La "propension à l'épargne" commence dans les communes !
28/05/2015
La situation catastrophique des régimes de retraite complémentaire est le résultat de la "désindustrialisation" de la France !
Le Panthéon pourrait demain accueillir François Hollande, qui au travers de son action économique de trois ans a réussi à démolir l'épargne nationale et les mécanismes économiques de "long terme"...
Aujourd'hui les "retraités" vivent ce que la France a connu après la première guerre mondiale, puis après la deuxième guerre mondiale, un effondrement de l'épargne, fondée sur des cotisations passées ! Le "système de répartition", tant vanté par les socialistes, partage les cotisations d'aujourd'hui (fortement impactées par l'inactivité économique) entre des retraités, issus de la période du "baby boom"...
Les solutions proposées sont naturellement la diminution des "retraites" (le contrat originel est défiguré) et des pensions de réversion...Merci, François !
Cette vision de "régression" n'est pas celle des discours de 2012, avant l'élection, mais la conséquence des différentes mesures, prises depuis cette date : augmentation des effectifs de la fonction publique, augmentation des impôts en tous genres, augmentation des dépenses budgétaires dans tous les domaines, discours "optimistes" sur le déclin du "chômage", déficits des entreprises publiques, mise en route de réformes stupides sur le plan économique...
L'égalité dans la "misère" est la fin ultime d'une politique, initiée par un HEC-Enarque... fort heureusement la "main invisible" est en train de développer des conséquences économiques, qui feront se lever des "révoltés silencieux" !
A Saint Pierre Quiberon, les efforts "visibles" de la nouvelle équipe se dirigent vers l'âge néolithique...époque, où l'on ne battait pas encore monnaie... La disette "budgétaire" ne risque donc pas de s'effacer dans les "pierres magiques"...
A l'échelon communal, l'épargne commence par des gestes simples !
Retraites complémentaires, la CGC défend le statut des cadres
Les Echos du 19 mai 2015
Retraites complémentaires : la CGC défend le statut des cadres
Le syndicat des cadres ne veut pas d'une fusion qui noierait l'Agirc des cadres dans l'Arrco des salariés.
Il propose 2,7 milliards d'économies dès 2017.
C'est l'heure de la cristallisation pour les négociations sur les retraites complémentaires. Cette semaine, les partenaires sociaux mènent leurs ultimes discussions bilatérales en vue de trouver jusqu'à 8 milliards d'euros d'économies sur l'Agirc et l'Arrco.
Dans la foulée, le Medef leur communiquera un projet d'accord, à examiner lors de la session multilatérale du 27 mai. Comme il sort plus d'argent qu'il n'en rentre dans les caisses, les réserves des deux régimes obligatoires sont menacées d'épuisement. L'Agirc devrait être à sec dès 2018.
Dans son projet initial, à l'automne, le Medef proposait de créer au 1er janvier 2019 « un régime unifié de retraite complémentaire », c'est-à-dire de fusionner l'Agirc et l'Arrco. Objectif : repousser l'échéance de l'assèchement des réserves de l'Agirc à 2025, grâce à la mise en commun des fonds avec l'Arrco. Et encore, selon nos informations, cette date vient d'être révisée à 2023, suite à la dégradation des hypothèses d'inflation gouvernementales en avril. Une chose est sûre : il est indispensable de redonner des marges de manoeuvre aux gestionnaires du régime des cadres.
Cependant, la fusion est un casus belli aux yeux de la CGC, qui craint que le statut cadre ne se dilue dans le nouvel ensemble. Le syndicat a certes perdu la vice-présidence de l'Agirc en 2012, faute d'avoir signé l'accord paritaire précédent. Mais il tient à garder un régime séparé. « Sans l'Agirc, qui va financer l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) ? Et que devient la cotisation de 1,5 % sur la tranche A de prévoyance des cadres ?, interroge Serge Lavagna, négociateur CGC. Nous ne pouvons pas accepter la disparition de l'Agirc, alors qu'on ne dit pas ce qui va se passer ensuite. »
La CGC se retrouve sur cette ligne avec… la CGT, qui a confié la négociation sur les retraites complémentaires à son Union des cadres, ingénieurs et techniciens (Ugict).
Augmenter les cotisations
Pour sauver l'Agirc, la CGC propose plutôt d'augmenter de 1,25 point les cotisations à ce régime, supplément qui ne générerait des droits qu'à hauteur de 1 point. La mesure coûterait en moyenne 6,65 euros par mois à un cadre, plus 10,85 euros à son employeur. Elle rapporterait 1 milliard d'euros par an. Comme cela n'est pas suffisant, elle prévoit une batterie de mesures permettant de dégager 1,7 milliard d'euros supplémentaires sur l'Agirc et l'Arrco : sous-indexation des pensions (un tiers de l'inflation), sur-indexation du prix d'achat du point de retraite (inflation + 3,5 %), puis report d'avril à octobre des revalorisations de pensions sans limite de durée. Ce cocktail rapportera 4,6 milliards en 2020, 7,7 milliards en 2030. Enfin, elle ne s'oppose pas aux abattements temporaires proposés par le Medef .
