Olivier Lepick, s’est inquiété de « l’évolution de la masse salariale depuis 2012. La mutualisation permet de faire mieux et moins cher. Est-on en train de faire cela ? » Le président d’Aqta lui a répondu que des compétences sont « spécifiques. Au niveau des déchets et de l’assainissement, on ne peut faire sans agents. La polémique est inutile. » Philippe Le Ray a ensuite ajouté que sur certaines missions et compétences de la communauté de communes « il n’y avait personne. Ces embauches sont créatrices de richesses. Il n’y a pas de gaspillage mais un effet multiplicateur ».
Sophie CAPELLE.
Il y a bien eu débat chez AQTA....
Télégramme du 11 février 2017
Difficile de faire fonctionner une grosse boutique comme Aqta, qui rassemble 24 communes, 24 maires et autant de sensibilités, d'avis, d'expériences et d'ambitions différents... Trois ans après sa création, et dans une année électorale qui peut changer beaucoup de choses, les désaccords déjà entrevus dans le passé pourraient s'exacerber. Hier, lors du débat d'orientations budgétaires qui propose les options à valider le mois suivant, lors du vote du budget, quelques voix discordantes ont été entendues. Celle du maire d'Auray, Jean Dumoulin : « Le vrai débat, c'est que nous ne pourrons pas tout faire. Il faut programmer selon nos possibilités et arriver à une orientation pluriannuelle de nos dépenses. Dans ce débat d'orientation budgétaire, nous n'avons aucun chiffre sur les investissements proposés... Par ailleurs, l'idée de l'épicerie solidaire est très bien, mais les associations le font déjà très bien. Il faudrait penser plus largement et aller vers une maison de la solidarité intercommunale ». Réponse (collective) de Philippe Le Ray, après une question de Jean-Maurice Majou (Locoal-Mendon) sur l'apparition d'excédents dans le bilan « qui ne correspondent pas à grand-chose » : « Ce climat de suspicion me gène un peu. Il faut rappeler qu'on est sur une présentation et un cadre à fixer, comme la loi le demande ». La question de la répartition « plus solidaire » des fonds de concours a également provoqué quelques interrogations. « Certains maires n'ont pas de levier fiscal pour investir. Nous allons mener une réunion pour organiser la solidarité entre nous », a recommandé Philippe Le Ray. « Je suis prêt à débattre », avait dit Jean Dumoulin.
« En fonction de nos moyens »
Le président d'Auray Quiberon Terre Atlantique l'a bien entendu : « La plupart des budgets sont connus. Le Pem (Pôle d'échange multimodal), c'est l'essentiel de notre budget et il est connu. On fera ensuite en fonction de nos moyens. On restera sur notre enveloppe globale de fonds de concours et on définira ensemble les critères. Et si on ne peut pas faire certaines choses, on ne le fera pas. Si vous voulez qu'on " retire " la salle de gym (du PLA) d'Auray, on la retire, pas de problème ». De son côté, Olivier Lepick, maire de Carnac, s'est une nouvelle fois étonné de « l'évolution de la masse salariale » d'Aqta, remettant en cause l'argumentaire employé en préambule sur les pourcentages de répartition des emplois entre communes et communauté : « Cela n'a pas de sens de comparer la masse salariale d'Aqta et des communes parce que les compétences et les missions ne sont pas les mêmes ». © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/aqta-des-moyens-mais-avec-plus-de-solidarite-11-02-2017-11397351.php#AhsMW3UyH1QDfyha.99
5 commentaires
Tout d'abord merci à l'animateur de ce blog qui nous permet d'avoir une information synthétique de ce qui se passe sur notre territoire et de pouvoir exprimer ses idées même si parfois les débats sont chauds.
Ce n'est pas le cas d'AQTA où les élus semblent craindre le débat direct avec la population pour expliquer leur choix:
- absence de réunion publique de compte rendu de mandat,
- aucune réponse de la Communauté aux demandes transmises par le mail de contact du site (j'en ai fait l'expérience)
- une information minimaliste sur les décisions prises par les élus (contrairement au site de département où l'on trouve tous les documents).
- des projets importants engagés sans concertation.La gare d'Auray par exemple: à quoi va servir le registre d'observations puisque tout semble décidé et budgété;
- des décisions qui semblent aberrantes à première lecture : en matière de tourisme par exemple on choisit le site du siège avant d'avoir définit les besoins et l'organisation.
Il y aurait encore beaucoup à dire..
Pour AQTA c'est dormer tranquille bonnes gens on s'occupe de tout!
S'il est clair que les élus décident in fine , de nos jours la concertation directe avec les citoyens doit être un passage obligé pour les grands projets.Et pour les autres une explication claire et argumentée doit être donnée.
et encore merci pour votre site qui j'espère est également lu par nos élus afin qu'ils changent d'attitude
Merci, c'est un gros travail quotidien d'épluchage des journaux locaux et nationaux !
Vous ne croyez pas si bien dire en remarquant que "es élus semblent craindre le débat direct avec la population pour expliquer leur choix"...
Certainement ! imbus de leur positionnement, ils s'imaginent encore au XIXeme siècle à l'heure de l'internet ou des blogs comme celui ci. Lisant le courrier des lecteurs (eux ou leurs collaborateurs immediats) , ils se rendent bien compte que dans la société civile, il y a des opposants capables d'objecter et de contester leurs prises de positions qui sont le plus souvent dictées par des bureaux d'études, des lobbies ou des partis politiques en mal de finacement.
