Les "plumés" de Saint Pierre Quiberon...
22/01/2016
Le "Grand Sachem" peut-il réaliser "seul" une œuvre collective, qui consiste à" plumer" les propriétaires de Saint Pierre Quiberon ?
La prudence de nos élus dans leurs promesses électorales atteint le sommet de l'incohérence... dans le retrait de l'ancien PLU (2009-2014) et dans les promesses d'élaboration du "nouveau PLU (2014-2016 ?).
La liste des élus de la commission "urbanisme-gros travaux", le compte-rendu des deux premiers COPIL sur le site de la Mairie confirment la difficulté de "mise au point" d'un PLU sur la commune de Saint Pierre Quiberon.
Deux années de silence "démocratique" de cabinet noir pour aboutir à deux compte-rendus de COPIL, d'un niveau très médiocre, où s'entassent beaucoup de questions "impertinentes", où les points de vue du Maire sont particulièrement "hésitants" !
Le "Grand Sachem" botte en touche en Novembre 2015 (Hum !) et confie le "bébé plumé" au nouveau DGS ! Vous savez, les samedis ne suffisent plus à recevoir tous les mécontents de la commune !
L'équation "plumesque" est d'un niveau élevé : SCOT (dont les conclusions sur les transports sont totalement ridicules et inadaptées), Loi "Littoral" et son immense jurisprudence, encore mal maîtrisée, Loi ALUR, peu connue avec ses 250 articles, PLH, élaborée par notre Maire "à la russe" et sans aucune vision, "Portée à connaissance du Préfet", non encore publiée sur le site de la Mairie, qui imposerait selon l'exemple allemand de "maison passive" une éolienne par jardin, ancien PLU de Geneviève (5 ans de bouteille), ancien PADD de Geneviève et enfin le "vénérable" POS, toujours en vigueur !
Aujourd'hui on apprend par ces publications tardives, que l'Ecole de Voile avait l'intention de vendre du terrain pour renflouer ses finances piteuses (Cour des Comptes de 2008) et construire un "auditorium"... que les nouveaux élus s'opposent désormais à toute installation à sa place d'un Centre de vacances en cas de départ (qui est consulté ? les riverains, les citoyens), que la "densification" des hameaux pourrait s'effectuer par des constructions "en couronne"...que les élus ont un programme de "logements sociaux prioritaires", alors que les deux constructions de Geneviève ont privé la commune des produits de vente de terrains de grande valeur... que le "casernement" des campeurs sur terrains privés ne serait plus possible du fait de l'assainissement (pourtant la zone AU2R le prévoit !), que la Commune attend avec "impatience" le décès de tous les propriétaires de terrains privés, qui campent afin "d'éteindre le virus", qui mite le territoire...
On conçoit, qu'en agitant ainsi ce qui concerne l'ensemble des habitants de Saint Pierre Quiberon, qu'en ne les informant qu'à travers des écrits malhabiles, le processus d'élaboration d'un nouveau PLU soit aussi mal "fagoté".
La "démocratie" à Saint Pierre Quiberon est en danger ! La future urbanisation ne peut rester concentrée dans des mains "inexpertes et peu communicantes"... que les "PLUmés" de Saint Pierre se réunissent rapidement !
Hameaux, une loi qui passe mal
Télégramme du 21 janvier 2016
Leurs terrains étaient constructibles. Ils ne le sont plus du fait de l'interdiction de bâtir dans les « dents creuses » (*) des hameaux et perdent toute valeur. De toute la Bretagne, les victimes, qui s'identifient sous le vocable PLUmés, montent au créneau. Ils réclament, notamment, un assouplissement de la loi Alur.
Un simple texte de loi et la vie peut être chamboulée : « Ce petit bout de terrain, c'était une sécurité. Le vendre m'aurait permis d'arrondir mes fins de mois, de faire face à une grosse dépense imprévue ou de le donner aux enfants pour construire. Je viens d'apprendre qu'il n'est plus constructible. Je vais quand même être obligée de continuer à payer quelqu'un pour l'entretenir. Mais c'est un moindre mal en comparaison de ma soeur qui comptait sur la vente de son terrain pour faire de gros travaux dans sa maison qui en a bien besoin », raconte cette veuve retraitée, au coeur du hameau de Ker Jorde, à Clohars-Carnoët (29).
