A Biarritz, l'ère de Didier Borotra s'achève dans la débâcle...
27/12/2014
L'Ex Maire de Biarritz, Didier Borotra, a engagé sa commune dans des dépenses de folie !
En Centre-ville l'Hôtel du Palais, à la gestion financière dispendieuse, n'a jamais trouvé sa clientèle... malgré de nombreuses entorses à la Loi "littoral" (Construction d'une piscine à moins de 100 mètres du rivage !).
A Ilbarritz, la construction d'un musée du Surf (d'abord), rapidement transformé en Cité de l'Océan, au contenu "débile" est financée chez Dexia et gérée par un contrat PPP avec Vinci. A part le restaurant, les visiteurs sont absents... le trou "financier" est aussi profond que celui de la construction en sous-sol...
L'enlaidissement de l'environnement, par des parkings de voiture "encailloutés", achève ainsi la transformation d'un ilôt de verdure, qui existait paisiblement il y a 20 ans !
Un comité de propriétaires riverains se bat avec une municipalité "sourde", depuis la Guerre (Guy Petit, Bernard Marie, Didier Borotra), qui firent de l'expropriation leur arme de prédilection... pour construire un monde "meilleur" et "plus beau" !
Seule réalisation de qualité : le Centre d'entrainement du Golfe, sur le territoire de Bidart !
Pour le reste, le "tsunami" financier est là, avec des dépenses insupportables pour une petite commune...
Au Pays Basque, Jean Borotra, seul, laissera un souvenir "positif" !
Biarritz, l'avenir de l'hôtel du Palais se jouera début 2015
Sud Ouest du 24 décembre 2014
L’avenir du palace se décidera en tout début d’année 2015 avec un directeur en partance et une décision à prendre entre gestion privée ou municipale
Jean-Louis Leimbacher doit prendre sa retraite mais assurera la transition © Photo
Bertrand Lapègue
L'hôtel du Palais est un palace mais pourra-t-il le rester ? Telle est la question qui transpirait des débats du Conseil municipal, lundi soir. Les élus biarrots ont été informés de comptes de la Société d'économie mixte (SEM), gestionnaire de l'établissement, pour l'année 2013 (exercice qui se clôturait fin mars 2014). Guy Lafite, l'adjoint aux finances, a présenté « des performances correctes mais une évolution rapide du monde des palaces » qui a conduit à la création d'une commission ad hoc et à une mission d'étude...
Biarritz veut résilier un PPP avec Vinci pour sa coûteuse Cité de l’Océan
LE MONITEUR.FR du 26 décembre 2014
© Frédéric Lenne / AMC - Extérieur diurne de la Cité de l'océan et du surf à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques)
La ville des Pyrénées-Atlantiques a perdu près de 1,2 million d’euros dans son projet qui englobe la Cité de l’Océan et le Musée de la Mer. Elle espère entériner la résiliation du partenariat public-privé (PPP) au premier semestre 2015, à la suite de l’annulation du Conseil d’Etat en juillet de la délibération de 2008 autorisant le recours à un contrat de partenariat.
La ville de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) veut résilier un partenariat passé avec Vinci pour sa « Cité de l’Océan », ouverte en 2011, et la rénovation du Musée de la mer. L’exploitation de ces projets controversés a fait perdre à la ville 468.000 euros en 2012 et près de 700.000 en 2013. La municipalité (MoDem) est en négociation depuis des semaines avec le constructeur. Elle espère entériner la résiliation du partenariat public-privé (PPP) par une délibération et un vote au premier semestre 2015, a indiqué l’adjoint chargé de l’Economie et du Tourisme, François Amigorena.
Cette décision fait suite à un arrêt en juillet du Conseil d’Etat, qui a annulé une délibération de 2008 donnant pouvoir à l’ex-maire (MoDem) Didier Borotra de signer le PPP. Un élu d’opposition (DVD), l’avocat Jean-Benoît Saint-Cricq, est à l’origine de la procédure et dénonce depuis des années un projet « ruineux et illégal ».
« Le Conseil d’Etat a considéré que les règles d’urgence et de complexité du projet Biarritz Océan (Cité de l’Océan et musée) ne justifiaient pas un partenariat public-privé. Il a annulé la délibération mais pas le PPP lui-même », a expliqué M. Amigorena. Face à cette situation juridique « inédite et incertaine », la ville a décidé de « détricoter le contrat », a-t-il précisé.
La société d’économie mixte Biarritz Océan, qui exploite déjà le Musée de la mer et la Cité de l’Océan, va récupérer les tâches de maintenance de l’ouvrage jusqu’ici déléguées à Vinci, tandis que le volet financier du contrat doit être renégocié avec la banque Dexia, même si « la marge est faible », a expliqué l’élu.
La Cour régionale des Comptes avait pointé du doigt une perte sèche pour la ville de 468.000 euros en 2012: un déficit passé à 680.000 euros de perte en 2013, selon la municipalité.
A l’origine, le PPP prévoyait un loyer annuel de 1,183 million d’euros versé par la ville au constructeur sur 30 ans. Selon ses estimations, la Ville pourrait déjà économiser 150.000 euros par an sur la maintenance.
Trois ans après son ouverture, la « Cité de l’Océan » site culturel censé approfondir la connaissance de la mer, n’a jamais cessé de perdre de l’argent, la fréquentation n’ayant jamais atteint les résultats espérés, avec 320.000 visiteurs par an, « un manque de 100.000 visiteurs », selon l’élu.
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Faites attention à vos gosses le soir à Quiberon: ma fille a été suivie par une voiture en revenant de chez sa grand-mère à Saint-julien ver le centre ville, et un des types a cherché à l'embarquer. elle s'est échappée en traversant la gare.
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