Le Medef et la CFDT ne renonceront pas pour autant au rapprochement de l'Agirc et de l'Arrco. Dans un premier temps, ils pourraient se contenter de demander une fusion des réserves, afin d'obtenir les voix de FO et de la CFTC. Cela améliorerait le résultat financier de l'Agirc-Arrco.
En raison de son déficit technique, l'Agirc désinvestit chaque année pour verser les pensions. En 2014, elle n'avait plus que 6,7 milliards d'euros de réserves mobilisables, contre 8,8 milliards en 2013. C'est trop peu de capital pour espérer faire de bons placements, et c'est surtout un horizon d'investissement trop court. D'où l'intérêt de faire pot commun avec l'Arrco.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journal20150519/lec1_france/02174426062-retraites-complementaires-la-cgc-defend-le-statut-des-cadres-1120540.php?Hp9efkPApSeH0XAt.99
Les actions de la commission tourisme et patrimoine
Ouest France du 23 mai 2015
Dans le cadre de la commission tourisme et patrimoine, une liste non exhaustive des sites patrimoniaux de la commune a été dressée par Dominique Hillion, passionné d'histoire locale. « Les membres de cette commission ont décidé d'accentuer la signalétique avec des panneaux rédactionnels et par un support d'information sur les trois sites les plus fréquentés : Port d'Orange, Portivy et la pointe du Percho » explique Jean-Pierre Le Duvehat, adjoint à la communication.
Le but de cette commission est de recenser le patrimoine bâti, de collecter des informations, témoignages ou objets sur les usages et les coutumes des villages, et d'emprunter tout document ancien antérieur au XXe siècle (acte notarié, photographies, documents officiels liés à la pêche ou à la marine nationale).
Prochaine réunion de la commission se tiendra le 16 juin 14 h à la mairie.
Contact : mairie ou office de tourisme, au 02 97 30 88 86 ; direction.ot@saintpierrequiberon.net
Des travaux d'aménagement à Cromlec'h
Les deux adjoints, Françoise Duperret et Jean-Pierre Le Duvehat.
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Depuis lundi, des travaux ont début à Kerbourgnec. Un problème de descellement de pierres apparaissait avec les racines des arbres. « Un aménagement pour la préservation de ce site est nécessaire », expliquent Jean-Pierre Le Duvehat, adjoint à la communication et Françoise Duperret, adjointe en charge du tourisme, de l'environnement et du patrimoine.
Avec l'accord des bâtiments de France, la mairie va aménager ce site mégalithique composé de 27 blocs de pierre disposés en demi-cercle et classé aux Monuments historiques. Cet aménagement sera paysagé et réalisé avec des matériaux entièrement naturels. La fin des travaux est prévue à l'automne.
L’art et (pas) la manière de récolter les lauriers…. !
Demain SPQ du 27 mai 2015
Le Cromlec’h de Kerbourgnec
Dans un article de la presse locale (OF des 23/24 Mai) les lecteurs ont pu lire la déclaration de « l’adjoint » (plus exactement du conseiller délégué), à la communication, je cite : « un aménagement pour la préservation de ce site est nécessaire ».
Déclaration avec laquelle on ne peut qu’être d’accord et se réjouir qu’enfin les élus majoritaires se soient décidés à ouvrir le dossier du Cromlec’h et mettre en œuvre les travaux de préservation.
Mais il manque un petit historique…. Au cours de notre deuxième mandat, de 2008 à 2014, une adjointe et un conseiller municipal de notre équipe se sont attelés à ce dossier bien compliqué de la préservation et mise en valeur du Cromlec’h de Kerbourgnec.
De déceptions en espoirs, pour finir par la concrétisation du dossier, il leur aura fallu près de trois ans entre les négociations (aidés en cela par un membre d’une association environnementale), les réunions avec les services de l’Etat et l’Architecte des Bâtiments de France, la commission ad hoc etc….
Peu de temps avant la fin de notre mandat, j’ai pu ainsi signer l’acte notarié de la cession du terrain d’un riverain, que nous pouvons d’ailleurs remercier.
Tout était donc prêt pour les travaux, début 2014…… Mais ne dit-on pas « mieux vaut tard que jamais » ?
Geneviève MARCHAND
Maire de Saint Pierre Quiberon 2001-2014
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