"Des gens modestes"
Ces cas ne sont pas isolés. En interdisant de construire dans les « dents creuses » des hameaux, depuis mars 2014, la loi Alur a généralisé sur tout le territoire une mesure déjà en oeuvre dans le cadre de la loi Littoral, lui ôtant, par la même occasion, une souplesse d'application déjà toute relative.
« On se retrouve face à une multitude de drames humains », affirme Loïc Prima. Le président de l'association des PLUmés de Clohars-Carnoët se défend d'être le porte-parole de « milliardaires ou de spéculateurs : ces textes touchent principalement des gens aux revenus modestes qui misaient sur leur bout de terrain pour arrondir les fins de mois ou qui ont investi pour faire du locatif. Ils ont tout perdu ».
Au-delà de la perte financière vertigineuse - un terrain d'une valeur de 100.000 €, à Kervignac a été dévalué à 1.000 € - c'est tout le secteur du bâtiment qui est touché, considère Michel-Henri Gallot, trésorier des PLUmés de Moëlan-sur-Mer (29) où « des centaines de propriétaires sont concernés ».
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Mauvais pour le tissu social
Le tissu social et l'aménagement du territoire sont également en jeu, renchérit Loïc Prima : « Nous ne sommes pas opposés à la loi Littoral, qui a eu le mérite d'empêcher le bétonnage et de préserver l'état naturel exceptionnel de la Bretagne. De même, en tant que paysagiste et fils d'agriculteurs, je ne peux qu'applaudir la vocation de la loi Alur à préserver les terres agricoles. Mais, en densifiant les hameaux, on peut aussi attirer des jeunes couples, soit pour bâtir, soit pour rénover de vieilles maisons pas chères plutôt que de les concentrer dans des lotissements géants, grands consommateurs de terres agricoles, qui plus est ».
Assouplir la loi
Les PLUmés réclament un assouplissement de la loi, notamment sur la notion de hameau et de village (où la construction reste permise), « le hameau étant une spécificité bretonne à prendre en compte. On demande simplement du bon sens et de pouvoir construire quand il reste un terrain libre entre deux maisons dans un hameau ». Un message clair qui commence à recevoir de l'écho et du soutien chez les élus locaux et parlementaires.
La mobilisation prend de l'ampleur : de nouvelles associations de PLUmés sont en train de se monter ; ainsi à Riec-sur-Belon (29) ou près de Saint-Quay-Portrieux, dans les Côtes-d'Armor. Dans le Morbihan, les PLUmés56 organisent une réunion publique, ce soir à Kervignac. En tout état de cause, si on ne les écoute pas, ils sont prêts à montrer les dents et à intenter des recours : « Il y a des gens qui ont payé des droits de succession et des impôts fonciers sur des terrains réputés constructibles. S'ils ne le sont plus, on doit les indemniser », estime Loïc Prima.
* Une dent creuse est, en urbanisme, un espace non construit entouré de parcelles bâties.
Du bon sens SVP
Dur, dur d'être maire par les temps qui courent. Loi Littoral, loi Alur, loi NOTRe, loi Macron, PLU à « grenelliser », à « Aluriser » voire - c'est conseillé - à transformer en PLUi (intercommunautaire)... les élus locaux ne savent plus à quel saint (urbain ?) se vouer. Des maires bien démunis face à des administrés qui ne comprennent pas pourquoi, du jour au lendemain, leur terrain n'est plus constructible. Des maires qui aimeraient bien s'y retrouver dans ce maquis de textes que font respecter, en toute légitimité, avec rigueur, les services de l'État. Et c'est normal dans un état de droit. Mais les lois, aussi justifiées soient-elles, ont une fâcheuse tendance à se multiplier et se superposer, au mépris du bon sens. Exemple : la loi Littoral. Une bonne loi, selon Dominique Cap, maire de Plougastel-Daoulas (29), président de l'Association des maires du Finistère, qui demande son assouplissement. Car, comment comprendre qu'Hanvec soit soumise aux contraintes de la loi Littoral, à 17 km de sa bande côtière qui ne fait que 400 m de long ? Mais l'élu local a-t-il encore son mot à dire ? Non, répond clairement Jacques Le Ludec, maire de Kervignac et ses cent hameaux : « Tout est pensé de Paris », dit-il. Et d'inviter ceux qui font les lois à venir « expliquer l'inexplicable dans nos permanences », pour retrouver du bon sens. Mais voilà, la denrée semble devenue aussi rare que les fonds publics...
