Evènements improbables...
04/08/2015
Totalement en dehors de l'agenda de l'Office de Tourisme de Saint Pierre, les exceptions de l'été 2015 !
A Kergonan, Gégé le cycliste "général" recherche le blason de son ancienne activité : à la "tambouille locale, avec l'argent du Département" !
De Vannes à Quimper, une randonnée à pied avec les pèlerins du "Tro Breiz", arrêt à Sainte Anne d'Auray compris ! trois 38 tonnes "bénévoles" assurent l'intendance...160 kilomètres en 7 étapes !
L'alerte "sécheresse" est donnée en Morbihan ! Dans la plus grande discrétion, pour ne pas effrayer les touristes et vacanciers ! La "communication" est un modèle du genre !
Les "grandes marées" n'attirent pas seulement les "pêcheurs à pied" ! L'amplitude de 6 mètres crée des courants à Saint Goustan, qui méritent le déplacement ! Cà ira mieux demain !
A l'Isthme, la dernière gare de France, totalement en plein air, prise entre Océan et Baie ! Peut-être la dernière année du Tire-bouchon, en raison de la floraison des cars "Macron", qui devraient relier Redon à Quiberon !
A L'Office de tourisme de Saint Pierre, on adore regarder son nombril !
Exposition à l'abbaye, les blasons de Jean Le Baron
Télégramme du 31 juillet 2015
Entre Gérard Pierre, maire, et Dom Philippe Piron, père abbé de l'abbaye Sainte-Anne de Kergonan, Jean Le Baron, sculpteur.
Durant tout l'été, 53 blasons de fabrication artisanale sont présentés au sein des abbayes Sainte-Anne et Saint-Michel de Kergonan et à la chapelle Notre-Dame-des-Fleurs. Ils ont été réalisés par Jean Le Baron, originaire de Ploemel, ébéniste devenu sculpteur par passion du bois. C'est le travail tout fait exceptionnel de Jean Le Baron qui a suscité l'idée du thème de cette huitième édition de Plouharnel en arts. Car si 53 blasons sont présentés dans trois sites de la commune, il a fallu faire des choix, tant le sculpteur a réalisé d'oeuvres. C'est le patrimoine religieux qui a été choisi pour cette initiation aux subtilités de l'héraldique en Bretagne.
Jean Le Baron a également réalisé les blasons de plusieurs communes ainsi que leur logo.
Passionné depuis l'enfance « J'ai commencé à 14 ans mon apprentissage en ébénisterie chez Henri Guyot et Mustiere à Auray, explique Jean Le Baron. J'ai obtenu mon certificat de fin d'apprentissage à 17 ans, mais aussi un certificat de compagnon délivré par la Chambre des métiers. Ma passion pour le bois est apparue très tôt. Le chemin que j'empruntais pour me rendre à l'école, passait devant les ateliers du menuisier. J'étais fasciné ». Après son service militaire en Algérie, il se consacre en 1962 à la menuiserie et au mobilier, à Carnac, et crée sa propre entreprise en 1984. Pratique Exposition jusqu'au 20 septembre. Entrée libre.
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/plouharnel/exposition-les-blasons-de-jean-le-baron-31-07-2015-10724866.php
Tro-Breiz, les pèlerins dans les starting-blocks
Télégramme du 31 juillet 2015
Gabriel Simon
Les pèlerins du Tro-Breiz partiront dimanche matin de Vannes pour une nouvelle étape qui les mènera à Quimper.
Plus de 1.200 personnes vont se mettre en route à partir de l'église de Saint-Patern. Ils feront leur première escale le soir à Sainte-Anne-d'Auray.
Marie-Alix de Penguilly préside l'association du Tro Breiz depuis 2009.