Il suffit d'etre present lors des journées qui suivent l'election d'un nouvel élu! Des le lendemain d'une élection, un nouvel elu (un maire par exemple!) recoit des appels télephoniques pour le "recadrer", par exemple ce célèbre M. goulard qui offre des "facilités" en cas d'appuis à sa politique très personnelle ou qui menace carrément de couper les vivres en cas de reticences de la part du petit nouveau!. C'est le poids du "Système". Voilà pourquoi, il ne faut plus hesiter à s'en prendre à tous ces élus qui se moquent des electeurs et qui mettent à mal le régime... en fait , ils ne sont pas respectables. on ne respecte que ceux qui le sont!..
D'accord avec vous Jean Rohu, beaucoup de maires sitôt élus se laissent impressionner par des personnages style Goulard. Même pas une semaine après les élections ce monsieur demandait aux nouveaux élus de noter sur leurs agendas une réunion qu'il leur imposait tel jour à telle heure bien évidemment à Vannes (quand il est là !) et non dans leur propres mairies. Une façon de leur montrer qui est le chef ! Dans le même courrier pour ceux qui avaient quelques mégalithes sur leurs communes il leur rappelait qu'ils devaient cracher au bassinet en payant leurs contributions à l'association des « paysages des mégalithes ».
Pour ceux qui avaient répondu favorablement à ces 2 impératifs ils étaient aussitôt classés dans les faibles à qui on peut tout demander et tout imposer.
Ce fut le cas à Quiberon où Bernard Hilliet oubliait toutes ses promesses de campagne et donnait une partie de notre territoire. « Je suis élu maintenant et je vous emm...... tous ». Pour être resté plus longtemps que ses petits camarades à l'école primaire il aurait quand même pu se rappeler les paroles de Souchon « Gaffe ta gueule à la récré ». Pourquoi aurait-il eu peur après tout ? Il savait déjà que la Quiberonnaise ou le Quiberonnais, obligés de gagner leur croûte, avaient une sérieuse tendance à trembler devant la contre-maîtresse derrière laquelle le patron n'était pas loin. En tant que Maire, il devait et doit toujours penser que tous ses concitoyens allaient s'écraser devant tous ses caprices et ses mensonges. Malheureusement, nous sommes au XXIème siècle et le temps des seigneurs est passé comme vous l'écrivez si bien. En plus, dans le monde entier, quelques Quiberonnais ne sont quand même pas tombés de la dernière pluie et se font un devoir d'avertir leurs concitoyens !
Il n'a encore rien compris si l'on se réfère au magazine « Quiberon- Dépêches Océanes- » trouvé dans les boîtes aux lettres où les articles sont à pisser dans sa culotte- du moins pour ceux qui ne se la sont pas encore fait piquer- !
On dit que « L'hirondelle ne fait pas le printemps » et pourtant là on ne fait que parler de volatiles.
Le maire dans son mot parle de « bons auspices ». Sait-il que pour les grecs c'étaient des présages envoyés par les dieux via le vol (avec des ailes) ou le chant des oiseaux.
C'est sans doute que pour cela, à la page « expression politique », sa « plume » attitrée a intitulé son article dans « Quiberon, Le renouveau » : « Les oiseaux » qui est en fait une véritable déclaration de guerre à mi-mandat où le respect est resté à la porte de la mairie et où tous les poncifs sont de sortie.
La « plume » accuse l'équipe précédente d'avoir contracté en 2007 le fameux prêt DEXIA. Monsieur Hilliet n'était-il pas membre du Conseil d'une seule couleur dès 2008? Pourquoi monsieur Danté a-t-il démissionné ? Même simple conseiller, il aurait pu dire à son ami qu'un prêt pourri venait d'être contracté. Il le savait puisqu'en 2007, les membres d'une future liste avaient attiré son attention ainsi que celle de monsieur Le Goff (adjoint aux finances). Cette fameuse liste préféra se saborder plutôt que d'endosser ce prêt et on la comprend !
Qui sont les oiseaux de mauvaise augure ?
La « plume » nous parle du cinéma contre-versé. Il nous parle du travail remarquable de madame Laurence Forin, chose incontestable. Vu la somme de travail énorme qu'impose la direction d'une telle affaire il serait préférable- à tous points de vue- qu'elle abandonne son métier de pigiste dans un journal local. Les lecteurs auraient le sentiment d'être dans un pays encore démocratique !
Il y a aussi un passage « Attention à ne pas se laisser envahir » où les services de la mairie nous parlent des nuisibles et nous mettent en garde.
Ils nous parlent en particulier de chenilles processionnaires qui peuvent être à l'origine de graves atteintes du système respiratoire et d’allergies rendant responsables les propriétaires de la non- destruction des nids. Savent-ils au moins que tous les bois communaux sont pleins de nids à l'exemple du bois d'Amour. Ne lisent-ils jamais le cahier de doléances ? Se moquent-ils là aussi de nous dans les grandes largeurs ? Travaillent-ils ?
Après cet article, je me classe évidemment dans les piafs car pour terminer je me ferai un dernier plaisir en vous citant la conclusion de la « Plume » qui parlent de l'opposition et des blogueurs:
« C'est clair. Ce ne sont pas des oiseaux de Paradis. Plutôt des piafs agressifs, façon Hitchcock »
Encore un qui ne semble pas connaître grand chose aux oiseaux et qui n'a sans doute jamais eu un lance-pierres dans sa poche. Si au moins tous ces gens qui nous gouvernent avaient parcouru les dunes et décharges publiques dans leur jeunesse ils se souviendraient un peu plus de ce beau pays tombé depuis très longtemps entre les mains de gens qui ne nous veulent pas nécessairement du bien !
la plume de quiberon ferait mieux de s'occuper des goelands qui chient partout ou qui attaquent les enfants à la plage pour leur crever les yeux!!
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