Odette Herviaux : "S'adapter aux réalités locales"
Pour ou contre la densification des hameaux ? Avec mes collègues sénateurs du Morbihan, Joël Labbé et Michel Le Scouarnec, on vient d'adresser un courrier aux maires pour leur préciser notre position et les assurer de notre soutien dans ce dossier. Si nous sommes favorables à la préservation des terres agricoles et contre la prolifération des zones de construction, il nous semble essentiel de pouvoir continuer à construire dans les « dents creuses » des hameaux, très nombreux en Bretagne ; ce qui y rend, d'ailleurs, le problème particulièrement sensible. Quand il existe des terrains libres dans des regroupements de 10 à 15 maisons, il faut les rendre constructibles. C'est une nécessité pour nos territoires ruraux. Au-delà des problèmes humains, avec des gens qui se retrouvent dépossédés d'une partie de leur héritage, c'est une question de dynamisme et d'aménagement du territoire. Il n'est pas admissible de voir les grandes villes qui continuent à s'urbaniser en consommant des terres agricoles alors que les petites communes sont soumises au régime maigre. Êtes-vous pour un assouplissement de la loi ? Je n'y suis pas favorable car une loi, une fois qu'elle a été adoptée, est faite pour être respectée. En revanche, je suis favorable à un assouplissement et à une simplification dans son application. Je crois beaucoup plus aux négociations et réflexions entre les maires et les services de l'État en vue d'interpréter les textes en fonction des réalités locales. Les textes le permettent-ils ? La loi NOTRe vient d'attribuer aux régions la possibilité de définir leur propre politique d'interprétation et d'application des mesures d'urbanisme, au travers de schémas régionaux d'aménagement du territoire. Cela pourrait être un bon outil concernant la définition et le traitement des « dents creuses » des hameaux.
Ce que dit la loi Alur
Outre les relations entre propriétaires et locataires, la loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) modifie l'article L. 123-1-5 du Code de l'urbanisme pour y insérer de nouvelles dispositions relatives à la constructibilité en zones agricoles, naturelles et forestières. En zones agricole (zone A) et naturelle (zone N) des plans locaux d'urbanisme, ne peuvent, en effet, être autorisées que les constructions et installations nécessaires à l'exploitation agricole ou forestière, aux équipements collectifs ou des services publics.
Les PLUmés du Morbihan se réunissent ce soir à Kervignac
L'association des PLUmés du Morbihan a été déclarée en préfecture le 23 décembre 2015, dans le but de poser publiquement les questions engendrées par l'adoption de la loi Alur et de débattre avec les élus. Elle organise, ce soir, à 20 h, à Kervignac, où se trouve son siège social, une première réunion publique, au complexe sportif, en présence d'un avocat brestois spécialisé en urbanisme. L'association envisage une action collective.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/bretagne/hameaux-une-loi-qui-passe-mal-21-01-2016-10927451.php#YmvYXRXejgKrw1YS.99
Hameaux, il faut engager la responsabilité des élus
Télégramme du 22 janvier 2016
Régis Nescop
Ferait-on un mauvais procès à la loi Alur ? C'est l'analyse de Me Bertrand Vallantin qui animait, hier soir, une réunion publique à Kervignac, à la demande des PLUmés 56. Selon l'avocat brestois, qui met en cause les élus, le durcissement de la loi Littoral est à l'origine du déclassement des « dents creuses » dans les hameaux. Et pas la loi Alur pour l'instant.