Son fondateur, le Saint-Politain Philippe Abjean, lui a transmis le témoin. « J'ai eu peur que la tâche soit un peu lourde, mais je suis bien aidée », explique cette énergique retraitée de 66 ans d'Arradon. Le Tro Breiz est ce tour de la Bretagne pratiquée au Moyen-Âge par des pèlerins qui allaient se recueillir sur les tombes de saint Patern à Vannes, saint Corentin à Quimper, saint Paul Aurélien à Saint-Pol-de-Léon, saint Tugdual à Tréguier, saint Brieuc, saint Malo et saint Samson à Dol. Sept saints qui sont devenus évêques de ces lieux. Ce pèlerinage était emprunt de la même dévotion que celui de Jérusalem et de Saint-Jacques-de-Compostelle. Pèlerinage circulaire Il aurait pu être définitivement oublié. Mais en 1994, une association avec à sa tête Philippe Abjean relève le flambeau. C'est aussitôt un élan de ferveur qui accompagne les premiers pas du nouveau Tro-Breiz.
Plus question, cependant, de faire 600 kilomètres de marche en un mois comme autrefois.
Le Tro-Breiz s'accomplit maintenant en sept ans à raison d'une étape par an. Une troisième boucle entamée à Tréguier en 2011 s'achèvera en 2017. Seul pèlerinage circulaire du genre, il est unique au monde.
Actuellement 1.200 personnes sont inscrites pour le départ de Vannes. « On attend encore au moins une centaine de plus, indique Marie-Alix de Penguilly. Tous ne feront pas le trajet complet jusqu'à Quimper. Certains feront le départ et l'arrivée, d'autres se rajouteront en cours de route. Mais nous serons chaque jour près de 1.500 avec les accompagnateurs ».
Deux semi-remorques Côté coulisses, le Tro-Breiz nécessite une grosse organisation.
Deux camions de 38 tonnes précéderont les pèlerins pour apporter leurs bagages et matériel de camping.
Ils auront tous aussi un bracelet au poignet pour bien attester de leur inscription, « comme les entrées aux Vieilles Charrues », précise Marie-Alix de Penguilly. Et ils dormiront dans des salles municipales ou sous la tente, voire chez l'habitant. Il a d'ailleurs fallu adapter le trajet en fonction des possibilités d'hébergement que pouvaient offrir les communes. Un traiteur professionnel suivra aussi le convoi : petit-déjeuner, pique-nique et repas chaud du soir seront servis tous les jours à ceux qui ne veulent pas se charger de nourriture.
Dormir dans les chapelles
Le nouveau projet du Tro-Breiz est de prévoir maintenant un jalonnement de « chapelles hospitalières » pour passer la nuit comme dans la tradition. Sept chapelles ont déjà été confiées à l'association, dont celle de Saint-Goustan à Auray et celle de Sainte-Anne à Vannes. « Il nous faut trouver 50 chapelles d'ici trois ans, chacune correspondant à une journée de marche », précise Philippe Abjean. Cet hébergement est la condition pour faire du Tro- Breiz un pèlerinage permanent et de pouvoir décrocher le « label culturel européen ». Dimanche, toutefois, tous ne prendront pas la route avec la foi forcément chevillée au corps. « Nous partons dans l'idée que c'est un pèlerinage. Mais les participants sont libres de leurs idées, ils mettent dans cette marche ce qu'ils souhaitent, souligne Marie-Alix de Penguilly. Et par les temps qui courent, cela permet à certains de se soulager de leurs fardeaux ».
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/tro-breiz-les-pelerins-dans-les-starting-blocks-31-07-2015-10724900.php
Sécheresse, le Morbihan mis en état d'alerte
Télégramme du 24 juillet 2015
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/secheresse-le-morbihan-mis-en-etat-d-alerte-24-07-2015-10717059.php
Saint-Goustan, le Ça ira 2 en mauvaise posture !
Télégramme du 3 août 2015
Un voilier de plaisance s'est encastré, hier, dans le pont de Saint-Goustan.
Rien n'allait plus, hier après-midi, pour le « Ça ira 2 » ! Ce voilier de plaisance, immatriculé à Rouen, s'est encastré dans le pont Neuf de Saint-Goustan.
Il y avait à bord deux personnes qui ont été sécurisées et remontées sur le pont grâce à l'intervention rapide des pompiers d'Auray. Un sauvetage aussi insolite que délicat, dû au coefficient de marée élevé de 104 et à un très fort courant, cause du désastre.
Un jet-ski en renfort
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Et le raton-laveur, tu l'as perdu?
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