L'interview, qui tue !...
01/12/2014
Les effets "toxiques" d'une action sont toutefois "prévisibles"...
A Quiberon, comme chez Sony, les retours de bâton pouvaient être évalués... malheureusement les élus de notre voisine ont signé un "contrat d'emprunt" en bonne et due forme, indexé sur le rapport euro/franc suisse...
Dupés par la banque, ils crient aujourd'hui au scandale !
Dire, que l'équipe actuelle défend les contribuables locaux, en continuant les poursuites, est ridicule ! La seule solution "idoine" est d'emprunter la même somme au taux actuel du marché, de rembourser la banque "astucieuse" et de refuser de payer toute indemnité pour rupture anticipée ou abusive ! La charge du contentieux reviendrait ainsi à la banque...
Chez Sony, jouer avec le feu avec un Etat, moyenâgeux et avec son dirigeant, n'a pas été suffisamment bordé...
La "décentralisation" à la française peut avoir autant d'effets toxiques, qu'une gestion à la coréenne !
Quiberon, emprunts toxiques, la Ville pense poursuivre le contentieux
Ouest france du 1er décembre 2014
L'emprunt toxique, souscrit en 2007, est un boulet financier pour la ville de Quiberon. Elle envisage la poursuite du contentieux.
L'emprunt toxique, souscrit en 2007 par la Ville de Quiberon, entraîne une charge d'intérêt de <strong>16,21 % jusqu'en 2033.
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"Nous avons hérité d'un boulet financier, dans un contexte où les ressources financières des communes diminuent. Et conformément à nos promesses, nous ne voulons pas augmenter les impôts", explique Serge Brosolo, adjoint aux finances et à l'économie de la Ville de Quiberon.
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"Défendre les intérêts des contribuables"</strong>
"Pour l'instant, sous réserve d'une bonne surprise, la commune considère que la voie des poursuites serait la mieux appropriée pour défendre les intérêts des contribuables quiberonnais", poursuit l'adjoint de la Ville de Quiberon.
Un entretien à lire ce lundi dans l'édition d'Ouest-France Auray.
<strong>Sony Pictures a-t-il subi une cyber-attaque de la Corée du Nord ?</strong>
Les Echos du 30 novembre 2014
Le studio enquête sur la possibilité que des pirates nord-coréens soient à l'origine de l'attaque informatique menée en début de semaine contre son réseau informatique, a rapporté le site américain Re/code.
Le studio Sony Pictures piraté par la Corée du Nord ? Le groupe enquête sur la possibilité que des pirates nord-coréens soient à l'origine de l'attaque informatique menée en début de semaine contre son réseau informatique, a rapporté le site d'informations technologiques Re/code.
Le piratage, qui aurait été conduit depuis la Chine, a coïncidé avec la sortie du film <strong>"L'Interview qui tue!" </strong>("The Interview"), distribué par Sony, qui dépeint un complot de la CIA pour assassiner le numéro un de la Corée du Nord, Kim Jong-Un, note le site. Le film avait rendu furieux les dirigeants de la Corée du Nord, les médias d'Etat promettant des "représailles impitoyables".
Dans ce film, un présentateur, incarné par James Franco, et un producteur (Seth Rogen) obtiennent une rare interview avec le numéro un du régime nord-coréen, mais ils sont recrutés par l'agence américaine de renseignements pour l'assassiner.
Dans la cyberattaque révélée mardi, les pirates menaçaient de rendre publiques des informations stratégiques sur cette filiale du groupe japonais Sony, selon le site spécialisé The Next web. La totalité des salariés de Sony Pictures à Los Angeles avaient été renvoyés chez eux , avec la consigne de ne pas se connecter au réseau informatique de la société, selon Next web.
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