Quelle est votre analyse du débat récent sur la loi Alur ? On présente une mauvaise vision de ce qui se passe en réalité. Invoquer la loi Alur, c'est hors de propos. C'est une excuse trop facile de la part des élus. C'est un sujet compliqué mais le déclassement des terrains en cause résulte de l'évolution de la loi Littoral dont on a fêté les 30 ans. Et de cette seule loi. Je n'ai pas encore constaté de décision défavorable motivée par la loi Alur. Pourquoi une telle confusion avec la loi Littoral ? Il faut être humble car ce sont des sujets difficiles. Il y a une erreur d'appréciation des élus qui, manifestement, connaissent mal le sujet. Depuis la mise au jour de ces interdictions de bâtir dans les « dents creuses », ils manient des éléments de langage. Je mets au défi quiconque de m'expliquer en quoi la loi Alur change quelque chose à la loi Littoral et à sa jurisprudence dans les dossiers évoqués par les PLUmés. Le discours actuel des maires est d'incriminer cette loi. C'est totalement faux. La loi Alur dit exactement l'inverse : son objectif est d'éviter l'étalement urbain et donc, de densifier ce qui existe déjà. C'est une excuse et le vrai sujet, c'est la loi Littoral. Alors pourquoi les élus comme les propriétaires « lésés » le découvrent-ils actuellement ?
"La difficulté de cette loi Littoral est qu'elle n'a pas tout défini. Sur le plan pratique, c'est la jurisprudence (les juges) qui précise, au cas par cas, les notions de village, d'agglomération, d'extension d'urbanisation. Ce n'est ni un droit constant, ni une lecture instantanée. Depuis 2013 et surtout le printemps 2015, j'ai constaté une très nette coupure sur la notion de « dents creuses ». La jurisprudence est plus sévère. Et les effets se ressentent aujourd'hui. Que faut-il comprendre de la loi Alur ? La loi Alur impose de faire un diagnostic de l'existant pour éviter l'étalement urbain. Mais, on a changé d'époque car on vit une période de reconcentration des pouvoirs. Exemple avec la mise en oeuvre du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUI) ou le Scot (Schéma de cohérence territoriale). De fait, les maires perdent leur pouvoir exclusif d'urbanisme. L'objectif de cette loi Alur est justement de combler les « dents creuses ». Cette loi est utilisée pour se défausser. Je le répète, c'est la loi Littoral qui est en cause avec les PLUmés. Les propriétaires sont-ils sans recours ? Non, il y a une action très simple et efficace : c'est engager la responsabilité des communes en réclamant une indemnité du préjudice subi entre la valeur du terrain classé constructible et un champ de patates. La jurisprudence va dans ce sens : un arrêt de la cour administrative d'appel de Nantes du 12 juillet 2013 à Crac'h ou le 27 février 2015 à Moëlan-sur-Mer (29) où la mairie a été condamnée à verser plus de 20.000 € pour un terrain. À l'avenir, la loi Alur ne va-t-elle pas contrarier l'urbanisation ? Cela dépendra de la qualité des PLU votés par les élus et de leur légalité au regard de ces dernières. Mais je remarque que ces lois contrarient le marché du bâtiment alors que l'État veut, au contraire, encourager les acteurs du BTP. On vit dans un monde schizophrénique. Ce qui ne facilite pas la mise en oeuvre et la compréhension de ces lois d'urbanisation.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/bretagne/hameaux-il-faut-engager-la-responsabilite-des-elus-22-01-2016-10928884.php#6Sc8CJPVLX2urvQG.99
14 commentaires
Il faut faire très attention à ces PLU qui sont devenus pour beaucoup d'elus une manière de s'enrichir auprès des petites gens petits propriétaires.
On se rend compte chaque jour qui passe que nos elus de la presqu'ile sont particulièrement incompétents dans tous les domaines. Comme ils sont detenteurs du pouvoir et de la science infuse car ignares, ils délèguent à des cabinets d'aménageurs pas toujours très clairs le montage des dossiers de plu. Derrière ces cabinets se cachent des gens peu reluisants, qui tels des goélands charognards se jettent sur leur proie: des personnes sans défense car agées, malades ou à problèmes familiaux. ici à quiberon, c'est le défilé, et l'avalnche de coups de téléphone!
par exemple à Quiberon, le projet de ZAC du briellec III est déjà source d'ennuis pour certains petits propriétaires qui font déjà l'objet de pressions pour leur extorquer des terrains à bon compte. Il ne faut pas compter sur le maire actuel B. Hilliet et de son équipe pour défendre la propriété et les petites gens tant leur cupidité est grande. La présence à l'urbanisme d'un ancien agent immobilier est déjà suspecte en soi. Tout leur est bon pour contraindre les personnes propriétaires. Cela va de la promesse, jusqu'à la menace judiciaire, voire pire comme l'expropiation ou le rognage de terrains pour les rendre inutilisables sauf remembrement par un promoteur!. il ne faut pas se laisser faire...
il leur faut faire vite avant la fin de leur mandat actuel pour s'enrichir car leur réelection n'est plus acquise tant le mécontentement grandit. Le sentiment à saint pierre comme à Quiberon est que l'on a été escroqué par un politicien bien tocard qui a bien vendu sa soupe.
Alors attention donc à ce que vont faire ces élus : se rappeler que la propriété est un droit constitutionnel et que nul ne peut être contraint à l'abandonner.
Aurions-nous franchi un pas de plus dans la dictature avec ce maire et son équipe? après la Chine aurions-nous basculé en Corée du nord? Hilliette est-il le Kim-Jung-Un local? Comme tous les faibles, il se montre fort avec les faibles et faible avec les forts. Pour n'avoir jamais quitté quiberon il sait que la population ne bougera pas. C'est à vous de protéger les plus vulnérables et de prévenir leurs familles car elles se retrouveront délaissées de leurs biens au profit de quelques promoteurs ou officines.Il serait utile de conseiller à vos anciens de faire donation de leur vivant pour sauver ce qui est encore sauvable.
Ce monsieur est un pur produit Héraux. Il doit pourtant tant à Quiberon!
Le drame est qu'il entraîne dans ses délires beaucoup de ses conseillers municipaux qui eux sont foncièrement honnêtes. Comme tout lâche et menteur il leur fera porter le chapeau.
JR et annie vous êtes injustes. Votre maire pense du matin au soir au logement social. Dans la future résidence "Parc Océan" construite sur les 3640 m2 restants de l'ancienne conserverie n'y a-t-il pas 20% de logements prévus pour l'accession à la propriété des plus modestes?
Je ne suis pas du tout d'accord avec vos points de vue. il est devenu necessaire pour avancer, de faciliter l'installation de nouvelles populations jeunes dans cette presqu'ile pour rafraichir les sangs d'une population indigène depuis trop longtemps abatardie par la consanguinité. ce sera à terme la seule manière de retrouver ici le dynamisme propre aux pays jeunes. Le monoculturalisme de Quiberon a bien evidemment trouvé ses limites.il est necessaire de passer à autre chose: le multiculturalisme par exemple comme à Paris ou en Allemagne. A Calais, on pourrait choisir des nouveaux venus pour les inviter ici pour rajeunir notre population essouflée. Il faudra bien evidemment les accueillir dignement, en leur fournissant tout ce qui est necessaire : et à commencer par le logement. (70% de logements libres à Quiberon avec les résidences secondaires inoccupées). La municipalité a les moyens règlementaires de contraindre les propriétaires.
Pour cela il est absolument necessaire de remettre en cause les prétendus droits à la transmission de la propriété. les communes doivent faire le necessaire par l'instauration de regles adaptées dans les plu pour pousser à l'urbanisation contrainte et forcée de tous le terrains disponibles. il est alors évident de contraindre les propiétaires par des reglements adaptés.
Le nouveau maire de Quiberon est d'accord pour forcer à cette modification du regime municipal et au besoin en déléguant ses prerogatives à l'AQTA. ce dont du moins les propos tenus en a parte.
Cher Monsieur Jean M,
Merci pour votre analyse oh combien pertinente.
Je me permets de vous suggérer dans le cadre du redressement génétique, moral, social et économique de cette terre dégénérée qu'est devenue la presqu'île les mesures suivantes.
Par la loi, tout nouvel arrivant vecteur de multiculturalisme se verrait octroyer la liberté de choisir, outre son logement, une femme en âge de procréer parmi les résidentes des communes presqu'îliennes fut-elle mariée ou pas.
Par décrets municipaux : tous les établissements inutiles dont l'unique but est d'altérer la santé physique et mentale des habitants seraient fermés. Je pense là aux cafés, cinéma et autres lieux de loisirs inconvenants tel la piscine où trop de corps peu vêtus s'exposent sans vergogne.
De la même manière les associations proposant des activités profanes et novices seraient interdites : jeux de cartes, loto, broderies, danses...
Un impôt spécifique pour punir les habitants de leur lent et tragique déclin pourrait être instauré. Son assiette porterait sur chacun des habitants sans distinction d'âge et de revenu. Les fonds collectés seraient versés aux nouveaux arrivants, preuve matérielle de la gratitude le la population.
L'enseignement des langues décadentes dont le breton mais aussi l'anglais, l'allemand et l'espagnol seraient supprimés au profit de cours de langues plus raffinées et moins dévoyées que ces langages dépravés.
Par la loi aussi, les nouveaux arrivants pourraient s'assurer de la prise en compte de leurs légitimes revendications. Aucun conseil municipal ne pourrait statuer sans un accord préalable de leur(s) représentant(s).
De même, pour éviter à ces personnes dont la testostérone contribuera au redressement d'une zone mortifère l'angoisse d'une recherche de travail, leurs éventuelles allocations chômage seraient versées à hauteur du plafond maximum et sans limite de temps.
Ceci n'est bien évidement qu'une ébauche (très très sérieuse cela va mieux en le précisant) écrite pour fort modestement compléter la fulgurance de votre commentaire.
Bien à vous...
Jean M. vous etes pour l'intauration de la charia en France alors?
Propos interessants: certains cherchent à installer des islamo mafias dans un pays démocratique: on va enfin s'amuser et chasser librement . la racaille islamo gauchiste, celle qui "nike la France", on a ca sous la main par ici: on aurait tort de se gêner! ils ont même un blog à saint pierre. ce sont eux les thruriferaires de lislam à st pierre et qui osent organiser des manifs "je suis charlie" et qui crachaient sur les morts du bataclan tout en allant se plaindre aux flics... Chercher l'erreur!
Cher Monsieur Hennel,
Très cher Monsieur Hennel,
... Ce naufrage était prévisible dès le début de la campagne électorale pour les municipales. Seule votre haine pour l'équipe précédente vous a longtemps fermé les yeux et ôté tout sens critique.
Une dilettante indécise reste toujours une dilettante indécise quelles que soient les circonstances.
Courage. Encore quatre longues années pour parachever le désastre.
Tiens, vous qui êtes un "aficionado" des surnoms en tous genres, rapprochez- vous d'un certain club d'équitation et renseignez-vous donc sur le surnom dont ses membres ont affublé notre brillantissime cheville ouvrière du PLU. Vous serez édifiez. Bonne recherche
Peut-être aussi le Totem Scout ?...
Bien vu, le masque et la plume et nous croyons aussi que la situation que vous décrivez est en train de se mettre en place depuis de longs mois.
Le pieux libéral pratiquant des années pré-électorales 2012-2013-2014 que vous avez mis en place se transforme rapidement en ayatollah de la pire espèce .
Heureusement pour monsieur Leroy que la charia n'était déjà pas mise en place car plutôt que d'être traîné devant les tribunaux républicains pour des propos déformés volontairement il aurait eu le droit à 100 coups de bâton sur la place Hoche qui peut accueillir des milliers de spectateurs. Peut-être que la sentence aurait été encore plus forte : la langue coupée, jetée aux mouettes rieuses piaillant et se bagarrant comme des bigoudènes d'autrefois autour des lavoirs de la Bonne Fontaine.
Pour cette raison nous ne pensons pas que des migrants fuyant les ayatollahs de leurs pays fassent souche sur la presqu'île.
Entre 2 maux ils choisiraient de se damner et mettre en boîte du pâté Hénaff à Pouldreuzic que des sardines dans les 2 conserveries de la presqu'île.
Dans le cas contraire et s'ils persistaient à vouloir rester sur la presqu'île, la baie de Quiberon serait une nouvelle fois divisée en deux. A Arzon un vrai émir paré à tout acheter et de ce bord-ci de pauvres réfugiés.
Pour le moment il n'en est rien et si depuis le 1er janvier 2016 vous rencontrez sur la place du Varquez une femme voilée, casquée et avec des boules Quiès dans les oreilles ce n'est pas une réfugiée mais tout simplement une habitante de Quiberon ou une quiberonnaise pur beurre qui se rend à la maison médicale en chantier faire une analyse de sang et qui tout simplement veut éviter la poussière et le bruit.
Dernière remarque pour les cyclistes : même si vous n'avez pas de roues voilées sur votre vélo vous pourrez arpenter tous les jours les zones de rencontre et même boire un muscadet à la terrasse de votre choix. Le choix étant conséquent, évitez de les faire tous le même jour car pour le coup vous risqueriez d'avoir un vélo aux roues voilées et vous, deux tours et une demi-clé et là les ennuis pourraient commencer car la police municipale est conséquente depuis avril 2014. A Quiberon on veille sur vous !
brezhoneg y a de la place même pour les bédouins qui préfèrent les tentes.
Sur le terrain du mobil-home de Belz construit illégalement et toujours là.
C'est de la faute à Le Roux. Hilliet doit éclaircir rapidement ce problème.
Où en est le procès? Si bédouins il y a il doit exister au moins 5 places avec leurs branchements. Dans ces conditions le dossier sera peut-être ré-ouvert par les autorités chargées de faire la loi dans ce pays.
Quel marché a été passé? On veut des explications
Tu me donnes une facilité pour transferer mon usine au cimetiere comme ca je peux faire une belle operation immobiliaire à la place de l'ancienne et je vote pour toi linstallation de ton mobil home dans une zone protégée et interdite de construction... et je ferme les yeux... les autres imbeciles du conseil n'y pigeront que couic... et la presse publiera ce que je leur dirai moyennat lachat d'une page de pub communiqué bidon?
A y est? j'ai bon?
je vois parler de consanguinit....très drole
Population de la presqu'île
Plus de la moitié des élus de Quiberon n'est pas originaire de la presqu'île si ce n'est l'élu lui même ce sont ses parents ou ses grands parents. Sur la presqu'île non seulement il y a eu beaucoup de finistériens qui ont fait souche mais il y a eu un gros apports de gens de toute la France Corse et Martinique comprises.
La presqu'île est vraiment en avance sur le reste de la Bretagne quant à la mixité culturelle et raciale et nous avons beaucoup de 1ere, 2ème et 3ème génération d'origine étrangère seulement ils sont bien intégrés
Nous avons ici beaucoup de descendants d'espagnols,d'italiens, de portugais, d'allemands.Nous avons aussi des maghrebins, ukrainiens, indonésiens, irakiens, anglais, gallois, maliens, belges, hollandais, suisse. Je connais même des descendants de tchèques et de maltais.
Alors arrêtez vos conneries sur la consanguinité, elles montrent seulement que vous ne connaissez rien à la presqu'île
bien vu Jean et concernant les espagnols nous avons eu 2 vagues: une partie datant des naufrages des navires de l’invincible armada qui n'avaient pas coulé dans le Pas de Calais et l'autre de la guerre civile d'Espagne.
Sans les italiens il n'y aurait pas beaucoup de maisons à Quiberon. L'un de leurs descendants n'est-il pas adjoint dans cette municipalité.
Dans votre liste vous oubliez également nos combattants du Vietnam qui ramenèrent leurs "amies".
A contrario, les marins long-courriers et de la marine nationale ont sûrement laissé quelques descendants dans le monde entier.
La presqu'île est une terre de brassage et c'est très bien ainsi.
Pour les antillais tous les quiberonnais se souviennent d’Amédée à Port Maria.
Il ne faudrait quand même pas que l'on fasse de Quiberon une "Chtouquie"!!
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